Quand on est confronté aux berceaux vides de la fécondation in vitro... (15/11/2011)
Libé a publié ces opportunes réflexions intitulées : "De l’autre côté du miroir, les berceaux vides de la fécondation in vitro" sous la plume de
"Il n’est pas de commentaires assez élogieux pour célébrer les succès de l’assistance médicale à la procréation (la fécondation in vitro, la FIV, avec ses embryons congelés ou le diagnostic préimplantatoire) et ses enfants du miracle. Nul ne peut contester qu’il s’agit là d’une brillante mutation de la biologie de la reproduction de la fin du siècle dernier, et que Robert Edwards mérite bien le prix Nobel de médecine qui lui fut attribué en 2010. Des images largement diffusées d’embryons artificiellement fécondés, magnifiés par le microscope, à celles de fœtus suçant leur pouce, en passant par les naissances de bébés «éprouvette» aux parents rayonnants, tous les ingrédients médiatiques ont été réunis pour faire chavirer les cœurs. La philosophie a apporté son grain à moudre à propos de cet embryon «nouveau», conçu hors du corps de la mère : est-ce un bébé potentiel ? Est-ce son ADN humain qu’il faudrait respecter ? Ou s’agit-il d’un simple amas de cellules ? ..."
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