BELGICATHO

Tout est possible sur Fesse Bouc, même l'impensable !

Voici ce que l'on peut lire sur le site du magazine 7sur7 en date de hier, avec en bandeau l'annonce de la marche sur Facebook.

"Un groupe Facebook en hommage au tueur de Liège :

"Le drame de Liège a évidemment eu un écho particulier sur les réseaux sociaux. Et des appels aux rassemblements ont vite été lancés.

"Outre les divers témoignages d'utilisateurs ou messages de condoléances aux victimes, un groupe suscite l'indignation. Une invitation à une "Marche blanche pour Nordine Amrani", le tueur de Liège, vient d'être mise en ligne sur le réseau social Facebook.

"On ne sait s'il s'agit d'une blague de mauvais goût ou d'une réelle intention de la part de son initiateur qui "exige de Willy Demeyer (le bourgmestre de Liège, ndlr) une marche blanche pour cet ange du ghetto (sic) parti trop tôt" et qui n'hésite pas à affirmer que Nordine Amrani a été "assassiné"."

On est au bord de la guerre civile dans un pays pourri qui a tourné le dos à Dieu et où les politiciens sont tous aussi incapables les uns que les autres de gérer les situations dont ils sont à l'origine les coupables !

Écrit par : Boanerguès | 15/12/2011

Dans la série "La tuerie de Liège et l'ange Amrani" : à lire aussi le lien du site "L'essentiel Online" :

http://www.lessentiel.lu/fr/news/grande_region/story/19993292

Qui oserait prétendre que des fanatiques comme l'ange Amrani ne courent pas les rues en toute liberté ?

Écrit par : Boanerguès | 15/12/2011

« … L'humain est fou, sûrement la pollution qui lui monte au cerveau. … » ?

L’humain n’est pas fou. Si la pollution fait des dégâts tant au monde qu’à la santé de l’être humain, c'est la violence au sein de la société qui rend fou, bète et idiot! La violence est un langage. Il peut être sain, mais il peut être mauvais, très mauvais et entraîner ce qu'à fait ce Nordine Amrani.

Ce que je déplore, je l’avoue, c’est les réactions souvent trop lymphatiques et sans impacts positifs aux actes de violences nuisibles. Quelle est la meilleure voie pour enrayer la violence qui tue ? Donner au monde de la liberté et en cela de L'AMOUR. Précisons qu’en termes d’amour, je parle de l’amour puisé dans le Cœur de Dieu. Jean-Paul II disait : « Quand l’homme aime vraiment, puissamment et quand il demande au Cœur de Dieu de l’aider à aimer, alors cet homme-là est invincible."
Voilà le grand mot lâché : DIEU. Sans Dieu pas d’amour VRAI et PUR. Bien entendu que je ne vais pas chercher à excuser l’horrible geste de ce « tueur fou », mais derrière son geste, parmi tant d'autres d'années en années, par d'autres jeunes criminels!!! se cache un réel manque d’amour. Je me sens triste en pensant aux victimes, mais je me sens triste en pensant au bourreau qui après se suicide. Il avait perdu ses parents très jeune. Il en avait fort souffert. Dès lors qui lui donnait de l'amour? de la tendresse? de l'ATTENTION. Il est devenu ce que la société indifférente en a fait. Avec lui, nous sommes responsables de cette tuerie. Tous, nous avons besoin d’amour et de tendresse. D’attention ! Nous la cherchons partout dans notre quotidien. La trouvons-nous? NON! La violence nous la trouvons également partout, et celle-là nous la trouvons tant que nous voulons! La violence nous la trouvons dans le Pouvoir, certains silences, un monde qui va trop vite, certains mots et sons, conditions de vie qui rendent violents jusqu’à entraîner la mort! Par contre il y a la violence SAINE ; Elle nous permet de nous affronter, de réagir, de nous défendre, d’avoir des rapports respectueux avec les autres. Le Père Guy Gilbert est un grand connaisseur de la Violence. Son charisme est même d’y découvrir une spiritualité ! Ainsi cherchait-il a sortir le bon de la mauvaise violence; c'est à dire l'appel à l'Amour. Il parle particulièrement de La violence du drogué ; (c’est le cas de Nordine Amrani). Le drogué est une âme blessée, cœur humilié, vivant des problèmes insurmontables ; (d’après ce que j’ai entendu à la TV, c’est le cas du meurtrier en chaîne de Liège !). Par la drogue on fuit artificiellement toutes ces détresses, désespérances, rejets, manque d’amour, racisme, intolérances. C’est une violence rentrée ; elle s’exerce sur soi-même. C’est le corps qui est atteint et l’être humain vit dans un espèce de rêve intérieur hallucinant, qu’il fini par aimer. Cette violence intérieure va s’extérioriser et il va casser, voler et d’attaquer des magasins, des gens, de tuer ; Tout cela avec une très grande violence. Le nombre des drogués de plus en plus jeune grandit!!!
Le grand violent est souvent quelqu'un dans la solitude, mal aimé. Il a peur de l’avenir, personne vers qui se tourner. Pas de travail, pas de voiture, pas d’argent. Certaines choses favorise la violence, et ce n’est pas la pollution !!!! Il y a le bruit ; la musique « hard », la télé, les armes, notre type de société; le chômage, l’exclusion, l’habitat, etc. Ajoutez à cela les conflits à la maison, à l’école où quotidiennement les familles, les enfants, les professeurs baignent, de plus en plus, dans une atmosphère de violence, de stress. Voilà les recettes parfaites pour créer la violence dans une société happés par le bruit sous toutes ses formes, et où il est très difficile de prendre du recul par rapport à ces violences. Le comportement et façon de vivre ne peut qu’être influencés par tout cela. Cela favorise la violence. Dans de telles conditions, comment être doux, pacifique, tendre ?. Un comble est que bon nombre de jeunes, seuls en rue, actuellement armés de pistolets, couteaux! Armes achetées en vente libre. Comment est-ce possible ? Pourquoi cela ? A cause de ce monde de peur, d’insécurité qui nous environne.
L’enfant, le jeune, ne reçoit plus l’amour et l’éducation qu’il doit recevoir de ses parents et de sa famille. Ils ne reçoivent même plus l’exemple d’une bonne éducation et d’une morale de vie correcte ! Les parents ne pensent plus qu'à leur droits et plus à leurs devoirs. Ils éduquent leurs jeunes avec cette nouvelle mentalité anarchique. Je dis ceci très pacifiquement ; je ne cherche pas la querelle, mais si nous voulons un monde meilleur, il est impératif que le plus grand pas dans ce sens soit fait par les parents et les familles. C’est nous les adultes responsables dont l'enfant et le jeune aspire ! Combien prouvent qu'ils sont responsables actuellement ? Il serait bon que nous parents apprenions ou réapprenions à savoir dire « NON » et savoir punir. C’est une grande violence que les parents font actuellement à leurs enfants que de ne plus savoir leur dire « non ». Beaucoup ont démissionné, et cela depuis que l’enfant est tout petit. L’enfant s’y habitue vite. On ne châtie pas au moment où il fallait. Plus d’expiation indispensable après une faute, on ne va plus jusqu’au bout de la punition. Aussi lorsqu’on puni, après des années de passivité, c’est avec violence. De démission en démission ; un jour c’est l’explosion quand on ose dire, enfin, « Non » et qu’on puni vraiment. On s’aperçoit alors, un peu tard, du gâchis d’avoir laissé l’enfant faire ce qu’il voulait, quand il voulait, comme il voulait. Une bonne raclée bien sentie, ou un monumental « Ca suffit , quand il le faut, c’est excellent ! C’est honnête, franc, et juste d’oser dans l’amour, dire « non », et pourquoi « non ». Cela ne déstabilise pas l’enfant mais forge sa personnalité de l’enfant qui un jour sera adulte … responsable. Il n’oubliera jamais et l’amour pour ses parents n’en sera que plus grand. Le jeune ou l’adulte qui est devenu violent avait besoin qu’on lui dise dès fois « non », et on ne le lui disait jamais. L’enfant pourtant sait très vite reconnaître l’amour de ses parents dans ces gestes ou paroles qui éduquent ! Il sait que le désir n’est jamais la vengeance, la haine, mais de se faire respecter et de faire respecter la société ! Le monde. Actuellement je vois des adultes parents qui ne savent plus comment corriger l’enfant et cette démission se transmet à l’école et puis les professeurs n’en peuvent plus, et démissionnent à leur tour. L’on arrive alors à un stade où des hordes de jeunes s’attaquent aux professeurs, sans oublier le directeur ! Le professeur ne peut mettre le jeune à la porte que quelques jours alors que parfois une bonne correction sur le moment, serait bien plus éducative. Mais comme c’est formellement interdit sur le champ de bataille, le jeune reste le roi !
Voulons-nous des jeunes heureux, la paix, la liberté bien comprise ? Que les parents et familles se tiennent les coudes, et lèvent les manches. Au travail !
Cela dit ; ceux qui pensent y arriver sans recevoir la morale de vie venant de l’éducation chrétienne, peuvent essayer ; mais pour ma part, je pense que c’est peine perdue. En l’approche de Noël, nos exemples peuvent/doivent se trouver dans la crèche où est né l’humble enfant Jésus, auprès de Marie sa mère et de Joseph son père, et surtout avec Dieu au milieu de toute leur existence, afin de leur donner les grâces nécessaires.
C’est l’Eglise catholique qui nous l’enseigne. A bon entendeur.

Écrit par : Mizuki | 16/12/2011

Ma compassion aux victimes et ma réprobation au responsable principal, savoir, amrani. Plusieurs observations...
1) il utilisa des armes produites et vendues, également, par nos sociétés...
2) il a appris le maniement des armes et leur modification, savoirs inventés par nos sociétés.
2) il tue pour faire un maximum de victimes sans considération aucune de leurs caractéristiques..;seuls ce qui importaient étaient le lieu, la date et l'heure...tuer en masse et ne rien savoir de ses victimes
4) Il est déterminé et fit preuve de "professionnalisme"...hélas d'où lui ait venu ce sang froid et cette détermination?...
5) Il se tue afin de ne pas être pris...il est plus que déterminer il est "conséquent" en ses choix et "s'adapte à la situation changeante et qui se retourne contre lui" alors qu'il est "musulman"
Il agit seul
Je rappelerais que, pour l'essentiel, c'est ce type de capacité que l'état exige de certains individus...et qui sont l'objet d'une apologie avérée "les rambo et consorts"
7) Il y a une contamination sociale puisque ce n'est malheureusement plus un précédent.
Comment cela fait-il que l'état, et non la société, soit passé à côté d'un tel individu qui était capable de faire pruve "d'une telle compétence" afin de l'orienter autrement?...
8) c'est un geste spectaculaire et même filmique véritablement démonstratif contrairement à la manière d'opérer d'autres tueurs...
Il ne s'agit pas tant d'un miroir de la société mais des conséquences "ignorées" d'un certain type de fonctionnement dont l'état ne veut rien savoir...la chose est d'autant plus redoutble que l'état fait produire des armes de plus en plus performantes, maniables et à la portée de quiconque...
Dieu prenne en pitié Gabriel...et les autres.

Écrit par : nsomwé | 19/12/2011

Pour ma part, je pense bien qu'il s'agit d'un miroir de la société! Une société malade de Dieu, malade du véritable sens de l'AMOUR INCONDITIONNEL, qui engagent à se responsabiliser vis-à-vis de la société toute entière.
Nous voguons en droite ligne vers l'anarchie totale! Et on dirait que tout le monde fait semblant de ne rien voir, de ne rien comprendre. Notre responsabilité est engagée! Ouhouh!!! réveillez-vous!!!!

Que voyons-nous?

- La dislocation des familles;
- la démission des parents et des enseignants;
- l'irresponsabilité de nos gouvernements;
- la pauvreté grandissante dans tous nos pays dits civilisés;
- Les richesses des pays si mal distribuées! Je dirais même distribuées de façon anarchiques;
etc.

Que de violences! Puis vous vous étonnez, vous pleurez.

Que les gens retournent à l'Eglise, retrouvent leurs prières, leur chapelet, et se tournent humblement vers Dieu en lui demandant son aide, ses lumières. Cela urge! Recherchons la paix de toutes les manières possibles.

On peut interdire les armes de façon drastique, ou encore placer les vigiles à côté de chaque personne circulant dans la ville, lancer de hauts cris, levers les bras au ciel, jurer, ... ; cela ne servira à rien, pleurer, se rouler par terre, ...!
- Tant que la société adulte ne se reprendra pas en charge au niveau enseignement civique, morale, savoir-vivre, éducation des plus jeunes ;
- tant que nous serons bombardé à la TV d'émissions vulgaires, violentes, pornographiques, qui descendent l'homme au lieu de le faire monter vers le beau, le noble, l'honnête, l'amour inconditionnel, la solidarité, le retour vers les valeurs, qui existent bien dans le monde, mais qui s'éteignent tout doucement;

Et bien je pense que tout ira de mal en pis. Je le dis et le répète.

Nous sommes dans une société du droits et non plus du devoirs les uns vis-à-vis des autres. La violence à remplacé la paix, la haine remplace l'amour, et la vulgarité remplace le respect.

Mais qu'attendez-vous de nos jeunes dans de telles conditions?
C'est qui les adultes finalement???

Pauvre monde vraiment!

Écrit par : Mizuki | 21/12/2011

@ mizuki ... Je crois aussi que les jeunes ont autant le besoin d'exemples ou modèles de gens qui aiment, que le besoin de se sentir aimés. Nous apprenons presque tout par imitation d'autres personnes, notamment par imitation des parents dans le cas d'un enfant.

Je pense donc que « chercher à aimer (d'un amour charité) » est beaucoup plus important que « chercher à être aimé ». Jésus nous demande d'aimer, il ne nous demande pas d'être aimé, puisqu'il nous demande même (et surtout ?) d'aimer ceux qui ne nous aiment pas, nos ennemis.

Cela revient à dire que l'amour charité est bien un amour désintéressé, qui ne cherche pas son profit. On ne doit pas aimer dans un but d'intérêt personnel, donc même pas celui d'être aimé. On doit aimer par amour de l'autre, non par amour de soi.

Et la bonne nouvelle, c'est que « aimer » est à notre portée, puisque cela ne dépend que de nous, de notre bonne volonté et de nos propres efforts. C'est donc un objectif de vie réaliste, atteignable. Ce n'est pas une illusion.

Alors que « être aimé » ne dépend pas que de nous, mais surtout des autres, dont on ne connait pas le cœur et que l'on ne peut forcer à nous aimer. C'est donc un objectif irréaliste, inatteignable par nos propres forces. C'est une illusion, source de multiples drames et souffrances.

Par conséquent, il me semble qu'un enfant n'a pas tant besoin de parents qui l'aiment, que de parents qui lui montrent qu'ils aiment. La nuance est peut-être subtile mais elle est importante, selon moi. Pensez peut-être à l'importance de parents qui montrent à leur enfant qu'ils aiment aussi les autres, qu'il n'aiment pas seulement leur enfant.

Mais il est bien entendu évident que, si l'on veut montrer à son enfant des exemples ou modèles d'amour charité, cela doit inclure aussi l'amour de son enfant. Mais lui montrer l'amour de ceux qui ne nous aiment pas, est encore plus important.

Écrit par : Pauvre Job | 21/12/2011

Cher Pauvre Job,

Au travers de ce que vous écrivez, je pense TRES IMPORTANT de signaler que LA FAMILLE est la toute première communauté, celle qui doit donner l'amour dont vous parlez. Cela ne se peut qu'en se re-responsabilisant dans l'éducation à donner aux nouvelles générations. La Famille va très mal, il ne faut pas se leurrer, parce qu'elle ne comprend plus votre vision de l'Amour!
Votre vision de l'amour est bien celle qu'ont Marie-Joseph et Jésus, entre eux, et pour le monde, éternellement. Cela représenté actuellement par la petite crêche qui orne nos habitations et églises. Cette crêche, et ses habitants ne demandent qu'à règner dans nos coeurs assoiffés d'amour.
Oui! il est primordial d'aimer avant de chercher à être aimé;
Voilà pourquoi; Aimer ses enfants c'est, ce que dit très justement le Père Guy Gilbert, qui s'y connait particulièrement au niveau de la "naissance de la violence dans la société - particulièrement celle des jeunes",
"Les parents doivent réapprendre à savoir dire « NON » et savoir punir. C’est une grande violence que les parents font actuellement à leurs enfants que de ne plus savoir leur dire « non ». Beaucoup ont démissionné, et cela depuis que l’enfant est tout petit. L’enfant s’y habitue vite. On ne châtie pas au moment où il fallait. Plus d’expiation indispensable après une faute, on ne va plus jusqu’au bout de la punition. Aussi lorsqu’on puni, après des années de passivité, c’est avec violence. De démission en démission ; un jour c’est l’explosion quand on ose dire, enfin, « Non » et qu’on puni vraiment. On s’aperçoit alors, un peu tard, du gâchis d’avoir laissé l’enfant faire ce qu’il voulait, quand il voulait, comme il voulait."

Aucun enfant ne se rebellerait devant la droiture d'esprit d'un parent qui ose sévir par amour. Cette honnêteté, franchise d’oser dans l’amour, lui dire « non », et pourquoi « non », forge la personnalité de l’enfant devenu adulte. Il n’oubliera jamais et l’amour pour ses parents n’en sera que plus grand;

Le jeune devenu violent, grossier, hargneux, mal dans sa peau, qui se drogue, attaque, tue, ...avait besoin qu’on lui dise dès fois « non », et on ne le lui disait jamais.
Une jeune-fille confiait un jour tristement « Ma mère ne m’a pas vraiment aimée, jamais elle ne me demandait quelque chose. Jamais je n’ai pu lui rendre le moindre service, elle n’a jamais accepté le moindre cadeau de ma part ! ».
Père Guy Gilbert dit encore très justement: "ce qui est désespèrant, c’est le monde, la civilisation en péril d’aujourd’hui où l’enfant, le jeune est devenu roi et où tout lui est permis. L’adulte ne sait plus comment corriger l’enfant et cette démission se transmet à l’école et puis les professeurs n’en peuvent plus, et démissionnent à leur tour. L’on arrive alors à un stade où des hordes de jeunes s’attaquent aux professeurs, sans oublier le directeur ! Le professeur ne peut mettre le jeune à la porte que quelques jours alors que parfois une bonne correction sur le moment, serait bien plus éducative. Mais comme c’est formellement interdit sur le champ de bataille, le jeune reste le roi."

"Donnons de l'amour gratuitement, oublions ce que nous avons donné, continuons notre chemin dans l'amour, et nous verrons très vite la magie de l'amour à l'oeuvre!".

Prions pour que cette grâce naisse dans toutes les familles, en cette veille de Noël. Dieu a été le premier à nous aimer de cet amour inconditionnel, sans paternalisme, ni calcul. Cet amour tel que vous le décrivez. Mais où sont les parents qui veulent encore témoigner atuellement, auprès de leurs enfants, de l'amour de Dieu pour nous, ses enfants chéris? :-)

Peut-être que ce serait pas mal d'inviter les parents qui y croient à venir témoigner en églises! Les témoignages venant des parents, des familles chrétiennes, autant que des jeunes chrétiens, représentent les plus belles façons d'évangéliser.

Que NOS PRETRES invitent donc les parents, qui le souhaitent, à témoigner : "comment vivons-nous l'amour de Dieu en soi et comment partageons nous cet amour ?"

Écrit par : Mizuki | 21/12/2011