BELGICATHO

C'est un des tristes résultats d'idéologies païennes, développées au 19ème siècle, à savoir le nationalisme et le socialisme, autrement dit le tout à l'État, le totalitarisme étatiste. L'État Nation (le César) est érigé en idole à vénérer par tous, idole à laquelle chacun doit se soumettre et être prêt à se sacrifier et à verser son sang pour elle, de gré ou de force.
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Et ce n'est pas qu'en Allemagne que sévit ce paganisme. Il suffit d'écouter les paroles idolâtres des hymnes patriotiques composés dans différents pays européens. On n'y trouve nulle part l'amour pour Dieu Notre Père, on n'y trouve que l'amour inconditionnel pour la Mère Patrie.
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Ces hymnes sont de vraies incitations à la haine ou au mépris des autres, et donc aux conflits entre les hommes. Les enfants n'apprennent plus l'amour de Dieu, Père de tous les hommes, ce qui les rend tous frères. On leur apprend l'amour de leur Mère Patrie, différente pour chaque homme. Comme chaque Nation prétend que sa propre Mère Patrie est la plus belle et la meilleure, cela veut dire pour les enfants que les autres sont moins bons ou inférieurs à eux.
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Pour arriver à un tel endoctrinement nationaliste, l'État doit éduquer (endoctriner) les enfants dès le plus jeune âge, et donc les soustraire à l'influence de certains parents qui contesteraient la pensée unique imposée par l'État, et surtout ceux-là qui croient davantage à Dieu Notre Père qu'à la Mère Patrie.
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Le plus aberrant dans l'histoire, c'est que l'État (le César) tient toujours les parents pour responsables des pots cassés par leurs enfants. Donc, l'éducation est enlevée de force aux parents et confiée à des agents du César, mais les parents restent responsables des dégâts éventuels, résultant de cette éducation qu'ils ne peuvent plus assurer. Le César ou ses sbires peuvent donc éduquer (endoctriner) les enfants comme ils le veulent, ils ne seront jamais poursuivis pour les résultats de cette éducation (endoctrinement).

Écrit par : Pauvre Job | 01/09/2013

http://french.ruvr.ru/2013_07_11/Comment-l-Etat-allemand-enleve-les-enfants-a-leurs-parents-1752/

"L'année 2012 a comptabilisé 2929 enfants retirés à leurs parents en Allemagne."

"Une femme allongée sur son bébé. Dans la presse, un article commence par raconter le cas d'une mère allemande qui s'était subitement allongée sur son enfant sur le trottoir. L'article décrit la mère comme une folle mettant en danger la vie de son nourrisson. A y regarder de plus près, connaissant ces cas violents qui éclosent en Allemagne comme une épidémie, on comprend que la mère s'est mise sur son enfant dans un dernier réflexe de protection de mère acculée par le Jugendamt et ses contrôles incessants. La presse berlinoise se targue d'avoir encore sauvé un bébé. On voit le bébé dans les bras d'une policière assise dans la voiture en train de faire un grand sourire au bébé qui se nomme Marley. La maman de Marley a été mise en service psychiatrique sur le champ. Une personne ne connaissant par ces faits d'actualité croira à la description de l'article."

Écrit par : Philippe B. | 01/09/2013

Suivre aussi l'actualité concernant ce père de famille

http://www.dailymotion.com/video/xug8vd_lionel-gilberti-libere_news
http://www.jugendamt-wesel.com/COMMUNIQUE_PRESSE_GILBERTI/lionel-gilberti-poursuivi-car-il-a-trop-paye-de-pension-alimentaire.htm

Concernant les Jugendamt :

"Das Jugendamt, littéralement « l'office de la jeunesse », organisme rattaché à la mairie, fait partie du pouvoir exécutif. Il donne toujours son avis au juge pour toute affaire concernant l'autorité parentale, la « garde » des enfants, les droits de visite et les pensions alimentaires. Le Jugendamt est également chargé de l'exécution des décisions de justice familiale allemandes, ainsi que de la notation des juges aux affaires familiales pour leur carrière. Le Conseil Supérieur de la Magistrature n'existe pas en Allemagne. La justice familiale allemande obéit à cet organisme supra étatique qu'est le Jugendamt. Dans les affaires familiales, le Jugendamt prend « logiquement » position en faveur du parent allemand. Il contrecarre les contacts du parent étranger, sous prétexte que ce dernier pourrait « enlever » l'enfant. Les montants des pensions alimentaires dus par les parents étrangers sont exorbitants, sans rapport avec leurs revenus. Les bénéfices économiques et démographiques de ce système judiciaire allemand profitent à l'Allemagne. Un enfant binational coupé de son parent non allemand vivra et travaillera en Allemagne à l'âge adulte. Il cotisera pour les retraites allemandes et sera comptabilisé pour déterminer le nombre d'Euro députés allemands au Parlement Européen, ce qui pèsera sur la politique européenne. Le parent non allemand dépensera des dizaines voire des centaines de milliers d'Euros pendant des décennies en frais de procédures, de déplacements, de pensions alimentaires, en pure perte, sans aucun résultat. Si les parents sont mariés, le jugement de divorce allemand attribue tout le patrimoine des deux parents au parent « gardien » qui réside en Allemagne. Le parent non gardien est spolié légalement de ses biens immobiliers, même acquis avant le mariage, quelque soit le contrat de mariage. En l'absence de contrat, c'est le régime de la communauté universelle qui s'applique en Allemagne. L'enfant coupé de son parent étranger hérite quand même. Comme il vit en Allemagne, un transfert d'argent a ainsi lieu de l'étranger vers l'Allemagne. En outre, le Jugendamt « hérite » lui aussi le cas échéant : il prélève une part de pension alimentaire avancée au parent « gardien » quelques années auparavant, et ce, même si le parent non gardien avait payé régulièrement la pension alimentaire. Si on comptabilise tous les enfants germano étrangers, les transferts financiers à destination de l'Allemagne sont faramineux. Au total, c'est plusieurs centaines de milliards d'euros que l'Etat allemand s'est appropriés frauduleusement et s'appropriera au cours des décennies passées et de celles à venir, en captant les enfants des autres. L'immense majorité de ces enlèvements d'État se déroulent à l'abri du regard de la communauté internationale, cachés par une juridiction allemande qui les provoquent et qui les couvrent."

Écrit par : Philippe B. | 01/09/2013

D'autres précisions concernant le Jugendamt et l'Etat allemand :

L’Allemagne perdra 20 millions d’habitants dans 50 ans

Le taux de natalité en Allemagne est de 1,4 enfants par femme, soit l’un des plus bas du monde. Peuplée aujourd’hui de près de 80 mio d’habitants, si rien n’est fait, la population allemande pourrait chuter à 59 mio vers 2060, soit une perte de plus de 400.000 en moins par an. Plus grave encore, plus d’ 1/3 de ces 59 mio seront des personnes âgées de plus de 65 ans. Or le système social allemand est bâti tel que ce sont les jeunes travailleurs payant leur retraite qui financent celle des vieux aujourd’hui, en attendant d’être financés à leur tour par leurs cadets. Pour se maintenir dans cet équilibre, il faudra selon les experts un taux de natalité d’au moins 2,1 enfants par femme pour rééquilibrer le renouvellement des générations. S’il n’y a pas assez de jeunes pour travailler, il n’y aura pas assez d’argent pour financer la retraite des vieux (Altersvorsorge).C’est pourquoi, L’Etat a discrètement chargé Jugendamt de veiller à ce que tout enfant né en allemagne, de parents étrangers ne puisse pas grandir sous une forte influence de ses parents étrangers. En cas de divorce d’un mariage binational, la garde de l’enfant est systématiquement attribuée au parent offrant plus de garanties que les enfants ne quitteront pas le territoire allemand. Comme les SS dans une époque révolue , Jugendamt pour cette mission fût dotée de pouvoirs administratifs, policiers, judiciaires. Dans toutes les affaires familiales impliquant un enfant, il joue le rôle cumulatif de procureur, juge d’exécution, conseiller du juge, avocat et 3ième parent de droit à côté du père et de la mère.

http://emmaprincesse.wordpress.com/2013/02/01/backhome/

Écrit par : Philippe B. | 01/09/2013

On endoctrine toujours les enfants en Allemagne comme au temps de Nazis! Ils ne valent pas mieux que les Soviétiques qui encourageaient même les enfants à dénoncer leurs parents pour "activités subversives". La liberté des parents d'éduquer leurs enfants comme ils l'entendent ne fait apparemment pas partie des "droits de l'homme"!

Écrit par : JLC | 02/09/2013

Je me permets de rappeler qu'en Belgique, le Pouvoir Organisateur de l'Enseignement à domicile est l'Autorité Parentale.
L'État ne peut agir qu'en tant qu'autorité publique vérifiant si l'on ne fait rien de contraire à l'Ordre public et aux bonnes moeurs. Si donc, des parents instruisent ou font instruire leurs enfants COMME ILS L'ENTENDENT pendant la période d'instruction (qui, elle seule, est obligatoire), ils n'ont rien à craindre, à moins que l'État ne devienne totalitaire... Les fameux Socles de Compétence, nous en avons fait annuler le côté obligatoire, par la Cour Constitutionnelle, et personne ne le sait!
Quant à la valse des petits papiers que l'État essaie de faire danser à ces parents avec l'argent du contribuable, cela ressemble de plus en plus au ralentissement programmé utilisé par les Soviets jadis.
Personnellement, je considère comme dangereux de livrer librement et sans discernement nos enfants à l'idéologie très douteuse de l'État.
Je possède une lettre du Ministre Hazette (Éducation Nationale) reconnaissant que théoriquement, si le P.O. de l'État se permettait de contrôler le niveau du P.O. parental, l'opération inverse serait, elle aussi, légale...
Je suis prêt à la mettre en oeuvre, histoire de susciter quelques rires gras, mais également à attaquer cet État pour harcèlement si la valse des petits papiers continue... je rappelle aussi qu'une discrimination scandaleuse force ces parents à payer deux fois l'enseignement de leurs enfants, puisque l'État ne leur offre plus ce qu'ils exigent. L'État est très, très riche, et eux, ils sont pauvres et taxés comme des citrons. Un roi et 10 ministres suffiraient, non? Où est-elle cette école de riches qu'ils dénoncent?
Mes fils, instruits par moi, n'ont eu qu'UN SEUL frein à leurs brillantes études: Le Ministère de la Communauté Française. Ils ne sont pas prêts à l'oublier, croyez-moi!

Pr Stéphane Feye
Schola Nova - Humanités Gréco-Latines et Artistiques
www.scholanova.be
www.concertschola.be
www.liberte-scolaire.com/.../schola-nova

Écrit par : Pr S. Feye | 26/09/2013