Quand l'homosexualité choisit de s'afficher dans les églises (30/09/2013)
Le Vatican a protesté contre la présentation de clichés photographiques montrant des personnes homosexuelles s'embrassant dans des églises. Le Saint-Siège y voit "une offense à la spiritualité du lieu" et a ainsi obtenu que ces photos soient retirées mais elles circulent dans un diaporama largement diffusé par leur auteur, un "artiste" espagnol qui feint de ne pas comprendre la réaction des autorités de l'Eglise. Ce n'est évidemment pas un hasard si le photographe a choisi à chaque fois de faire poser ses sujets en plein milieu des églises, de façon bien provocatrice devant les maître-autel un peu à la façon des femen. En attendant, la publicité de l'artiste qui se prétend catholique est assurée et on peut s'attendre à ce que tout le microcosme gay relayé par des médias complaisants dénonce l'attitude homophobe du Vatican... Une ixième version du scenario bien connu : à la provocation des uns répond la réaction des autres soulevant la tempête de protestations escomptée.
On peut aller voir comment les journaleux répercutent cette intervention du Vatican et constater le niveau de mauvaise foi des commentaires :
18:06 | Lien permanent | Commentaires (2) | 
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Commentaires
Un jour ils paieront très cher ces agissements pervers, et ces provocation, surtout au sein même de l'Eglise!
Mais entretemps... que de souffrances présentes et à venir.
Comment ces pervers de la société peuvent-ils s'imaginer gagner la bataille de l'Amour de cette façon!
Que Dieu les bénisse et les éclaire, afin que leurs douleurs soient fortes lors du réveil à la Vérité.
Tout ceci n'est que le début de tant d'autres hostilités démoniaques. Le Malin utilise à fond ses dernières armes. Il se sait perdu.
En union de prières. C'est tout ce que je puis dire, pour ma part.
Octobre est le mois du Rosaire. Pensons-y particulièrement. En famille, entres amis, en église et chez soi.
Écrit par : Mizuki | 30/09/2013
Tous ces sacrilèges dans les lieux saints sont annoncés dans le Nouveau Testament - lire Saint Paul notamment -, au même titre que les autels restés dans les églises désacralisées et transformés en bars ou tables de billard. Ce ne sont que des signes des temps, certes malheureux mais porteurs d'espérance : la fin est pour bientôt. A la nouvelle Pentecôte qui se dessine déjà à l'horizon, certains tomberont de haut !
Écrit par : Philippe B. | 01/10/2013