Je suis très heureux du succès de cette cinquième marche pour la vie, dans un pays où, hélas, on promulgue de plus de plus de "lois" mortifères. Contrairement à ce que veulent faire croire nos adversaires, le mouvement est donc loin de "s'essouffler".
On a encore constaté que nos adversaires n'hésitent pas à avoir recours au vandalisme et aux graffitis sauvages (sans crainte d'être poursuivis puisqu'ils sont soutenus par le pouvoir politique). C'est bien la preuve qu'ils ne sont constitués que d'une minorité hélas très active et surtout très influente.
De plus, la marche a été retardée d'une heure en raison de la visite du président chinois : il ne fallait sans doute pas qu'on lui fasse de l'ombre avec notre marche puisque nous dénonçons la politique de l'enfant unique et la peine de mort dans ce pays.
Comme la marche est programmée longtemps à l'avance, n'est-il pas possible de choisir une date qui ne correspond pas à la visite d'un chef d'état ?
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Je suis très heureux du succès de cette cinquième marche pour la vie, dans un pays où, hélas, on promulgue de plus de plus de "lois" mortifères. Contrairement à ce que veulent faire croire nos adversaires, le mouvement est donc loin de "s'essouffler".
On a encore constaté que nos adversaires n'hésitent pas à avoir recours au vandalisme et aux graffitis sauvages (sans crainte d'être poursuivis puisqu'ils sont soutenus par le pouvoir politique). C'est bien la preuve qu'ils ne sont constitués que d'une minorité hélas très active et surtout très influente.
De plus, la marche a été retardée d'une heure en raison de la visite du président chinois : il ne fallait sans doute pas qu'on lui fasse de l'ombre avec notre marche puisque nous dénonçons la politique de l'enfant unique et la peine de mort dans ce pays.
Comme la marche est programmée longtemps à l'avance, n'est-il pas possible de choisir une date qui ne correspond pas à la visite d'un chef d'état ?
Écrit par : JLC | 31/03/2014