Tout ce qui rappelle Léonard doit disparaître... (22/06/2016)
Lu sur De Standaard (Stijn Cools) (http://m.standaard.be/cnt/dmf20160621_02351226 ) :
Notre traduction :
" Tout ce qui rappelle Leonard doit disparaître "
L’archevêque Jozef De Kesel met le fruit du travail de son prédécesseur André Léonard en suspens. Les séminaristes conservateurs de la Fraternité des Saints-Apôtres doivent s’adapter ou disparaître.
Après avoir pris sa retraite comme archevêque l’an dernier, André-Joseph Léonard a souligné que son cœur réside dans la formation des jeunes prêtres. En 2013, il avait fondé la Fraternité des Saints Apôtres dans l’idée « de former des personnes compétentes ». Cela se passait notamment à Namur et dans le diocèse français de Bayonne. Dans la paroisse bruxelloise de Sainte-Catherine, ils ont eu le bonheur de faire leurs premiers pas en tant que prêtres.
Son successeur à l’archevêché, Jozef De Kesel, y met fin à présent. La semaine dernière, il a envoyé une lettre à la vingtaine de séminaristes de la Fraternité résidant dans notre pays. Le message est qu'ils ne sont plus les bienvenus sous les auspices de l'archidiocèse de Malines-Bruxelles. Fin de ce mois-ci la coopération prendra fin.
Les séminaristes ont le choix: soit ils quittent la Fraternité et se joignent au séminaire de l'archidiocèse lui-même, ou alors ils y iront chercher ailleurs d’autres statuts.
Le grand nombre de séminaristes français est la base de cette décision. C’est ce que Jeroen Moens, porte-parole de De Kesel, communique. « Dans certaines régions de France, il y a une grande pénurie de prêtres. Il ne serait pas collégial de laisser des séminaristes de la Fraternité à Bruxelles pour y devenir prêtres ».
Le fait que De Kesel met ainsi fin brutalement à l'initiative de son prédécesseur, il ne le nie pas. « Ceci est une autre politique. De Kesel donne sa propre interprétation à ses fonctions d'archevêque. Mais il n’a pas opté pour ce choix en l’espace d’une nuit. Cette décision a été prise en concertation avec les autres évêques. »
"Cela sent l'abus de pouvoir"
La déclaration officielle de l'archidiocèse provoque dans l'Eglise, et même au-delà des frontières nationales, des froncements de sourcils. « C’est une curieuse décision», a déclaré un juriste en droit ecclésiastique, Kurt Martens.
« L'argument selon lequel il y a une pénurie de prêtres, est flagrant pour tout le monde. Nous vivons dans un monde globalisé. Appliquez ce raisonnement et aucun prêtre des Pays-Bas ne pourrait exercer son apostolat en Belgique. Ou des prêtres anversois au Limbourg. »
Cela ressemble à un règlement de compte entre De Kesel et son prédécesseur Léonard. « Tout ce qui rappelle Leonard, doit disparaître. Cela sent l'abus de pouvoir. Il se pourrait que Monseigneur De Kesel doive s’attendre à un été chaud. »
Pour la tendance plus conservatrice au sein de l'Eglise belge, la mise a l’écart de séminaristes constitue un dossier symbolique. Les séminaristes déambulent en soutane et professent une foi plus traditionnelle, inspirée par le prêtre français Michel-Marie Zanotti-Sorkine. Ils constituent un milieu de vie en soi.
Geert De Kerpel, rédacteur en chef de Tertio, relativise : « L'argument de la pénurie de prêtres semble valable. Mais De Kesel adopte bel et bien une nouvelle ligne. On fait pas d’omelettes sans casser des œufs ».
Le Vatican a annoncé «vouloir respecter les pouvoirs décisionnels des évêques et ne peut donc pas faire de commentaires sur leurs décisions ».
L'article en néerlandais :
‘Alles wat aan Léonard herinnert, moet verdwijnen'
Aartsbisschop Jozef De Kesel zegt het geesteskind van zijn voorganger André Léonard de wacht aan. De conservatieve seminaristen van het Broederschap van de Heilige Apostelen moeten zich aanpassen of opkrassen.
Bij zijn afscheid als aartsbisschop vorig jaar benadrukte André Léonard dat zijn hart ligt bij de opleiding van jonge priesters. In 2013 richtte hij het Broederschap van de Heilige Apostelen op met het idee ‘bekwame mensen te vormen’. Dat gebeurde onder meer in Namen en het Franse Bayonne. In de Brusselse Sint-Katelijneparochie kregen ze de kans hun eerste stappen te zetten als priester.
Daar maakt zijn opvolger als aartsbisschop, Jozef De Kesel, nu een einde aan. Vorige week stuurde hij een brief naar het twintigtal seminaristen van het Broederschap die in ons land verblijven. Daarin de boodschap dat ze niet langer welkom zijn onder de vleugels van het aartsbisdom Mechelen-Brussel. Eind deze maand eindigt de samenwerking.
De seminaristen krijgen de keuze: ofwel verlaten ze het Broederschap en sluiten ze zich aan bij de priesteropleiding van het aartsbisdom zelf, ofwel zoeken ze andere oorden op.
Het grote aantal Franse seminaristen ligt aan de basis van deze beslissing. Zo laat Jeroen Moens, de woordvoerder van De Kesel, weten. ‘In bepaalde streken in Frankrijk is er een groot priestertekort. Het zou niet collegiaal zijn om de seminaristen van het Broederschap in Brussel priester te laten worden.’
Dat De Kesel zo een initiatief van zijn voorganger abrupt een halt toeroept, ontkent hij niet. ‘Dit is een andere beleidslijn. De Kesel geeft zijn eigen invulling aan zijn opdracht als aartsbisschop. Maar daarbij is hij niet over één nacht ijs gegaan. Deze beslissing is genomen in samenspraak met de andere bisschoppen.’
'Dit ruikt naar machtsmisbruik'
De officiële verklaring van het aartsbisdom doet binnen de Kerk, zelfs over de landsgrenzen heen, de wenkbrauwen fronsen. ‘Dit is een merkwaardige actie’, zegt kerkjurist Kurt Martens.
‘Het argument dat er een priestertekort is, hangt met haken en ogen aan elkaar. We leven in een geglobaliseerde wereld. Trek die redenering door en er mogen geen Nederlandse priesters in België aan de slag. Of Antwerpse priesters in Limburg.’
Hij ziet er een afrekening in van De Kesel met zijn voorganger Léonard. ‘Alles wat aan Léonard herinnert, moet verdwijnen. Dit ruikt naar machtsmisbruik. Het zou kunnen dat monseigneur De Kesel een hete zomer wacht.’
Voor de meer conservatieve strekking binnen de Belgische Kerk wordt de verwijdering van de seminaristen een symbooldossier. De seminaristen lopen in soutane rond en staan voor een meer traditionele geloofsbeleving, geïnspireerd door de Franse priester Michel-Marie Zanotti-Sorkine. Ze vormen een leefwereld op zich.
Geert De Kerpel, hoofdredacteur van Tertio, relativeert. ‘Het argument over priestertekort klinkt valabel. Maar De Kesel zet wel een nieuwe lijn uit. Je kan geen eieren bakken zonder schalen te breken.’
Het Vaticaan laat weten ‘de bevoegdheden van de bisschoppen te willen respecteren en daarom geen commentaar te geven op hun beslissingen’.
Stijn Cools
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Commentaires
Bonjour , une traduction en Français serait judicieuse , merci d'avance .
Cordialement .
Écrit par : Claude H. | 22/06/2016
Quand l'esprit mondialiste (globalisante)touche les communautés ecclésiales, il faut savoir que c'est la route vers la chute! Dommage! Et en plus d'après l' Evangile on reconnaît l'arbre à ses fruits...Cet arbre (FSA) a de bons fruits!
Écrit par : Elisabeth | 22/06/2016
C'est bien là le problème. La fraternité des saints apôtres suscite beaucoup plus de vocations que tous les autres diocèses de Belgique réunis. Manifestement une célébration plus traditionnel, une conception des sacrements plus sacrée, un encouragement à la confession, à l'adoration du saint sacrement exposé quotidiennement dans l'église, la récitation quotidienne du Rosaire devant le saint sacrement, attire à la fois les fidèles et les vocations. C'est une concurrence insupportable.
Le pape François se gardera bien d'intervenir, la décision ayant été prise avec son accord, voir à son instigation. Il s'agit de promouvoir une foi "populaire", chasser tout ce qui peut paraître "aristocratique" ou de "l'ancien régime".
Combien de temps faudra-t-il pour que l'évêque de Bayonne soit poussé à prendre une même décision?
Un peu partout les évêques sont encouragés à ne plus donner des lieux de culte pour célébrer des messes "traditionnelles".
Écrit par : Salomon | 22/06/2016
Je ne vois pas bien en quoi cette décision de Mgr De Kesel constituerait une manifestation de l'esprit "mondialiste". Par contre, cela me paraît ressortir à un esprit plutôt régionaliste qui surprend dans le cadre de notre Eglise dite " Universelle", à en croire l'étymologie du mot "catholique".
Cela sent le prétexte plutôt que la cause réelle, la contradiction étant toujours le signe d'une erreur, voulue ou non. Ce qui me paraît en effet inquiétant, dans la mesure où cela rejoint une série de mesures "progressistes" qui finiront par tuer la séculaire tradition qui avait fait jusqu'ici l'originalité et la spécificité de l'Eglise catholique.
L'Eglise n'a pas été instituée pour s'adapter au monde mais pour adapter le monde à l'enseignement du Christ.
Pauvres cathos d'aujourd'hui !
Écrit par : Eleison | 22/06/2016
Je pensais que nous avions déjà touché le fond. Je me suis trompé!
Écrit par : LIBERT Pierre | 22/06/2016
"Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites! parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins d'ossements de morts et de toute espèce d'impuretés." Matthieu 23, 27
Écrit par : Lysanias | 22/06/2016
C'est l ' Eglise- Corps du Christ, l' Eglise , épouse mystique du Christ que nous défendons .
Écrit par : thérèse | 22/06/2016
On dirait que la fièvre anti messes traditionalistes frappe aussi certains évêques français :
La Messe traditionnelle menacée à Rennes.
Reportage à Rennes d’Armel Joubert des Ouches
https://vimeo.com/171644387
Écrit par : Philippe B. | 22/06/2016
Certains défendent des causes d'une manière qui semble être justement produite par un arbre qui donne de mauvais fruits... Dommage qu'il y ait tant de rancœur chez des gens qui se déclarent chrétiens. Pas très évangélique tout ça. Vraiment regrettable. Des façons de s'exprimer qui tuent... Hélas ! Jésus lui-même en a a été victime...
Écrit par : André Dubled | 22/06/2016
Dans l'Evangile d'aujourd'hui (Matthieu 7; 15-20), on lit: "Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au-dedans ce sont des loups ravisseurs". Et à quoi reconnaît-on ces faux prophètes: aux fruits. Et que font-ils? ils coupent les arbres qui donnent de bons fruits. Armé de sa tronçonneuse, Mgr De Kesel (ainsi que tous les évêques de Belgique) a coupé l'arbre très productif et bienfaisant qu'est la FSA. Quant à savoir s'il est un vrai ou un faux prophètes, la réponse tombe sous le sens. Jean-Pierre Snyers
Écrit par : Jean-Pierre Snyers | 22/06/2016
Je constate que bien des gens sont sensibles et comprennent....mais oui les loups et les serpents sont dans la Bergerie......Le Seigneur nous parlait déjà de cela! J'apprécie certaines interventions!
Écrit par : Elisabeth | 22/06/2016
Lettre envoyée à Mgr De Kesel
Merbes le Château, le 23 juin, 2016
Concerne: Fraternité des Saints Apôtres à Bruxelles.
Monseigneur,
Etant membre de l’Equipe d’Animation Pastorale (EAP) du doyenné de Solre sur Sambre et président de Fabrique d’Eglise, je suis terriblement préoccupé par le manque de prêtres, missionnaires de l’Evangile. Nos quatre enfants résident à Bruxelles, où dans les environs, et constatent une baisse attristante de la participation aux offices religieux et surtout, leurs amis, jeunes et en interrogation, ont en tête la vision d’une Eglise désuète qu’ils ne comprennent plus faute de BONS prédicateurs. Lisez, à ce sujet, les conclusions du récent SYNODE des JEUNES de notre évêché.
Je dois vous avouer ne pas comprendre votre gène quant au nombre de prêtres français sur notre territoire. N’oublions pas que, depuis une dizaine d’années, les Français sont les étrangers les plus nombreux à Bruxelles soit 53.578 (Dernier relevé de 2011 sur un total de 156 045 Français résidant en Belgique).
Nous avons la chance aujourd’hui d’avoir ces prêtres actifs au sein de leur paroisse et appréciés par toutes les couches de la population pour leur sens de l’écoute. Leur seul défaut, si je comprends bien les ‘avis officiels’ serait d’être Français. L’Eglise Universelle est toujours heureuse d’accueillir des prêtres de tous les continents ; les Français n’ont-ils pas l’avantage de partager notre culture Judéo-Chrétienne et la langue de leurs paroissiens, sans négliger le néerlandais ?
Bref, selon l’avis (que je partage) de beaucoup de chrétiens de notre cher pays, cette Communauté a sa place chez nous puisque, tant les paroissiens que la Fraternité des Saints Apôtres, tous semblent si heureux de ce ‘vivre ensemble. Alors pourquoi vouloir séparer ceux que le Saint-Esprit a permis de réunir pour répandre la Bonne-Nouvelle ?
Je n’ose pas croire qu’il s’agit là de la volonté d’annuler une situation, simplement parce qu’elle était l’idée d’une autre personne consacrée, comme cela été dit, car si c’était le cas, ma déception de chrétien en cette année de la Miséricorde serait immense vis-à-vis de ce que vous représentez pour moi et pour mon pays.
Les grands hommes sont reconnus et appréciés comme tels, non pas parce qu’ils sont inflexibles, mais parce qu’ils savent écouter du fond le leur cœur « la petite herbe qui pousse » et changer d’avis lorsque le bon sens et, dans votre cas, le Saint-Esprit l’inspirent.
Veuillez croire, Monseigneur, en mes sentiments dévoués en Notre-Seigneur, et ma prière à vos bonnes intentions les plus chères.
René-Michel de Looz-C.
Écrit par : RM de Looz | 23/06/2016
Elle gène, cette Fraternité. Pourquoi? Parce que au vu de son succès, elle apparaît comme un frein à une nouvelle religion qu'on veut imposer. Et quelle est cette nouvelle religion qui s'infiltre avec la complicité de ceux qui sont censés être les garants de la foi? Globalement, un relativisme et un syncrétisme qui a pour seul credo: "Je crois en l'amour". Avec ce pseudo-christianisme, ( partie intégrante du Nouvel Ordre Mondial), l'évangélisation et la conversion ne sont plus nécessaires. Jésus n'étant plus qu'un chemin parmi d'autres, et le salut éternel un monde nouveau à construire sur cette terre, il suffit pour y adhérer de souscrire à quelques valeurs convenues (du style "tolérance", "ouverture", "dialogue", "partage", "unité"...), en reniant bien sûr, la prédication apostolique. Et qui infiltre cette nouvelle religion à l'intérieur de l'Eglise? Une mafia dirigée par de hauts dignitaires proches de la franc-maçonnerie. Va-t-on vers un schisme? Probablement mais cela fait des années qu'il y est déjà. Dès lors, avant que n'éclate vraiment l'orage, il convient de garder les yeux ouverts. Certes, à nos pieds le paysage semble encore éclairé, mais droit devant nous, des nuages noirs et menaçants annoncent une tempête qui risque de provoquer d'incalculables dégâts. Seul un petit reste survivra. Jean-Pierre Snyers (Adresse blog: jpsnyers.blogspot.com)
Écrit par : Jean-Pierre Snyers | 23/06/2016
Après le Brexit, svp pas de Frexit !
Écrit par : Oh Madonna ! | 24/06/2016
Pourquoi décider à la place de Dieu. Le Seigneur sait ce qu'il fait. Une Eglise avec moins de prêtres mais avec des chrétiens pleins d'amour vaut mieux sans doute qu'une Eglise dont les membres se déchirent. Piètre témoignage...
Écrit par : André Dubled | 24/06/2016
André dubled ,il semble que ce soit le collège des évêques ,sorte de soviet suprême qui ait pris cette décision ,centralisant tous les pouvoirs et donnant une raison qui jusqu'ici n' a convaincu personne . Je cherche en vain la main de Dieu dans tout ça à moins que le collège des év^ques se soit autoproclamé Dieu.
Écrit par : thérèse | 24/06/2016
Une Eglise avec moins de prêtres, c'est la réalité d'aujourd'hui. Comment se fait-il que nous ayons moins de prêtres ?
En raison de la pratique religieuse (messe dominicale, sacrements, prières familiales, pèlerinages) qui est en train de disparaître.
Comment la pratique a-t-elle disparu alors que la Belgique était profondément chrétienne ? Par la manière dont la foi a été transmise.
On n'apprend plus la Présence Réelle de Notre Seigneur Jésus Christ dans l'Eucharistie, on n'apprend plus la notion de péché car c'est négatif, (comment se permettre de porter un jugement sur tel ou tel comportement ?
Tous les actes deviennent peu ou prou équivalents, donc s'il n'y a plus d'acte mauvais, il n'y a plus de péché, s'il n'y a plus de péché, tout le monde est gentil, donc tout le monde va au paradis, il n'y a plus d'enfer… Ouf nous voilà libres !
Donc, pourquoi se confesser ? Pourquoi se libérer du péché ? Pourquoi essayer d'être meilleur ? Pourquoi rechercher la vertu ? Pourquoi réfléchir sur nos actes, faire un examen de conscience ?
Et en fonction de quoi faire son examen de conscience ? Du devoir d'état ? Mais les gens ignorent ce qu'est le devoir d'état (devoir lié à son état de vie et fait avec amour) ?
Pourquoi rechercher à retrouver la grâce sanctifiante ?
Pourquoi Notre Seigneur Jésus Christ est-il mort sur la Croix si ce n'est pour nous libérer du péché ?
Quand vous écrivez que les membres de l'Eglise se déchirent, vous vous méprenez sur le contenu des messages, les gens expriment de la colère face à une attitude intransigeante qui se manifeste par un refus de faire participer les prêtres de la Fraternité aux célébrations du diocèse, en ne payant pas le séminaire et en ne cherchant pas à les rencontrer…
Le procédé ne relève pas de ce que vous appelez des chrétiens remplis d'amour…
Cela veut également et surtout dire que les paroissiens souhaitent s'ouvrir au dialogue avec l'Evêque…
Derrière cette colère, les chrétiens montrent leur profond attachement au recueillement, à la dévotion, aux sacrements et à la transmission de la qualité de la foi… N'est-ce pas tout en leur honneur ?
Le devoir de chaque chrétien est d'encourager et de se réjouir de chaque vocation et les soutenir comme une plante fragile qui ne demande qu'à éclore pour le bien de l'Eglise. S'il n'y a plus de vocation, il n'y a plus d'Eglise…
Écrit par : Jeanne | 25/06/2016
Dans le pire des cas , ce ne sera jamais tout à fait Frexit : " A thing of beauty is a joy for ever " et la Fraternité c'est " la beauté qui sauvera le monde "
Écrit par : thérèse | 24/06/2016
Et Oh ! Madonna écrira encore quelques belles lettres !
Écrit par : thérèse | 24/06/2016