ONU : une pétition à signer d'urgence pour la Défense de la Vie (09/06/2020)

Non à l'avortement à l'ONU - ICPD -CPD

 
195.883 personnes ont signé. Aidez-nous à augmenter ce nombre 200.000 signatures.

Les Nations unies ont réuni discrètement les membres de leur Commission de la population et du développement (CPD) le vendredi 29 mai. Cette session était initialement prévue du 30 mars au 3 avril, mais a été reportée en raison de l'épidémie de COVID-19.

Ils demandent maintenant à leurs membres de participer d’urgence à une réunion par visioconférence où ils négocieront de la manière dont ils utiliseront le fonds de l’aide internationale pour leur réponse à la pandémie COVID-19. Malheureusement, pour obtenir l’aide internationale l’avortement est une condition pour recevoir l’aide.

Notre action doit être rapide, car elle doit réussir avant le 15 juin.

S’il est approuvé sous sa forme actuelle, l’aide internationale destinée à aider à la lutte contre la pandémie de COVID-19 sera conditionnée à ces critères suivants (notamment) :

  • Exiger des pays qu’ils mettent en œuvre une stratégie visant à accroître l’accès à l’avortement.
  • Les préservatifs et le contrôle des naissances.
  • L’éducation sexuelle des enfants

Nous avons besoin de votre aide pour envoyer un message fort au niveau international. Il n’existe pas de droit international à l’avortement

Le document est intitulé « Projet de déclaration sur la population, la sécurité alimentaire, la nutrition et le développement durable dans le contexte de la maladie du coronavirus 2019 (COVID-19) ». « Le paragraphe 15 est celui qui nous intéresse).

Il est nécessaire d’aider les pays les plus pauvres, sans ce genre de contreparties… Il pourrait être plus intéressant d’inclure des critères liés à la corruption, mais non, c’est l’avortement qui est choisi !

Il est écrit dans ce document : “Nous, représentants des gouvernements, à l’occasion de la cinquante-troisième session de la Commission de la population et du développement, au moment d’une crise sans précédent causée par la pandémie de la maladie du COVID-19... S’engagent à assurer, d’ici 2030, l’accès universel aux services de santé sexuelle, y compris en matière de planification familiale, d’information et d’éducation, et l’intégration des droits liés à la reproduction dans les stratégies et programmes nationaux, et à garantir l’accès universel à la santé sexuelle et aux droits en matière de sexualité et reproduction, comme convenu conformément au” Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement et au Programme d’action de Pékin et aux documents finaux de leurs conférences d’examen.

Ils se cachent derrière une noble cause pour étendre les droits à l’avortement.

Non à l'avortement à l'ONU

Madame, Monsieur,

Nous vous demandons de ne plus utiliser la crise du COVID-19 pour développer l'avortement auprès des pays les plus pauvres lors de la Commission sur la population et du développement.

Il n'existe PAS de droit international à l'avortement. Supprimer le paragraphe 15.

Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de ma considération les plus distinguées.

[Votre Nom]

SIGNER

10:04 | Lien permanent | Commentaires (1) |  Facebook | |  Imprimer |