Pourquoi il faut boycotter Amnesty International (06/11/2025)

Synthèse de grok.com (IA) :

Les défenseurs de la vie (pro-life) appellent au boycott d'Amnesty International en raison de la position de l'organisation sur l'avortement, qu'ils considèrent comme incompatible avec la défense des droits humains, notamment le droit à la vie dès la conception. Voici les principales raisons invoquées, basées sur des critiques publiques et des événements historiques.

1. Soutien à la dépénalisation de l'avortement

Amnesty International a officiellement adopté en 2007 une politique favorable à la dépénalisation de l'avortement, le considérant comme un droit humain essentiel pour l'autonomie reproductive des femmes. Cela se manifeste encore aujourd'hui. Les pro-life y voient une promotion de la fin de vie des enfants à naître, qualifiant cela de violation fondamentale des droits humains. Par exemple, des groupes comme le Life Institute en Irlande ont protesté contre cette stance, affirmant qu'on ne peut pas défendre les droits humains tout en militant pour "mettre fin brutalement à la vie d'enfants innocents". Une pétition signée par plus de 140 000 personnes a même appelé Amnesty à cesser son plaidoyer en faveur de l'avortement.

2. Critiques de l'Église catholique et d'organisations religieuses

L'Église catholique, autrefois un soutien majeur d'Amnesty, a réagi fortement en 2007 en exhortant les catholiques à ne plus faire de dons à l'organisation et en retirant son financement mondial. Le Conseil pontifical pour la justice et la paix a déclaré que cette position sur l'avortement rendait Amnesty incompatible avec les valeurs catholiques. Des critiques comme Elyssa Koren, de l'ADF International, accusent Amnesty de dénaturer les droits humains en affirmant que les protections commencent "à la naissance", alors que, selon eux, le droit à la vie s'applique dès la conception, comme indiqué dans des textes internationaux comme la Convention des Nations Unies sur les droits de l'enfant. Cela a conduit à une perte de membres (estimée à moins de 200 sur 400 000) et à une aliénation de partenaires potentiels.

3. Promotion active des droits à l'avortement

Amnesty continue de militer pour un accès universel à l'avortement "aussi tôt que possible et aussi tard que nécessaire", s'opposant aux restrictions comme les consents parentaux ou conjugaux, et qualifiant les interdictions d'avortement de violations des droits humains. Les pro-life arguent que cela ignore les risques pour la santé des femmes (comme les hémorragies dans les pays en développement) et détourne l'attention des solutions alternatives, comme l'amélioration de l'accès à l'éducation, au logement et à la sécurité pour réduire les recours à l'avortement. Des rapports récents d'Amnesty sur les attaques contre les défenseurs de l'avortement renforcent cette perception d'un biais pro-avortement.

En résumé, pour les défenseurs de la vie, boycotter Amnesty signifie rejeter une organisation qu'ils accusent de prioriser un agenda pro-avortement au détriment de la protection de la vie innocente, sapant ainsi sa crédibilité en matière de droits humains. Ces critiques persistent depuis 2007 et ont conduit à des actions concrètes comme des retraits de fonds et des manifestations.

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