Pourquoi cherche-t-on à charger le nouveau pape ? (14/03/2013)

Nous lisons sur Radin.rue des précisions intéressantes au sujet des rumeurs lancées par la presse ("François, les premières morsures") :

(...) Le nouveau pape est un homme très simple et en même temps qui sait diriger sans une autorité militariste. Très impliqués dans la lutte contre l’injustice - notamment en Argentine, - nombreux sont ceux qui ont tenté de le discréditer.

Ainsi comme le souligne le père Gilles Routhier, recteur de la faculté de théologie de l’Université Laval ( Canada) cité par "lapresse.ca" : « J’ai habité trois semaines dans la même maison que lui. Il en imposait non pas par son charisme, parce qu’il est austère et réservé, mais par la force de sa conscience morale. Il a peu de mots, mais est d’une grande cohérence. Il sait beaucoup écouter et on me dit qu’il a gouverné la province des jésuites à un moment difficile, avec beaucoup de fermeté, sans être autoritaire. » Une plainte a été déposée en 2005 à l’encontre de l’évêque Bergoglio, mais celle-ci n’a rien donné. Certains veulent l’impliquer dans des tortures notamment de deux prêtres jésuites dans les années 70, des faits que le cardinal désormais pape a toujours farouchement nié. « À mon avis, on l’attaque parce qu’il est dangereux, précise le père Gilles Routhier au journaliste de lapresse.ca, la dictature militaire a cherché à le discréditer en semant des preuves contre lui. Il est l’un des principaux opposants aux Kirchner, qui se disent de gauche, mais aggravent les inégalités en Argentine. Beaucoup de gens lui en veulent. 

Voir également : le-pape-et-la-dictature-argentine-un-mensonge-pour-un-car...

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