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Vatican II, infaillible ?

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Sandro Magister continue à se faire l'écho des débats relatifs à Vatican II, et pas seulement à propos de la liberté religieuse.

Cela nous intéresse parce que nous ne pouvons pas ne pas nous poser de questions sur ce Concile souvent perçu comme évènement de rupture ou, en tout cas, de changement de cap. Il faut remarquer que toutes les innovations qui ont occasionné de nombreux ravages dans l'Eglise, dans sa doctrine et dans sa liturgie, se réclament généralement de Vatican II. Il faut bien constater aussi que le sens de la mission évangélisatrice s'est affaibli depuis lors, tout comme le sens de la gravité du péché et le besoin de la Rédemption, ou encore certaines dévotions visant à combattre le mal et son Instigateur. Bref, nous aimerions que les choses soient un jour clarifiées et que ceux qui restent fidèles à la Tradition de l'Eglise cessent d'être trop souvent ostracisés.

Sur le site de www.chiesa (Sandro Magister),

"On trouvera trois nouvelles interventions, dont la première et la troisième ont été écrites expressément pour www.chiesa.

1. La première est du professeur Roberto de Mattei, historien, qui a publié récemment "une histoire jamais écrite" du concile Vatican II qui en reconstitue et en met en évidence les éléments de rupture avec le précédent magistère de l’Église.

L’archevêque Agostino Marchetto avait répondu à de Mattei par un compte-rendu très critique paru dans "L'Osservatore Romano". Ici de Mattei réagit non seulement au texte paru dans "L'Osservatore Romano" mais également à d’autres critiques d’origine catholique. Et c’est la première fois qu’il défend son livre de manière aussi développée et argumentée.

2. La seconde intervention présentée ci-dessous provient d’une revue traditionaliste américaine, "Remnant". Elle a été publiée le 18 avril par l’un de ses "columnists", David Werling, en réaction à une note de Francesco Arzillo qui prenait la défense de l'"herméneutique de la réforme dans la continuité" défendue par Benoît XVI, note parue sur www.chiesa le 8 avril dans cet article :

Les grands déçus du pape Benoît


3. La troisième intervention répond à "Remnant" ; elle soutient les arguments d’Arzillo et, indirectement, ceux du pape Ratzinger.

Son auteur, Giovanni Cavalcoli, dominicain et théologien, enseigne à la faculté de théologie de Bologne.

Vous pourrez consulter ce "dossier" ICI

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