C'est l'avis d'Yves Cavalier, dans la Libre, lorsqu'il affirme : " Le sentiment d’impuissance qui s’en dégage donne effectivement raison à tous ceux qui ne croient plus que l’Europe sortira indemne de cette crise. Ce ne sera sans doute pas l’apocalypse. Ce ne sera pas la fin du monde, mais peut-être la fin d’un monde, celui qui permet de vivre au-dessus de ses moyens parce qu’il est trop facile d’emprunter. Mais on ne trouvera pas de solution à l’intérieur d’un système qui désormais tourne fou. La réponse est peut-être ailleurs, en dehors du cercle vicié des prêteurs et des emprunteurs. Lorsqu’on lui disait : "On ne prête qu’aux riches", le sage rétorquait : "Oui, car aux pauvres, on donne". C’est peut-être le début de la réponse."
Mais, les milieux d'affaires sont-ils capables d'un tel revirement ?
Commentaires
D'ailleurs comme on dit: " Qui donne aux pauvres prête à Dieu"... mais pour cela il faut être libre et considérer davantage le pouvoir de servir que celui de faire peur....
Je n'ai pas d'idée pour convertir les politiques. Mais, comme disait mère Teresa ,autant commencer par s'examiner...
Ai-je donné davantage à des oeuvres alors que j'entendais aux News, faillites, séisme, un tsunami, guerres, grève, trafics émeutes de la faim... ou me suis protégée de la menace en (m')épargnant ?
Il est temps que les gens se rendent compte que leur niveau de vie va baisser, peu importe pour qui ils voteront. Et les politiciens devraient avoir l'humilité de reconnaître leur impuissance car tôt ou tard, il faudra payer la facture d'un nvieau de vie trop élevé par rapport au reste du monde. On ne peut pas arrêter la mondialisation.