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France : l’Opus Dei discriminée par les médias

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L’Agence Zenit a interrogé Massimo Introvigne, représentant de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) pour la lutte contre la discrimination contre les chrétiens dénonce des erreurs d'information dans certains médias qui entraînent une discrimination de l'Opus Dei en France.

 Dans cet entretien à Zenit, Massimo Introvigne, qui est également fondateur et directeur d'un centre d'étude sur les nouvelles religions (Centro Studi sulle Nuove Religioni - CESNUR), explique comment une plainte, concernant le droit du travail, contre une école hôtelière, a été utilisée pour lancer une campagne de discrimination contre la prélature personnelle de l'Opus Dei en particulier, et l'Eglise catholique en général.

« L'Opus Dei au cœur d'un procès inédit en septembre à Paris », titrent les journaux pour annoncer la dernière étape du procès devant le tribunal correctionnel de Paris qui aura lieu les 22 et 23 septembre.

 Le tribunal devra analyser la plainte déposée il y a quelques années par Catherine Tissier contre son ancien employeur, l'ACUT, association gérant l'école hôtelière Dosnon, sur des questions liées au statut de certaines périodes de stage. L'école est en particulier accusée de demander aux élèves un travail professionnel non rémunéré.

Le fait que Catherine Tissier ait été membre de l'Opus Dei jusqu'en 2001 et que l'assistance spirituelle de l'école Dosnon ait été confiée à l'Opus Dei ont conduit les avocats et certains médias à impliquer la Prélature en tant qu'institution, dans ce procès. Cet élément a jusqu'à présent été rejeté par la justice française. L'Opus Dei n'a, a aucun moment, été citée devant le tribunal.

Lire l’interview ici : France : Procès contre l'Opus Dei, une « instrumentalisation »

 

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