Selon un sondage (cfr ICI), près d'un Belge sur deux trouve certaines idées nazies intéressantes. Cela ne nous étonne pas.
Il doit, à coup sûr, s'agir de l'eugénisme (que nos sociétés modernes et démocratiques encouragent), de l'euthanasie (dépénalisée, voire encouragée par notre législation), de la haine du judéo-christianisme, etc.
Commentaires
Il serait intéressant de rappeler aux Belges (ou d'apprendre aux plus jeunes) que nazisme signifie national socialisme, et que son plus ardent partisan en Belgique était De Man, le président du PS de l'époque. Les socialistes belges étaient en effet émerveillés par les réussites du national socialisme allemand : croissance économique, grâce à un étatisme (synonyme de socialisme) totalitaire, slogans populistes, domination du prolétariat, victoire dans la lutte des classes par la mise au pas des patrons bourgeois, bâillonnement ou persécution des religions.
La plus grande arnaque de l'après guerre est d'avoir fait oublier tout cela aux Belges, et d'avoir réussi à fourguer le national socialisme dans l'extrême droite. Comment voulez-vous que les gens s'y retrouvent, quand on confond ainsi le socialisme le plus admiré, avant la guerre, avec l'extrême droite la plus honnie, après la guerre ? Tout ce qu'on peut en déduire, c'est que les socialistes sont les rois du retournement de veste et de la propagande.
Dommage qu'on ne connaisse pas les opinions politiques actuelles de ces Belges admirateurs d'idées nazies.
Euthanasie,avortement,eugénisme,police de la pensée,intolérance envers le christianisme particulièrement Catholique,pensée que l'homme se crée lui-mème et est supérieur à Dieu,non respect de la loi naturelle...,j'en passe mais voila sans aucun doute des parallèles entre les époques qui font que cela ne m'étonne absolument pas!
Une particularité wallonne est que le socialisme et le communisme y ont fusionné dans le PS. Ce parti est un mélange électoraliste, d'idées et de personnes, socialistes et communistes. Alors que socialisme et communisme se sont toujours concurrencés sur la mise en œuvre de leurs idées populistes, en ne formant parfois que des coalitions de circonstances (front populaire).
Cette concurrence entre socialisme et communisme fut particulièrement féroce entre les nazis et les bolcheviques, en Allemagne d'abord, puis partout en Europe. Le pacte germano-soviétique n'a été qu'une tactique machiavélique temporaire d'Hitler, pour diviser et affaiblir les puissances occidentales avant de les attaquer.
À noter qu'il existe une association, émanant du parti socialiste, qui s'intitule pompeusement « Territoires de la Mémoire ». Mais dont l'objectif semble bien être de tout faire pour entretenir l'amnésie collective des Belges, en y ajoutant un négationnisme historique. Elle cible particulièrement les jeunes Belges, en espérant sans doute que la plupart d'entre eux ne liront jamais de livres d'Histoire sérieux et crédibles.
L'amnésie vise à faire oublier que le national socialisme allemand était le socialisme le plus admiré pour ses réalisations avant la guerre ; et le négationnisme entretient ce mensonge qui a transformé ce national socialisme vaincu en mouvance d'extrême droite, une fois la guerre terminée.
C'est comme si cette guerre n'avait connu aucun vaincu, ou alors seulement des fantômes surgis de nulle part et qui y seraient retournés. Ni les capitalistes, ni les socialistes, ni les communistes, ne reconnaissent la défaite de leur camp, dans ce combat de Titans qui a déchiré toute la planète.
Le socialistement correct nous parle seulement, et très mythologiquement, de 'Bête immonde', de 'Peste brune', de 'Mal absolu', ou de je ne sais quel autre dieu sadique ou démon malfaisant descendu sur Terre pour faire du mal aux hommes, on ne sait pourquoi. Je ne savais pas que la mythologie pouvait suffire pour expliquer la réalité de faits historiques datant de moins d'un siècle.