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Défendre la femme, est-ce promouvoir l'avortement ?

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La "Journée de la Femme" est surtout prétexte à des discours féministes outranciers, en particulier en ce qui concerne ce "droit inaliénable" qu'est l'accès à l'avortement. La RTBF, qui n'est jamais en reste, en remet une couche ce matin, profitant de la parution d'un éditorial en Suisse pour s'étendre longuement sur le sujet. Vous avez dit "matraquage"?

Commentaires

  • C'est vraiment du matraquage ou de l'endoctrinement mensonger.

    Ils évoquent un « droit fondamental à l'IVG », comme s'ils parlaient d'un droit de l'homme. Et il y a effectivement un lobbying à l'ONU pour inclure ce droit dans les droits de l'homme. Mais heureusement, il n'a pas abouti. Cela n'empêche pas la RTBF d'en parler comme s'il l'était.

    Ils parlent en outre d'un « droit pour la femme à disposer de son corps ». Ce qu'on ne peut vraiment contester, même si l'on peut en regretter les dérives. Aujourd'hui, elle a le droit et la possibilité pratique de se faire refaire à peu près tout le corps, pour que celui-ci lui plaise ou plaise aux autres. Et parfois même pour de bonnes raisons, lorsque ce corps a été abimé, par accident ou maladie.

    Mais ils mentent en disant que cela soit le cas de l'avortement. L'avortement donne à la femme le droit de disposer librement "du corps de son bébé". Il lui donne un droit de vie et de mort absolu sur son bébé. En déniant donc à celui son droit premier, fondamental, celui de vivre. Ce droit de vivre, ainsi dénié au bébé, est bien un droit fondamental, car sans lui aucun autre droit ne peut s'exercer.

    J'ai failli ajouter à ce droit de vie et de mort, l'expression « selon le bon plaisir de la mère ». Mais ce n'est pas vrai, ce n'est pas la volonté de la mère qui s'exerce librement. Elle est incitée ou poussée à cette extrémité par son entourage au sens large, le père, la famille, le planning familial, la société, le travail, ... la RTBF. On l'y pousse, en lui faisant croire que c'est une expression de ses 'droits' et de sa 'liberté'.

    Or, c'est vraiment cynique. Tous ceux qui l'ont incitée ou poussée à décider cet avortement la transforment en criminelle infanticide, et puis s'en lavent les mains, la laissent tomber. Car c'est elle seule qui portera toute sa vie la mémoire de cet acte contre nature, contre sa nature de mère, la première protectrice naturelle de cette vie. Ce n'est pas la RTBF qui sera aux côtés de ces milliers de femmes, pour les aider à porter ce lourd fardeau post avortement,

    La RTBF parle hypocritement d'un « combat pour la liberté » alors que c'est la négation même du droit à la vie pour le bébé, et que c'est la négation même du droit pour la mère de permettre à son bébé d'avoir ce droit à la vie.

    Ils nient donc l'article 3 de la Déclaration des Droits de l'homme : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ». Ils tombent ainsi pratiquement sous la qualification de crime contre l'humanité.

  • Les soi-disant "informations" de la RTBF ne sont qu'un tissu d'endoctrinement idéologique. Raison de plus pour faire entendre notre voix lors de la manifestation du 25 mars. Ils pourront voir qu'il y a également des femmes "libres" qui participent au mouvement pro-vie.

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