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Mais où sont donc passés les garçons ?

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Le Salon Beige, dont nous saluons le travail remarquable, nous oriente vers une étude de Claire de Gatellier intitulée : "Mais où sont passés les garçons?" parue sur un site consacré à la famille (française).

J'y renvoie à mon tour, me souvenant de ces innombrables conseils de classe auxquels j'ai participé et où les problèmes évoqués étaient le plus souvent ceux des garçons. De là à penser que "la mixité tue le mâle" comme je n'arrêtais pas de le rabâcher...

Les statistiques tombent et enfoncent le clou. Quelques chiffres au hasard: les 2/3 des jeunes sortant du système éducatif sans aucune qualification sont des garçons. En médecine 62% des titres de doctorat ont été accordés à des filles (2008), à l’Ecole Nationale de la Magistrature 82% sont des filles. L’Ecole Vétérinaire de Maisons-Alfort compte, en 2012 80% d’étudiantes. Dans l’ensemble de l’enseignement supérieur, 56% de filles. 86% des femmes contre 80% des hommes âgés de 20-24 ans sont titulaires d'un diplôme de second cycle de l'enseignement secondaire .

Il n’y a plus que dans les écoles d’ingénieur, de technologie ou d’informatique que les garçons soient largement majoritaires…pour combien de temps ?

Les rapports internationaux Pisa et Eurydice soulignent le retard des garçons par rapport aux filles. Eurydice parle même de crise de la masculinité...

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Commentaires

  • Le sexe dit "fort" n'est pas toujours celui qu'on pense...

  • La mixité sexuelle à l'école est une aberration pédagogique, voulue par l'idéologie féministe.

    Au début de l'adolescence, les garçons sont beaucoup plus perturbés que les filles par cette mixité. Ils n'osent pas poser de questions, par peur de passer pour un idiot auprès de ces demoiselles. Et donc ils ne progressent pas.

    En outre, l'enseignant est obligé de gérer des conflits et jeux de séduction sexuelle dans sa classe. Comme s'il n'avait que ça à faire. Et comme il ne peut de toutes façons rien y faire, il en est réduit à les subir.

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