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Retraite pour une figure du folklore clérical namurois

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Il s’agit de l’abbé Malherbe, curé de Saint Jean-Baptiste et de Saint-Loup, qualifié par l’évêque, Mgr Rémy Van Cottem, de « véritable accélérateur ». Ce wallon bon teint sera remplacé… par  un flamand, le P. Michel Hermans. Ce jésuite quadragénaire, historien de formation et jusqu’ici vicaire à Bomel a expliqué qu’il était né à Tirlemont, avait vécu à Bruxelles et dans le Hainaut. Entré chez les Jésuites en 1981, il a fait ses candidatures en histoire à Namur, sa licence à l’UCL, des études de théologie à Paris, trois ans à Kikwit au début des années ’90 et il a été responsable du Centre Religieux Universitaire de Namur.

Présent depuis déjà 22 ans dans la cité du « bia bouquet », il ne pratique cependant pas le wallon cher à son prédécesseur. Comme historien, il travaille l’histoire des Jésuites dans nos régions et l’histoire du christianisme. Il a aussi été professeur à l’Institut Lumen Vitae. Aux Editions Lessius, il est impliqué dans la réalisation d’un dictionnaire de la théologie de la libération. Par ailleurs, en réponse à une demande de la Communauté de l’Emmanuel de pouvoir disposer de l’église St-Jean les dimanches soirs, le Conseil Paroissial a, à l’unanimité, décidé de ne pas y donner une réponse positive.

Référence : http://paroissenamur.be/entrejeanetloup/juillet2012.pdf

Allez, ouf, on l’a échappé belle….

Commentaires

  • On sera content de savoir les raisons invoquées par le conseil paroissial pour justifier ce refus.

    Ils auraient peut-être du se présenter comme des réfugiés Afghans, ou des musulmans, ils auraient peut-être reçu un meilleur accueil...

    B

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