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Les Belges, ces "accidentés de l'histoire"

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C'est ainsi que Patrick Roegiers les évoque à l'occasion de la sortie de son nouveau roman à paraître chez Grasset, intitulé "Le bonheur des Belges"; c'est ici : levif.be

Citation :

« Les Belges sont des accidentés de l’histoire, ils ressemblent aux gens qui ne croient pas au bonheur alors qu’ils l’ont en eux. Les Flamands en profitent pour instrumentaliser un désir de Nation. Le projet névrotique de Bart de Wever démonte le mythe du pays, en le tuant il fera aussi périr la Flandre. La Wallonie n’a pas d’avenir et la Flandre s’euthanasie ! » Roegiers raconte donc « une histoire optimiste sur fond de désastre. » (...) « Ce n’est pas un roman sur le passé, mais sur le présent. Il part d’un pays qui disparaît mais mon héros distille du bonheur et de la lumière. Ma nostalgie est joyeuse, tel est le secret du livre. Toute la Belgique s’y trouve, alors prenez-le comme un cadeau.» De la part d’un homme profondément blessé.

Commentaires

  • Bart De Wever n'aurait pas existé si les socialistes wallons n'avaient pas à l'époque exigé le découpage ou dépeçage brutal de la Belgique, en Régions et Communautés, pour devenir les maîtres absolus du côté francophone. Ils ne supportaient plus une Belgique où les Flamands étaient majoritaires en nombre.

    Les Belges étaient heureux et prospères lorsqu'ils étaient unis, jusqu'à ce que des apprentis sorciers leur imposent ce divorce brutal. Les régionalistes wallons, mêlés de séparatistes ou rattachistes, les ont poussés vers une désunion catastrophique. L'union fait la force, dit le slogan de la Belgique. Sa désunion fait donc sa faiblesse.

  • Malheureusement, ce n'est que quand les Belges se sentent menacés qu'ils sentent les besoins d'unir leurs forces. Depuis que le rideau de fer est tombé, toute menace semble avoir disparu. Alors, les politiciens montent les Belges les uns contre les autres. Certains sont passés maîtres pour dire une chose dans une langue et autre chose dans l'autre langue...Les politiciens belges ne semblent d'accord que quand il s'agit de critiquer le pape, n'ayant pas peur de se couvrir de ridicule...

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