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Une déclaration d'amour à l'Eglise sur catho.be

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Sur catho.be, un compte-rendu d'une conférence du professeur Van Meerbeek relative à "l'adolescent et la question de Dieu", sous la plume de Gilbert Muytjens, donne l'occasion à son auteur, en quelques lignes, de livrer de l'Eglise ce tableau caricatural qui manifeste clairement l'état d'esprit d'une certaine intelligentzia "progressiste" :

Et l'Eglise ? Mal vue par nos contemporains pour son enseignement figé, son enfermement dans ses discours sur la sexualité, ses dogmes empoussiérés et ses accoutrements d’un autre temps qui empêchent de la prendre au sérieux, ses peurs de la femme et son acharnement à toujours vouloir, avant tout, défendre l’institution. L’Eglise a un trésor inouï à offrir au monde. Introduire dans une alliance avec le Dieu créateur, qui fait confiance, se retire pour faire place à l’homme capable de grandeur et de responsabilité. L’Eglise doit sortir de ses peurs et de ses obsessions maniaques. Le pape Jean XXIII avait permis une merveilleuse espérance. Le fameux aggiornamento annoncé avait soulevé un incroyable enthousiasme… mais quelle déception quelques années après ! Pourquoi avoir fermé portes et fenêtres et se donner à nouveau de ne plus respirer qu’un air moisi de sacristie ?

On comprend pourquoi le professeur Van Meerbeek sera le bienvenu à Namur, lors de la grand messe organisée par le Père Delhez...

Commentaires

  • Le propre de ces prétendus 'progressistes' semble être de déterrer ou réchauffer des revendications au ras des pâquerettes (ou en-dessous de la ceinture). En effet, ces revendications ont déjà été émises souvent, sous une forme ou l'autre, depuis que l'Église existe. Et notamment lors du schisme protestant, caractérisé par son fondamentalisme et son opposition de principe à tout ce qui vient de Rome. Il me semble donc très difficile d'y trouver un quelconque 'progrès', qui serait une nouveauté et qui tirerait l'Église vers le haut, en accord avec la mission qui lui a été confiée par le Christ.

  • Je me suis tu dans l'article précédent concernant la charité envers les "progressistes" (il faut bien utiliser ce terme afin de définir ce que nous lisons et voyons autour de nous, au risque de nous entendre dire qu'il ne faut pas mettre d'étiquette. Mais comment définir alors cet état des choses?...).

    Sincèrement, ne nous trouvons-nous pas, là, devant une autre religion? Est-il vraiment possible de faire coexister deux religions sous le même vocable?

    Quelle souffrance ces prêtres nous infligent-ils, à nous et à l’Église!.... par charité peut-être? (pardon.... par "solidarité"?)

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