C'est Christian Laporte qui l'affirme dans La Libre. Suffit-il d'un acte d'entartage et des menées d'une coterie de parents dans une école communale pour conclure à une hostilité croissante ? Cela nous paraît assez léger mais cela rejoint sans doute le "ressenti" de Christian Laporte qui ne nourrit pas une très grande sympathie à l'égard de l'archevêque. Le journaliste reconnaît d'ailleurs lui-même que la visite du prélat s'était fort bien passée en d'autres lieux notamment "à l’école Saint-Nicolas de Sart-Dames-Avelines où il a reçu un accueil chaleureux du corps professoral mais aussi de tous les élèves (de la maternelle à la 6e primaire). Une visite qui l’interpella d’autant plus que cette école accueille aussi des enfants sourds."
Quoi qu'il en soit, le propre des chrétiens n'est pas de chercher la popularité; ils savent que le Christ a été haï avant eux et que le disciple n'est pas au-dessus du maître.
Commentaires
Un évèque belge qui se fait agresser parce qu'il ose avertir que certains comportements sexuels peuvent détruire l'âme, à Liège deux jeunes femmes qui viennent de se faire tabasser par un abruti parce qu'elles ont refusé ses avances, dans notre ancienne colonie des milliers de femmes qui se font violer pour satisfaire les instincts primitifs de soudards à la solde des trafiquants de minerais précieux, et malgré cela nous devrions croire notre demi prix Nobel (Christian de Duve) qui dans son dernier livre a écrit que le péché originel n'a rien à voir avec le sexe! Que ce Christian Laporte nous explique alors d'où vient cette décadence qui menace toute notre société.
Monsieur Laporte serait un de ces nombreux "des-mots-chrétiens" qui ont confisqué "l'esprit du Concile", voire l'Esprit-Saint. (L'exemple du Notre Père - mal traduit, mais imposé tel quel pendant 50 ans - est parfaitement révélateur de leur dictature.)
Pour se faire une idée de l'importance numérique réelle de cette mouvance, il suffit de comparer la fréquentation de nos églises après 50 ans de leur domination. Après avoir fait fuir 80 % des fidèles d'autrefois, comme si c'étaient pas "des bons", combien ont-ils ramené de chrétiens égarés ?
De la domination de ces "des-mots-chrétiens", libérez-nous Seigneur.