Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Venite adoremus : un festival d'adoration eucharistique

IMPRIMER

FESTIVAL D’ADORATION EUCHARISTIQUE | VENITE ADOREMUS

QU’EST-CE QUE L’ADORATION PERPÉTUELLE ?

(source : catho-bruxelles)

C’est lorsqu’une paroisse a une chapelle ouverte 24h/24 et 7j/7 avec l’exposition permanente du Saint-Sacrement. L’adoration perpétuelle est simplement notre réponse à l’amour de Jésus pour nous.

Dans les limites du possible, surtout dans les zones les plus peuplées, il conviendra de réserver tout spécialement à l’adoration perpétuelle des églises et des chapelles

(Benoît XVI, Sacramentum Caritatis, 67).

FESTIVAL D’ADORATION EUCHARISTIQUE

Quoi ?

Le Festival « Venite Adoremus », c’est 11 jours et 11 nuits d’adoration continue, de lieu en lieu. Les participants sont aussi bien des paroisses que des communautés religieuses et même des maisons de repos. Chaque lieu s’inscrivant idéalement pour toute une journée ou toute une nuit.

Pourquoi ?

Jésus a dit : « Je suis venu apporter un feu sur la terre et combien je voudrais qu’il soit déjà allumé ! » Une paroisse ou une communauté qui réserve un temps privilégié au Christ durant l’année trouve un nouveau dynamisme !

Comment ?

L’adoration est le prolongement de la célébration eucharistique. C’est pourquoi la messe tient une place privilégiée dans l’horaire. Chaque lieu organise le temps d’adoration suivant sa spécificité (chants, silence, méditation, chapelet, …) De nombreuses paroisses invitent les enfants à un temps de prière animé spécialement pour eux. Dans les lieux qui s’y prêtent, les passants sont invités à entrer pour un moment.

Quand ?

Du 15 au 25 novembre 2018, c’est-à-dire pour préparer à la fête du Christ Roi qui clôture l’année liturgique.

Où ?

À Bruxelles : Basilique du Sacré Cœur (Bruxelles). Chapelle d’adoration (st Georges)

À Notre-Dame de Laeken  (chapelle de semaine) adoration le vendredi 16 Novembre de 7h30 à 17h30; messe 17h30

Autre dates sur : veniteadoremus.be

Et toi ?

Tu es invité à soutenir ta paroisse en réservant du temps à l’adoration et en invitant tes amis. C’est aussi l’occasion de découvrir des paroisses ou communautés près de chez toi ou de ton lieu de travail.

Contact pour Bruxelles :

  • Basilique du Sacré Cœur :Marie-Agnès Misonne : 0476 70 90 12
  • Notre-Dame Laeken : Pascaline Muswamba : muspasca@hotmail.com

Date / Heure

Date(s) - 15 novembre 2018 - 25 novembre 2018 , toute la journée

Lieu : Basilique nationale du Sacré-Coeur, Parvis de la Basilique, 1, 1081 Koekelberg

Commentaires

  • Cela ne vaudrait pas quelques décennies de purgatoire ?

    Dans un extrait de la Chronique rédigée par une "Sœur de Reims" (Sans doute Mère Marie Eugénie, dans le monde Madame Marie KAUFFMANN, du couvent de Burnot, où une partie notable de sa congrégation a vécu entre 1903 et 1932.), cet auteur présente une anecdote survenue en 1918 dans le préau de l'école.
    "(…) Jeudi 26 Décembre.
    Nos Anglais nettoient le préau : l'un s'est assis au piano et joue l'Adeste fideles, tandis que les autres chantent et balaient. (…)"

    Selon l'ouvrage du Lt Col J. SHAKESPEAR, la 34th division britannique a été stationnée dans nos coins de l'Entre-Sambre-et-Meuse, entre le 19 décembre 1918 et le 17 janvier 1919. Le quartier général divisionnaire se situait à Profondeville. Le mess divisionnaire y occupait l'actuel n° 77 de la chaussée de Namur.
    Une corvée a été envoyée à la saint Etienne de 1918 pour remettre en ordre les locaux prêtés la veille pour le réveillon de Noël.
    La corvée comptait au moins un musicien. Celui-ci profite d'un piano présent dans le local. Pendant que les autres travaillent, il joue l'Adeste fideles, et toute l'équipe du "corps de balais" le chante.
    L'anecdote démontre clairement que ce chant de Noël constituait une part naturelle de l'héritage cultuel et/ou culturel de ces soldats du rang.
    De nos jours, une scène pareille à celle-là est devenue improbable, quasi impossible chez les catholiques en Belgique, et ailleurs.

    Il s'est fait que…
    Cinquante ans plus tard, on nous inculquait très fermement que le Latin n'était pas compris par les fidèles. Ce qui était faux : un acolyte africain expérimenté comprenait son Latin d'église aussi bien que Marie Noël et mieux que Georges Brassens. Les parents de votre serviteur connaissaient fort bien ce Latin usuel sans avoir jamais appris celui de Cicéron.
    Cent ans plus tard, tout naturellement, les petits du peuple chrétien se sont retrouvés spoliés de tout un pan prégnant de leur héritage. Car on croit selon ce qu'on prie.
    De nos jours… Autres exemples.
    - On ne nous propose plus et on ne nous organise plus le sacrement de Confession. Malgré ce fait, lors de "liturgies créatives", des assemblées paroissiales montent communier comme un seul homme.
    Où est le problème ? Seuls quelques dinosaures osent rester assis.
    - On ne donne plus de sermon, mais des homélies. Belle affaire ! Au mieux, on y commente les lectures. Souvent, on distille du "des-mots-crate-crétchin" et du lèche-babouches. Ce qui produit une morale simplette, gentille ; une bonté à l'eau de rose où on a laissé infuser un reliquat de religion.

    Dieu veuille libérer son peuple de ces cléricalismes vulgarisateurs par lesquels, de nos jours, la religion de nos pères a été étouffée.

    Dieu veuille que ces cléricalismes vulgarisateurs vaillent aux intéressés (hors les éventuels pécheurs contre l'Esprit, forcément) de longues décennies d'un purgatoire adapté à leurs mérites.

    Ainsi soit-il.

Les commentaires sont fermés.