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N'être ni papophobe ni papolâtre

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De Jean Duchesne sur Aleteia.org :

Ni papophobe, ni papolâtre !

Il est aussi vain d’encenser que de débiner le pape du moment : ce n’est pas sa personnalité qui fait de lui le premier et indispensable serviteur du centrage de la foi et de l’unité des chrétiens.

Le pape, quel qu’il soit, suscite des sentiments souvent passionnés. Il a ses thuriféraires et ses détracteurs. La plupart (y compris nombre d’incroyants) voudraient qu’il bénisse ce qu’ils pensent, désirent ou font, et ils ne sont pas toujours exaucés. Les autres (dont de soi-disant catholiques) se déclarent indifférents à tout ce qu’il peut raconter, mais s’énervent que sa parole ait tant d’audience, surtout lorsque, même sans viser nommément personne, elle critique leurs idées, leurs desseins ou leurs actes. Quelles leçons tirer de ces paradoxes ?

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