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Marche pour la Vie, Bruxelles, le 27 mars 2011

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1414cbcb30f2000028890093ba29de35.jpgLe 27 mars à 15H00, Place Royale à Bruxelles, le rendez-vous est donné pour la seconde marche pour la vie! Il s'agit de marcher pour la vie et de dénoncer les pratiques qui portent atteinte à l'enfant à naître. Cette année, l'accent sera mis sur la  propagande eugéniste qui veut mettre notre sociéé "à l'abri" de personnes souffrant d'un handicap, en recourant systématiquement à l'examen prénatal et à l'avortement des enfants "à risque". Le nombre d'avortements ne cesse de croître en Belgique (18.705 pour l'année écoulée). Chaque année, de plus en plus d'enfants sont tués dans le sein maternel malgré les campagnes "d'information" qui se multiplient dans les écoles et malgré la propagande contraceptive. Cette marche n'est pas bien longue (800 m.) mais ce sera un geste significatif pour la dignité humaine. D'autres informations suivront.

www.marchforlife.be

Commentaires

  • Triste constat qu’ Emmanuel Leroy-Ladurie faisait dans une tribune libre du Figaro en mars 2005.
    “Leroy-Ladurie pose en effet ce calcul simple, en 2003, compte tenu du nombre de 764 500 naissances (en France), les 206 000 avortements officiels représentent, par rapport aux 970 500 grossesses (754 000 206 000 = 970 500), un taux de 21,2% des enfants conçus. Avant 1750, la France connaissait une mortalité infantile (enfants morts avant l’âge de un an) d’environ 25,2 %. Ce taux de mortalité infantile décroît ensuite à quelque 21% jusqu’en 1790, puis baisse encore à 19,5 % jusqu’en 1820. Il n’est aujourd’hui que de 0,6 % mais avec les 21,2 % d’avortements de 2003, le pourcentage de disparitions d’enfants entre leur conception et l’accomplissement de leur première année est revenu, aujourd’hui, à ce qu’il était à la veille de la Révolution. Emmanuel Leroy-Ladurie commente son calcul en expliquant qu’en « somme tout se passe comme si on avait reculé pour mieux sauter, je veux dire reculer de l’aval de la première année du bébé vers l’amont de la première gestation du futur enfantelet. Le pourcentage des disparitions abortives, d’une part, et de la mortalité infantile, d’autre part, se révèle pratiquement identique (…) ».

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