Pierre de Bellerive, dans "Nouvelles de France", partage cette information :
Suisse : 91 000 signatures contre l’éducation sexuelle à l’école
"Avec plus de 91 000 signatures, la pétition contre l’éducation sexuelle en Suisse alémanique fait grand bruit. Le « plan d’étude 21 » prévoit des « cours » d’éducation sexuelle obligatoires qui pourraient être dispensés dès 2014. Les pétitionnaires veulent offrir aux parents la possibilité de dispenser leurs enfants de suivre ce type « d’enseignement ». En effet, la fameuse « sex box » qui sert de support à ces « cours », contient des objets pour le moins suggestifs comme un sexe masculin en bois ou un sexe féminin en peluche. Si cette pétition a reçu le soutien de l’Union démocratique du centre (UDC), elle dépasse cet éventail politique. En effet, les services juridiques de la Poste suisse eux-mêmes ont récemment qualifié la « sex box » d’objet « pornographique » et « choquant »."
Des détails concernant ce cours d'éducation sexuelle figurent ICI, sur un blog dont nous ne cautionnons ni toutes les prises de position ni tous les écarts de langage.
Commentaires
Que les idéologues éducatifs arrêtent de transférer le rôle éducatif des parents à l'école et aux enseignants. Les enseignants sont là pour enseigner, et ce n'est déjà pas facile, ils ne sont pas là pour éduquer une classe d'enfants, c'est impossible. C'est déjà difficile pour des parents d'éduquer leurs propres enfants qu'ils connaissent mieux que les enseignants.
Si en outre on dit aux parents que l'école va se charger de l'éducation de leurs enfants, soit ils ne vont même plus s'y consacrer, soit ils vont entrer en conflit avec l'école, car elle n'aura jamais la même éducation à proposer. L'école va proposer une éducation étatiste, pensée unique, comme dans un régime totalitaire. C'est-à-dire, une caricature d'éducation à la big brother. Et quand parents et enseignants entrent en conflit, c'est l'enfant qui trinque et ne s'y retrouve plus, entre deux éducations contradictoires.
Qu'on rende leur rôle éducatif aux parents, et qu'on n'utilise plus le temps précieux des enseignants à assumer un rôle pour lequel ils ne sont pas formés et qu'ils ne peuvent assumer. Tout le monde s'en portera mieux, parents, enseignants, enfants. Seuls les idéologues éducatifs seront frustrés.
Je partage, bien évidemment, totalement le commentaire de Pauvre Job. Hélàs, nous sommes dans une société où:
Les pouvoirs gouvernementaux, les "organisateurs de la société", ne donnent plus le temps aux parents d'éduquer leurs enfants. A petit feu, ils tuent la famille afin de créer une société de robots. C'est tellement plus facile à manipuler! Nous sommes dans une société de parents devenus, par la force des choses (de l'Etat) "esclaves du travail", jusqu'à même travailler le dimanche! Conclusion: quand donc s'occuper des enfants? C'est certainement un coup de la part des idéologues éducatifs qui avaient depuis longtemps dans le colimateur l'idée de l'éducation étatiste. L'Etat est devenu le dieu que l'on suit aveuglément, sans penser que l'on pourrait peut-être se rebeller, tant qu'on a encore un peu de force.
A nous parents à avoir le sursaut d'énergie nécessaire pour sauver l'avenir de nos petites têtes blondes, et de celles des générations prochaines!