Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Ouvrir des salles de shoot : une bonne idée ?

IMPRIMER

A propos de ce projet développé dans l'Hexagone, nous lisons sur ce site prestigieux :

"Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, a exprimé sa volonté d’ouvrir des salles d’injections pour toxicomanes, à titre expérimental. Si Paris, Marseille et Toulouse s’apprêtent à ouvrir de telles salles, le projet suscite un vif débat. Le Pr Jean Costentin, membre de l’Académie nationale de médecine et de l’Académie de Pharmacie et président du Centre national de prévention, d’études et de recherches en toxicomanie (CNPERT), s’oppose vivement à ce projet. Dans un entretien par téléphone, il explique pourquoi il ne souhaite pas l’ouverture de ces salles de shoot.

Ces ouvertures prochaines de salles de shoot voulues par la ministre de la Santé, Marisol Touraine, ont pour but d’offrir aux toxicomanes un lieu sûr pour s’injecter leur dose et ainsi réduire les risques d’infection, la transmission des virus tels que l’hépatite, le VIH et limiter les overdoses. Pour Jean Costentin de l’Académie nationale de médecine, ce projet ne contribuera en rien à réduire l’invasion toxicomaniaque de notre société. Accentuer la vigilance et la prévention : voilà ce qui devrait être une priorité. « Dans notre société confrontée à une invasion toxicomaniaque, des lieux où les toxicomanes pourraient venir avec leurs drogues se faire injecter en contravention de la loi », lui semblent inappropriés. Avec ces salles de shoot, on finirait par « transformer les chemins escarpés [...] du toxicomane en une allée de roses, il y aura forcément un effet d’appel considérable. »

Lire la suite

Commentaires

  • C'est ce qu'on pourrait appeler une "fausse bonne idée". Une autre façon de pratiquer la politique de l'autruche en évitant d'attaquer le mal à sa racine, ou remplacer la peste par le choléra en pensant que c'est moins douloureux...

  • C'est malheureusement la mentalité de nos gouvernements aujourd'hui (et de beaucoup de citoyens à mon grand regret). Le problème étant trop "compliqué" à résoudre, on propose des moyens pour le légaliser. Les toxico risquent de se contaminer avec des seringues non stériles, on leur offre des seringues stériles plutôt que de lutter contre la toxicomanie et les raisons sociales qui poussent certaines personnes à tomber dans la drogue ! Idem pour le préservatif et les comportement irresponsables. La politique de l'autruche, oui, ou des moyens alternatifs qui ne font qu’empirer le mal qui continue de plus belle à s'enraciner dans la structure sociétale. Le problème de l'avortement, de l'euthanasie n'en sont que des exemples trop actuels où sous prétexte que cela se fait clandestinement, on le rend légal plutôt que de trouver une solution au mal en s'attaquant à sa racine.

    Ce qui est sûr c'est que ce n'est pas ainsi que nous vivrons dans une société plus responsable !

  • Comment est-ce possible que ce Marisol Touraine, ministre des Affaires SOCIALES et de la SANTE, puisse exprimer une volonté (la sienne) d’ouvrir des salles d’injections pour toxicomanes, à titre expérimental, sans se faire huer, voire jeté dehors.

    A tout cela nous voyons bien à quel niveau d'incroyance le monde en est arrivé? Nous vivons un monde où tout un chacun est devenu "cobaye", et d'autres êtres humains tirent les ficelles. On va faire des expérimentations!!! sachant d'office que ce ne sera pas pour un monde meilleur, bien au contraire.

    Les dangers, les effets des drogues, pour ne citer que le cannabis à long terme sur la santé, prises de différentes manière (fumée sous forme de joints, spacecakes, ...), régulièrement ou non, entraine des répercutions sur la santé à long terme.

    1. un phénomène amotivationnel (une réduction de l’ambition et de la motivation).
    2. Endommage le poumon : le cannabis est nocif pour les poumons car il remplie les poumons de trois fois plus de goudron et de cinq fois plus de monoxyde de carbone qu’une cigarette.
    3. Le cannabis peut également causer des micro-coupures dans les poumons.
    4.Risque de cancers de la cavité buccale, du pharynx, de la trachée et de l’oesophage.
    5. Risque de développer des maladies des poumons.
    6. La formation des spermatozoïdes des hommes et le cycle de menstruation des femmes peuvent être perturbés. Les effets sont cependant réversibles après l’arrêt du cannabis.
    7. Phénomène de dépendance chez le consommateur.

    La Fondation pour une Europe sans drogue (FDFE) informe le grand public que de récentes données scientifiques confirment que « cannabis et cannabinoides sont bien connus par les sommités en matière de recherche sur les cannabinoides, pour agir comme des immunodépresseurs » déclare le Dr Stuart Reece d’Australie. Et l’effet est d’autant plus sensible que la personne se trouve déjà en condition de santé non optimale. Cela conforte la FDFE à développer ses actions de prévention auprès du grand public et des enfants pour les protéger des fausses allégations qui circulent à propos de l’innocuité du cannabis et autres drogues, propagées par les « drug dealers » et les supporters de la légalisation des drogues.

    Dans un récent rapport publié dans le Medical Journal of Australia (Mai 2008), l’auteur met aussi en étroite relation, dans des communautés aborigènes, des troubles du comportement ainsi que de hauts niveaux de suicide et de dépression suite à la consommation de cannabis.

    Il est bon de rappeler d’une part que le taux de substance psychoactive, le cannabinol (THC), dans les nouvelles variétés de plantes s’est élevé de 5-6% jusqu’à 15 et 24 %, pouvant atteindre 30% pour de la résine et d’autre part, que le THC est capable de traverser la barrière placentaire chez la mère et de provoquer ultérieurement des anomalies nerveuses permanentes chez le bébé.

    En Belgique, la question du cannabis retrouve toute son acuité avec le problème de la proximité frontalière des coffee shops des Pays-Bas. Cela a d’ailleurs motivé les bourgmestres des régions flamandes à organiser un sommet sur le cannabis en février 2009.

    En Europe, des tentatives de dépénaliser la possession et la consommation du cannabis, telles la décision de 2004 du Labour Party anglais de déclassifier le cannabis a été un total échec : le nombre de personnes hospitalisées pour traitement est passé de 11 000 en 2004 à 16500 en 2007. Cela se retrouve aussi chez les enfants dont le nombre passe de 8000 en 2005 à plus de 9000 en 2007. Selon une récente décision (novembre 2008), , le cannabis sera à nouveau reclassé comme drogue illégale en Angleterre en 2009.

    Il est donc urgent que de sérieuses informations préventives soient mises en œuvre pour protéger la santé et l’avenir de nos enfants.

    Le problème est bien là; Quel monde laissons-nous derrière nous à nos enfants, petits-enfants, et toutes les générations à venir.
    Nous vivons dans un monde de plus en plus malade!

    VISITEZ LE SITE SUIVANT S.V.P.

    http://www.repandre.com/imprimer-7959.html

    "Communiqué de presse, ... Non à la drogue ..."
    de la Fondation pour une Europe sans drogue (FDFE)

    Ils ont publié divers petits livrets reprenant les dangers de chaque drogue existante.
    Contact : FDFE Tel : 02 280 4049 Email : info@fdfe.eu Website : www.fdfe.org


    Peut-être que ce serait bien que les personnes qui souhaitent, comme moi, agir pour un monde meilleur et certainement moins "perturbé mentalement", acquièrent ses livrets et les partagent largement autour de soi (aussi en famille). J'ai, pour ma part, déjà distribué ici ou là, dans des fonds d'églises, ... quelques uns de leurs livrets fort intéressants. Ils méritent d'être connus.

    In fine; le tout n'est pas de DIRE les choses qui déplaisent et d'en discuter Ad vitam æternam , Il faut AGIR immediatement pour contrer l'innacceptable, en pensant aux générations qui nous suivront.

  • Les salles de shoot refont surface, telles un serpent de mer, et occupent la Une de nos médias et la tête de nos dirigeants !
    Mais cette fois les fanatiques de la « réduction des risques » se sentent forts du fait du récent changement de gouvernement qui, pensent-ils, va « enfin légaliser les drogues » !
    Et donc, chacun dit la sienne, explique à grand renfort de « les pôvres toxicomanes » ou « ces seringues à la vue de tous, ça ne peut plus durer » ou encore « ce sont des malades, il faut les soigner » et de faire vibrer la corde sensible de la compassion. Toute personne sensée pourrait se poser des questions en pensant à son propre désarroi quand elle est gravement malade.
    Oui, bien sûr, qu’il faut les aider, qu’il faut les sortir de là, qu’il faut les soigner, qu’il faut FAIRE QUELQUE CHOSE !
    Mais c’est là que le bon sens devrait prendre le pas : « faire quelque chose » ne signifie pas les enfoncer dans leur toxicomanie, dans leur autodestruction et du même coup détruire la société.
    Soyons clairs :
    soit la toxicomanie est une bonne chose, est souhaitable pour tout un chacun, est un élément qui va contribuer à la survie de la société…
    soit c’est un fléau qui détruit l’individu qui consomme des drogues et la société à laquelle il appartient
    Il devient donc évident que « faire quelque chose » doit aller dans le sens d’aider les toxicomanes à cesser cette consommation et d’empêcher ceux qui ne consomment pas à ne jamais commencer.
    Et c’est là qu’apparaît clairement l’incohérence de la création de « salles de shoot », car, quel en est l’objectif réel ?
    Sevrer les toxicomanes et les sortir de leur détresse ?
    Protéger la société de la criminalité due à la toxicomanie ?
    Pas du tout ! Les salles de shoot ont pour objectif de « réduire les risques », de « resocialiser les toxicomanes », « de soustraire de la vue de tous les scènes de shoot qui créent un trouble à l’ordre public ».
    C’est l’aveu d’une incroyable démission, qui en arrive à prôner, sur le mode triomphant, la consommation de drogue en libre-service, administrée sous supervision médicale !
    Non, assurément, il ne s’agit pas d’aider les toxicomanes à s’en sortir mais plutôt de les « euthanasier », de les enfoncer toujours plus dans ces drogues qui les tuent ... mais à petit feu !
    Le seul objectif réel de ces salles d’injection réside dans l’accompagnement du toxicomane en lui proposant des drogues de substitution telles que la Méthadone ou le Subutex… qui sont aussi des opiacés (dérivés de l’opium et similaires à l’héroïne dont ils sont sensés sevrer), qui sont aussi destructeurs… mais dont il est encore plus difficile de se défaire !
    Les toxicos eux-mêmes le disent « il est impossible de se sevrer de la Méthadone », « c’est de la merde mais je peux pas m’en passer ».
    C’est à tel point addictif qu’il y a même une étude qui démontre que, pour sevrer les méthadoniens, il faut leur donner… de l’Héroïne ! Ben voyons !!!
    Et en attendant qu’ils acceptent de prendre ces « médicaments », on les assiste dans leur autodestruction, on les aide, même, en leur montrant comment le faire sans risque, on leur fournit le matériel stérile, … On les entretient dans leur toxicomanie.
    Tiens ? Mais, une question se pose alors : qui a intérêt à ce que de tels établissements soient installés un peu partout ?
    Qui vend la Méthadone, le Subutex ?
    Combien de milliards de dollars, ce marché juteux représente-t-il ?
    Autant de questions qui tombent sous le coup du bon sens se posent-alors.
    Il est temps de revenir sur terre et de réaliser que la seule façon de résoudre le problème de la toxicomanie, c’est d’aider les toxicomanes à se sevrer définitivement des drogues et de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour informer les plus jeunes avant qu’ils y touchent.
    « La meilleure façon de sortir des drogues est de ne jamais commencer » a déclaré Robert Galibert, président de l’association « Non à la drogue, oui à la vie », et d’ajouter « une campagne d’information menée sans relâche est nécessaire pour que chacun sache ce que sont les drogues en réalité et choisisse de ne jamais en prendre de par sa propre détermination ».

  • Merci à Infodrogue pour ce message déposé! C'est bien et fort important.
    Je le partage entièrement.

    "La meilleure façon de sortir des drogues est de ne jamais commencer à se droguer". C'est exact bien entendu. Une campagne d'information doit être menée sans relâche.

    Cependant, cette campagne d'information doit comprendre trois premiers éléments très importants pour être totalement opérationnelle.

    I. REMOTIVER les FAMILLE à s'occuper de leurs enfants, adolescents et jeunes adultes même! A les aimer en vérité! Le mariage doit reprendre tout son sens, car l'avenir de l'enfant dépend de l'harmonie chez lui! Or, trop de jeunes sont dans la rue, des jeunes adultes seuls dans leur appartement, loin de la famille, de parents trop contents de se débarrasser de leurs enfants dès 18 ans!!! Les familles sont de plus en plus "recomposées", l'enfant ne se sent plus vraiment chez lui. Il doit accepter des conditions de vie presque inhumaine! Comment devenir un adulte réussi ainsi?
    Les parents veulent vivre leur vie, mais ne se rendent pas compte qu'on est parent pour la vie! Le mariage c'est pour la vie. Le conjoint n'est pas une vieille chaussette qu'on jette pour une autre! La famille, c'est pour l'éternité! Un enfant, une famille, la société; c'est important!

    2) REVALORISER le MARIAGE, et y croire S.V.P! Trop de jeunes ne veulent plus s'engager. Est-ce de l'amour? Non! Ne pas vouloir se marier c'est refuser d'entrer dans une "famille" (celle de l'élu/élue) et d'en créer une nouvelle. Ce n'est pas "prendre ses responsabilités d'adulte vis-à-vis du partenaire". Vivre en concubinage c'est créer tout au plus une "asbl", pas une famille. C'est un véritable pis aller.

    Mais comment faire pour redresser une société qui descent de plus en plus bas ? La violence, la drogue, tout cela nait de tout cela! Par ce manque d'amour, de tendresse, d'écoute des besoins les uns des autres, dans la famille, puis dans la société ensuite. Et le manque de dialogue, de présences, de partages! Que de souffrances qui provoquent ces éclatements qui mènent à la drogue.

    L'enfant est trop vite voué à lui-même. Il n'est plus aimé pour lui-même. On croit l'aimer en lui donnant profusion de cadeaux, de gadgets, ... et en fait c'est plus pour se donner bonne conscience, car on sait qu'on va être parti toute la journée (travail, loisirs, ...), ou bien on sera fatigué de la journée éreintante et que les enfants ... ils seront devant la TV ou sur Internet, ou avec des copains "louches" sans surveillance à voir, lire ou jouer à n'importe quoi de vulgaire, violent, ou pervers! Ces enfants et ados auront baclés leurs études, et se retrouvent paumés à l'âge adulte. Voilà l'éduction des parents d'aujourdhui.
    Les parents d'aujourd'hui pensent uniquement à leurs droits et plus à leurs devoirs. Vouloir des enfants, est une chose; les éduquer, les suivre en est une autre. Actuellement les enfants dès le plus jeunes âges sont entre les mains de l'Education nationale et du planning familial! Ce n'est pas normal, car leurs vues ne sont pas honnêtes et ne vont pas dans le sens de promouvoir la famille.

    Informer est donc indispensable, mais hélas insuffisant. C'est comme mettre un platre sur une jambe en bois!

    3. REDRESSER les bretelles de nos DIRIGEANTS MONDIAUX, de nos gouvernements. Même de nos représentants de communes!!! Etre vigilant dans le choix des élus! Car si les familles se disloquent c'est de la faute de ces dirigeants pour qui nous votons démocratiquement (enfin on nous le laisse encore penser!) que la famille et la société sont tellement malmenées!
    Nous ne devons plus nous en laisser conter!!!
    Une société sans la famille n'est plus une société. Or nos gouvernements n'en n'ont plus conscience. Ouvrons l'oeil et ouvrons-leur les leurs!

    Car eux aussi n'ont plus d'yeux que pour leurs droits (Pouvoir tout puissant, plaisir, argent et domination du monde). Ils ne pensent plus à leurs devoirs vis-à-vis des peuples, de leur propre famille, et de la planète dont ils sont responsables. Le monde de demain est entre nos mains à tous.

    Le thème ouvert ici nous montre à quel point nous sommes déjà bien bas et en chute libre!

    Il est, encore une fois, temps de réagir en vérité!

  • Réduire les risques d’infection, la transmission des virus tels que l’hépatite, le VIH et limiter les overdoses et donc ouvrir des salles de shoot n'empeche en rien de lutter contre la toxicomanie. C'est une manière différente d'aborder le problème.

  • Gabriel!
    Pas possible! Ais-je bien lu? Avec un si beau prénom (l'archange Gabriel); vous osez dire;

    "Réduire les risques d’infection, la transmission des virus tels que l’hépatite, le VIH et limiter les overdoses et donc ouvrir des salles de shoot n'empeche en rien de lutter contre la toxicomanie". ???
    " C'est une manière différente d'aborder le problème."

    Cela me fait penser à ces lieux créés pour assister le suicide!
    l'euthanasie, l'avortement, ...
    Le problème est résolu d'une façon! la mort rapide ou lente, non pas par le vouloir de Dieu, mais par celui de l'homme! Et que de souffrances inutiles créées de façon perverse !!!! :-(((

    Avez-vous lu entièrement et attentivement le message de INFODROGUE ci-dessus?


    1) Le seul objectif réel de ces salles d’injection réside dans l’accompagnement du toxicomane en lui proposant des drogues de substitution telles que la Méthadone ou le Subutex… qui sont aussi des opiacés (dérivés de l’opium et similaires à l’héroïne dont ils sont sensés sevrer), qui sont aussi destructeurs… mais dont il est encore plus difficile de se défaire !
    Les toxicos eux-mêmes le disent « il est impossible de se sevrer de la Méthadone », « c’est de la merde mais je peux pas m’en passer ».

    2) ces substituts ne servent à rien car dit INFODROGUE:

    "C’est à tel point addictif qu’il y a même une étude qui démontre que, pour sevrer les méthadoniens, il faut leur donner… de l’Héroïne ! "

    3) le but n'est pas du tout guidé par l'AMOUR que Dieu attend de nous, et là encore INFODROGUE nous dit ; " ...En obligeant ainsi les drogués, en attendant de prendre ces « médicaments », on les assiste dans leur AUTODESTRUCTION !!! on les AIDE même en leur montrant comment le faire sans risque, on leur fournit le matériel stérile, … On les ENTRETIENT dans leur toxicomanie.
    C'est de l'euthanasie déguisée! N'a-t-on pas compris cela?

    4) L'intérêt est où? Le FRIC à gagné en vendant à ces pauvres êtres humains, à ces âmes de Dieu!!!! la Méthadone, le Subutex ?
    "Combien de milliards de dollars, ce marché juteux représente-t-il ? "; nous dit INFODROGUE.

    Gabriel! vous oubliez ensuite le danger que représentent pour la société toute entière l'état dans lequel se retrouve ces drogués lorsqu'ils sont dehors, dans la rue, au travail, ... !!! L'exemple totalement négatif qu'il montre aux plus jeunes!


    Qui va payer tout cela? Les populations (taxes, ...). Qu'ils le veuillent ou non! C'est déjà le but recherché, au grand dam bien entendu du peuple, en Amérique pour couvrir les frais médicaux concernant les avortements !!!

    Quelle société montrons-nous à nos enfants, aux jeunes en général!
    Sodome et Gomorrhe véritablement.

    Derrière tout ces agissements totalement pervers tant dans le domaine de la médecine que dans mille autres, et bien on sent bien que se cache la main gantée de la Franc Maçonnerie, les plus grands supporters de notre ennemi ancestral!

    LA SEULE MANIERE D'ABORDER LE PROBLEME EST D'ERADIQUER la drogue, et les boissons alcoolisées également, qui peuvent mener à la drogue!! et en DISANT UN NON MASSIF à tout ce qui déprave l'être humain PAR DES LOIS qui ne doivent être les mêmes QUE CELLES DE DIEU! Il faut dire NON ouvertement et avec force ces "salons privés de la shoot!!!". C'est notre devoir de CHRETIENS!!! Si nous croyons en Dieu.

    Jamais une société saine ne cherchera à éradiquer des êtres humains comme on éradique des poux, des rats, des orties, ... .
    Or, nous arrivons à ce genre de société totalement perdue, défasée et menée par des forces du mal véritablement au bord du gouffre.

    En union de prières!

  • Bonjour M ou Mme Mizuki,
    Votre réponse est beaucoup plus "musclée" que la mienne mais il faut quelquefois mettre les points sur les "i" et les barres sur les "t" pour que les gens sortent de leur torpeur savamment orchestrée et prennent la mesure de la réalité !
    Donc, merci pour votre intervention.
    Ce que je n'ai pas précisé dans mon précédent post c'est que depuis fort longtemps et jusqu'au début du siècle dernier, les gens se droguaient à l'opium avec certains rituels... Et pour les aider on a vendu un médicament adapté : la Morphine !
    Et très vite on a constaté que la Morphine était plus grave que l'opium.
    On a donc mis sur le marché un médicament "sans danger, sans effets secondaires..." qui s'appelle Héroïne !!!
    Vous connaissez la suite de l'histoire où maintenant on prescrit de la Méthadone qui, bien sûr va sauver ces pôvres toxicomanes !
    Et ça, ce n'est pas une opinion, c'est de l'histoire !
    On ne veut pas tuer les toxicomanes, ils ne rapporteraient plus rien, on veut créer une rente, asservir toute une partie de la population.
    Mais qui est ce "on" ? Les psychiatres et l'industrie pharmaceutique !
    Là aussi c'est facile à vérifier...
    Quand on sait les sommes colossales en jeu dans la réduction des risques, on comprend mieux ce qui se passe...
    On découvre alors les liens incestueux entre les politiques qui la recommandent et l'industrie pharmaceutique.
    Tiens, on se demande pourquoi les médias n'arrivent pas à avoir ces données, pourtant disponibles, pour les publier... Seraient-ils réellement indépendants ?
    Qui aurait donc intérêt à museler voire détruire ceux qui luttent contre la drogue en informant réellement ?
    Il serait sans doute fort instructif de se pencher réellement sur la question.
    Mais pour l'heure, il y a à mon avis plus urgent : colmater la brèche et informer réellement afin qu'il n'y ai pas de nouveaux toxicomanes.
    Et ensuite bien sûr, aider ceux qui le sont à s'en sortir définitivement et cela je peux affirmer que c'est possible SANS DROGUE DE SUBSTITUTION !
    Car c'est sur le postulat que "l'on ne peut rien y faire" que repose tout l'édifice de la réduction des risques. C'est cette vérité qui doit être sue.
    Et mon propos n'a pas pour but d'attaquer les gens qui travaillent dans la réduction des risques car ce sont pour la plupart des gens qui veulent aider mais à qui on a inculqué cette fausse donnée "on ne peut pas les sortir de la drogue".

  • Mizuki
    Je ne vais pas commencer à poémiquer, mais je ne partage pas votre manière de voir les choses et je maintiens : " C'est une manière différente d'aborder le problème."

Les commentaires sont fermés.