Lu sur le blog de Jeanne Smits :
Disney : lesbiennes pour tout-petits
La communauté LGBT aux Etats-Unis en est toute émue : la dernière saison de Good Luck Charlie, une sitcom pour enfants diffusée par le Disney Channel, comportera une petite famille avec deux mamans. Elle apparaîtra au cours d'un des épisodes où Charlie (une jeune fille) se lie d'amitié avec une petite fille tandis que les parents de l'héroïne tentent de se lier d'amitié avec ses « deux mamans » lesbiennes.
Un hic : alors que la paire lesbienne est jeune, moderne, rigolote, les « parents hétérosexuels » de Charlie sont aussi ringards qu'ennuyeux. Surtout le père. CQFD…
L'épisode a été élaboré sous l'étroite surveillance d'experts du développement enfantin et de travailleurs sociaux, assure un responsable de Disney Channel. « Comme tous les programmes de Disney Channel, il a été conçu en vue de correspondre aux intérêts des enfants et des familles dans le monde entier et pour promouvoir les thèmes de la diversité et de l'inclusion. »
La chaîne câblée annonce 1 million de spectateurs aux Etats-Unis dans le segment des 2-11 ans ; 300.000 d'entre eux ont moins de six ans.
Commentaires
Qui doute encore que les plus hautes sphères de pouvoir mondiales sont infiltrées par des militants LGBT?
Il est très habile de la part du lobby LGBT de mettre en scène deux 'mamans' (en plus présentées 'cool' et sympas) plutôt que deux 'papas'. La maman à la voix douce est forcément plus rassurante pour les tout petits que le papa à la voix grave. Deux mamans, ça passe, deux papas, beaucoup moins.
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Mais la réalité est bien différente. Dans un couple de lesbiennes, il y a toujours celle qui tient le rôle de la maman, qui s'occupe de la cuisine et du ménage, et celle qui tient le rôle du papa, qui s'occupe des travaux extérieurs plus lourds. Et cette dernière porte littéralement la culotte et prend les décisions. D'ailleurs, une enquête menée au Canada a montré que les violences conjugales sont plus fréquentes dans les couples de lesbiennes que dans les couples normaux. On suppose bien que ce dessin animé ne montrera pas cette réalité-là.