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Vouloir diminuer les émissions de gaz à effet de serre en réduisant à marche forcée la part du nucléaire dans notre production d’électricité : est-ce bien sérieux ?

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Ce débat concerne l'Hexagone mais on n'aura nulle peine à le transposer dans le contexte de notre pays. De Canal Académie :

Après Fessenheim : l’urgence d’une politique énergétique rationnelle et réaliste

Entretien avec Marc Fontecave, président du Comité de prospective en énergie de l’Académie des sciences

Le 7 juillet dernier, l’Académie des sciences a publié un avis portant sur la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim intervenue quelques jours auparavant. Dans ce texte concis, les auteurs, membres du Comité de prospective en énergie de l’Académie des sciences, dénoncent “un contre-sens” car “il y a une véritable contradiction à vouloir diminuer les émissions de gaz à effet de serre tout en réduisant à marche forcée la part du nucléaire dans notre production d’électricité”. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, Marc Fontecave, chercheur en chimie bioinorganique, professeur au Collège de France et président du Comité de prospective en énergie expose les réalités scientifiques, technologiques, géographiques et économiques sans la connaissance desquelles on ne saurait élaborer une politique énergétique ambitieuse et réaliste. Son souhait ? Réintroduire de la rationalité dans des débats trop souvent prisonniers de considérations idéologiques.

Commentaires

  • Le titre pose une question.
    La réponse coule de source, quoi qu'en disent cette ado. suédoise (dont j'ai oublié le nom) ou ses amis écolos-gauchos. C'est NON.

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