Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Zapatero : le mauvais bilan d'un premier ministre sectaire

IMPRIMER

Porté aux nues par l'intelligentzia progressiste, ce digne émule des Rouges qui gouvernèrent l'Espagne quand éclata la guerre civile laisse derrière lui un bilan catastrophique qui le conduit à ne pas se représenter aux prochaines élections.

On découvrira ce bilan détaillé par nos amis de "Liberté politique" ICI.

Extrait :

"L’homme, assez proche politiquement et moralement d’Obama, a aussi déclenché une guerre anticatholique dans son pays. Cette guerre a été ordonnée et planifiée. On verra si l’Espagne s’en sortira à terme. Ce n’est pas la première fois que ce grand pays est confronté à des épisodes de décadence importante ; et le mauvais exemple lui est souvent venu d’en haut.

On voit en tout cas la ruine et la tiers-mondisation de ville entières, de quartiers pourtant promus patrimoines de l’humanité. Les grandes églises de Séville et de Grenade sont toutes à l’abandon. Tout est recouvert de graffiti comme dans une banlieue française ; les étrangers s’en vont, et les centres-villes sont de plus en plus morts, comme souvent dans une indifférence et une résignation générales. Quand je vois Zapatero et son bilan, je pense à ces lignes de Gogol tirées de Tarass Boulba :

« Il avait insensiblement sucé tout leur argent et fait sentir sa présence sur tout le pays. À trois milles à la ronde, il ne restait plus une seule maison qui fût en bon état. Toutes vieillissaient et tombaient en ruine ; la contrée entière était devenue déserte, comme après une épidémie ou un incendie général. S’il l’eût habitée une dizaine d'années de plus, il est probable qu'il en eût expulsé jusqu'aux autorités. »

Les commentaires sont fermés.