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Quand la Région wallonne fait la promotion de la recherche sur les cellules souches embryonnaires

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image.JPGTirée à 15000 exemplaires gratuits, Athéna est une revue de vulgarisation scientifique éditée par la Région wallonne. 
Géraldine Tran, rédactrice en chef, dans l'édito du dernier numéro (271, mai 2011), disponible en ligne ici : recherche-technologie.wallonie.be propose un bel exemple de l'évidence de la culture de mort financée par les deniers publics.
Elle aborde "l'épineuse question des cellules souches issues d'embryons". Très tôt, le ton est donné, à propos de l'autorisation d'Obama  : "C'est un grand pas en avant, qui plus est dans un pays ultra puritain et pointilleux sur les questions morales". Quand le débat touche l'Europe, le premier argument avancé par la fonctionnaire est révélateur de sa préoccupation  : "Pour de nombreux chercheurs, une interdiction de brevetabilité serait une aberration et empêcherait de valoriser les recherches en cours".
Mais, rassurons-nous, Mme Tran a longuement réfléchi à la question de savoir si on doit considérer les embryons comme des "humains à part entière" : " Aux communs des mortels, il manque un bout de l’histoire, souvent coupé au montage: dans la plupart des pays, les cellules souches proviennent d’embryons humains congelés et cédés par des parents ayant déjà réussi leur fécondation  in vitro. Aucun nouvel embryon n’est créé pour la recherche. Non seulement ces embryons sont donc voués au «repos éternel», mais ils sont surtout le cadeau offert à la science par des parents comblés et certains de ne pas souhaiter renouveler la démarche. C’est une information dont on se doute mais qui peut changer l’opinion publique."
Merci à elle de nous rappeler que la FIV est responsable de la congélation de dizaines de milliers d'embryons humains et de leur probable destruction.

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