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Souvent le rite varie…

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210409_communion.jpgLe bel exemple que donnent les liturgies pontificales de Benoît XVI ne suffit pas à y mettre un peu d’ordre. Une vraie « réforme de la réforme liturgique », pour reprendre l’expression du pape, devrait passer aussi par une révision de l’ « Institutio generalis » du missel romain dans un sens moins libéral. Le contre-exemple relaté ci-dessous nous montre que cette instruction selon laquelle est célébrée la messe de Paul VI est la source des variations multiples de la « forme ordinaire » du rite, où chaque responsable puise la formule qui lui convient.

Jeanne Smits, sur son blog, nous relate les faits suivants:

"Mgr Mario Conti a 77 ans. Archevêque de Glasgow, il a déjà remis sa démission entre les mains du pape Benoît XVI et son remplacement, selon la presse, pourrait être annoncé d'ici à quelques mois. Il semble en effet qu'il soit temps. Pas plus tard que le 25 août, le prélat a adressé une lettre à tous les prêtres catholiques du diocèse en préparation de la nouvelle traduction du Missel romain (forme ordinaire) à paraître dans le monde anglophone en novembre. Et elle contient une charge contre les fidèles… trop fidèles à Benoît XVI :

« Les fidèles doivent suivre l'Instruction générale du Missel romain, à savoir venir communier en procession et se tenir debout pour recevoir la Sainte Communion. Se tenir debout, dans notre culture occidentale, est une marque de respect : s'agenouiller sur les bancs de communion — là où ils continuent d'exister – n'est pas la pratique envisagée par les Instructions du Missel...

lire la suite ici: http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/

 

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