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Qu'avons-nous fait de notre foi, de notre pays, de notre société ?

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CHEIKFITANEWS-MONSENGWO-P1016574---Copie.JPG"Le cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, archevêque de Kinshasa a officié une messe le dimanche 23 octobre 2011 en la Basilique de Koekelberg, aux côtés de monseigneur Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles ainsi que de plusieurs prêtres congolais de Belgique.

Toutes les places assises étaient prises d’assaut et on pouvait facilement compter pas moins de 1300 personnes, la plupart arrivées à l’heure, si pas avant.

Première messe devant la communauté congolaise en tant que cardinal, une année après.

En cette période électorale, une prière particulière a été demandée pour que les échéances prochaines se déroulent dans de bonnes conditions.

Le thème du jour était tout aussi adapté : l’amour. L’amour de Dieu, l’amour du prochain. Le devoir d’assistance aux plus faibles : les pauvres, les orphelins, les veuves, les immigrés.

Qui nous aimons, comment ?

Pourquoi nous aimons

Par intérêt ?

Sans frontière ?

Demandons-nous, ce que nous avons fait de notre foi ...

Le Congo peut-il être fier de ses fils qui portent le nom de chrétiens ?

Qu’avons-nous fait de notre pays et de notre société ?"

http://www.cheikfitanews.net/


Zenit.org précise : "Une délégation congolaise composée de représentants de la Conférence épiscopale de la République démocratique du Congo (CENCO) et de la Commission justice et paix, vient d’effectuer une tournée en Europe pour alerter les gouvernements sur les risques de dérapages lors des prochaines élections congolaises et des conséquences qui pourraient en découler. Celles-ci sont en effet prévues le 28 novembre prochain.

Selon une dépêche du Secours catholique, partenaire de la Commission justice et paix congolaise, le président et la secrétaire générale de la commission, Mgr Fridolin Ambongo, et sœur Marie-Bernard, « ont tenu à souligner la nécessité pour les gouvernements européens de faire pression auprès de la classe politique congolaise ».

« Aujourd’hui, chaque camp parie sur la victoire, a expliqué Mgr Ambongo, et nous redoutons un scénario à l’ivoirienne ». http://www.zenit.org/

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