Jeanne Smits fait écho à la volonté du nouveau gouvernement espagnol de revenir sur la loi de 2010 qui autorisait les mineures à recourir à l'avortement sans autorisation parentale :
"Ce serait une première : un pays européen occidental qui imposerait des restrictions sur une loi d'avortement en vigueur, et même très récemment adoptée. Le Partido Popular de Mariano Rajoy étant élu depuis quelques mois à peine, le nouveau ministre de la Justice a annoncé que son gouvernement allait revenir sur la dispense d'autorisation parentale d'avorter pour les 16-18 ans mise en place par la loi entrée en vigueur en juillet 2010. Ses déclarations ont été largement répercutées dans le monde, y compris en France, et la plupart du temps comme une intolérable atteinte au droit des femmes. ... "
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Commentaires
Cette prétendue « libération sexuelle » est un échec dramatique. Nos grands mères maîtrisaient mieux leur sexualité et leurs grossesses que les filles d'aujourd'hui, qui avortent ou accouchent parfois à douze ans. Quand elles ne sont pas très tôt contaminées par des maladies sexuellement transmissibles. Et bien sûr sans que l'on recherche le moins du monde celui qui a abusé d'elles, et les a rendues enceintes ou contaminées, et qui peut donc continuer calmement ses méfaits.
On n'a pas le droit de jouer ainsi avec ce qui est le plus précieux et le plus sacré, la transmission de la vie. Quand va-t-on arrêter ce cycle infernal d'irresponsabilités des femmes, au mépris du droit à la vie des bébés qu'elles ont conçus ? Ces bébés n'ont pas à payer de leur vie les dérives des idéologies laxistes et inhumaines de politiciens apprentis sorciers.