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Quand le terrorisme islamiste s'invite chez nous...

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Après la mort d'un imam chiite décédé dans l'incendie criminel de sa mosquée à Bruxelles et les tueries meurtrières de Toulouse et Montauban, on découvre, effarés, l'existence de groupuscules salafistes et autres dans nos propres murs. Ainsi, ce matin, les dépêches commencent à affluer sur les sites de la presse en ligne faisant état de l'arrestation imminente d'un forcené à Toulouse. Il appartiendrait à un groupe extrémiste dissous intitulé "les cavaliers de la fierté" (Forsane alizza) qui prétend lutter contre l'islamophobie et venger les Palestiniens en recourant à des actions terroristes. Bien évidemment, l'intelligentsia "bobo" aurait préféré qu'il s'agisse d'un terroriste venant de l'extrême-droite et que l'on aurait pu mettre en relation avec le tueur fou de Norvège, Anders Breivik, que l'on s'est complu à identifier comme étant un élément appartenant à une sensibilité chrétienne extrême. Il paraîtrait peut-être plus pertinent de rapprocher les tueries du Sud-Ouest français d'évènements semblables qui se sont produits chez nous il n'y a pas si longtemps...

Commentaires

  • Cette triste réalité ne date malheureusement pas d'aujourd'hui. Aurait-on déjà oublié que c'est à Bruxelles que Ben Laden avait recruté les deux tueurs kamikazes qui firent exploser le commandant Massoud en Afghanistan, juste avant les attentats de New York du 11 septembre 2001 ? Bruxelles est donc un lieu d'asile pour des terroristes islamistes depuis plus de dix ans.

    Cette ville renouerait-elle ainsi avec une sinistre tradition ? Elle fut aussi un lieu d'asile pour des terroristes anarchistes, lors de leur vague d'attentats qui endeuillèrent le monde il y a un siècle.

  • On peut se demander pourquoi on devrait parler d'islamistes ou de djihadistes, plutôt que de musulmans. Cela me fait penser aux persécutions et massacres contre les chrétiens d'Irak. Ceux-ci étaient plus d'un million il y a dix ans, ils ne sont plus guère que 500.000 aujourd'hui. Ceux qui n'ont pas été tués ont dû fuir par peur, en abandonnant tous leurs biens à ceux qui les terrorisaient. Les musulmans d'Irak seraient-ils alors devenus tous des islamistes ou des djihadistes, selon cette nuance terminologique ?

    On veut nous faire croire que le fait de confondre musulmans avec islamistes ou djihadistes, serait tomber dans l'amalgame ou la discrimination. Mais ceux qui participent au djihad de façon violente ne sont jamais que le petit nombre armé, pour bien des musulmans qui propagent des idées, qui financent ou qui font le djihad avec d'autres moyens. Le djihad est une obligation pour tout musulman, mais il ne doit pas nécessairement être violent pour exister et être efficace. Le djihad violent n'est qu'une facette possible, bien qu'on voit qu'il existe partout sur la planète

    L'implantation massive de colonies de peuplement musulman dans toutes les villes européennes relève du djihad. Le financement de mosquées et d'imams par les riches pays musulmans relève du djihad. Le prêche de ces imams envers les jeunes musulmans d'Europe relève du djihad. L'imposition de l'abattage halal relève du djihad. Etc.. etc.. Tout bon musulman doit être un djihadiste à sa manière, selon son caractère, ses capacités et ses moyens.

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