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L'archevêque invite les enseignants à soigner l'éducation à la foi dans les écoles

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...mais c'est en Argentine. On espérerait autant dans nos écoles où l'enseignement de la religion pourrait parfois être remis en de meilleures mains. Nous revient, ces jours derniers, cette réflexion d'une professeure de religion dans un collège catholique confiant à ses élèves qu'elle ne ferait pas baptiser son enfant "parce qu'elle ne croit pas à toutes ces conneries" (sic). 

AMERIQUE/ARGENTINE - Engagement des enseignants en vue de l’éducation à la foi dans les écoles

Rosario (Agence Fides) – L'Archevêque de Rosario, S.Exc. Mgr José Luis Mollaghan, a demandé à la communauté des enseignants et des éducateurs de soigner « l’éducation à la foi dans les écoles de l’Archidiocèse ». Ainsi que cela a été indiqué à Fides, l’Evêque a invité à réfléchir à la signification de l’Année de la Foi, proclamée par le Pape Benoît XVI, pour les écoles et les communautés éducatives. En revenant au Catéchisme de l’Eglise catholique – a-t-il dit – il sera possible d’aplanir ensemble certains des obstacles qui concernent l’enseignement de la Foi.

Selon une note envoyée à l’Agence Fides par les étudiants de l’Université catholique d’Argentine, Mgr Mollaghan s’est exprimé dans le cadre du XVI° Cours archidiocésain d’Education catholique, qui a eu lieu ces jours derniers et auquel ont participé les autorités civiles et religieuses ainsi que des autorités et professeurs de l’Université catholique argentine (UCA). Y ont pris part également plus de 600 enseignants auxquels l’Evêque a déclaré : « la mission d’éduquer est ardue. Le rôle de l’école ne peut se limiter à la diffusion d’information ou à la communication de telle ou telle compétence. Le but est de prendre conscience que nous devons éduquer à la foi ». (CE) (Agence Fides 22/02/2013)

Commentaires

  • J'ai vécu la même expérience avec un de mes enfants dans un "Collège épiscopal". Le professeur de religion,par ailleurs mandataire ECOLO, précisait à ses élèves, en début d'année, qu'il était professeur de religion parce que dans le cadre de ses études, il avait dû choisir une seconde option d'enseignement mais qu'il n'était pas croyant et que chacun était donc libre de penser ce qu'il voulait de la religion.
    J'ai averti l'inspecteur de religion, mais cela n'a rien changé. J'en ai parlé à la direction qui a "compris ma réaction", mais cela non plus n'a rien changé.
    Tout cela, c'était il y a vingt ans. Ce que j'entends dire aujourd'hui est pire encore...

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