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France : 220.000 avortements annuels ne suffisent pas

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Lu ICI :

Plus de 220 000 avortements légaux déclarés en France par an, cela ne leur suffit donc pas ? Un rapport qui vient d’être mis en ligne par le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes, HCEfh, demande que le ministre des Droits des femmes fasse quelque chose pour rendre plus accessible une « information de qualité » sur le droit à l’avortement. Il s’agit de contrebalancer les sites pro-vie qui sont, horreur ! souvent mieux référencés et plus visibles sur internet, avec leurs présentations « fallacieuses », leur « information biaisée, voire hostile à la pratique de l’avortement ».

C’est urgent, Najat Vallaud-Belkacem qui exerce le « porte-parolat » (sic) du gouvernement, commanditaire du rapport, doit créer un site internet institutionnel pour les femmes et les professionnels de l’« IVG » ; il faut un numéro de téléphone national, « guichet unique » à quatre chiffres, anonyme et gratuit, une équipe nationale de veille et d’animation, fruit d’un partenariat entre l’Etat et des associations pro-mort, et pour finir organiser la première campagne nationale d’information sur le droit à l’avortement : par radio, affiches et encore mieux par la télévision.

C’est le « discours public volontariste » que le HCEfh appelle de ses vœux : l’Etat doit vouloir, aimer, promouvoir la mise à mort volontaire des tout-petits après l’avoir légalisée, remboursée, et pour finir rendue gratuite en janvier dernier.

Lire la suite sur le blog de Jeanne Smits

Commentaires

  • Il y a aussi des effets terribles progressivement induits sur la mentalité des gens, par ces lois qui autorisent l'élimination brutale de millions de bébés humains chaque année dans le monde, sous le simple prétexte que ces bébés sont «non désirés».
    .
    Par exemple, comment encore expliquer aux citoyens des pays autorisant ces assassinats arbitraires, qu'ils n'auraient pas le droit d'éliminer quand ils veulent un animal de compagnie «non désiré», alors qu'ils ont le droit d'éliminer un bébé humain «non désiré» sans aucune forme de procès.
    .
    C'est une régression fatale de civilisation. En autorisant l'élimination des bébés humains, êtres innocents, inoffensifs et sans défense, on justifie a fortiori l'élimination de toute autre créature vivante sous n'importe quel prétexte. Juste pour le bon plaisir de l'être humain qui décide que cette autre vie est «non désirée», que cette autre vie le dérange et doit disparaître.

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