Sur Radio Notre-Dame : La question des divorcés-remariés au coeur du « G8 » papal
Et plus particulièrement la question de la nullité des mariages, et des secondes noces pour les divorcés… Des thèmes chers à Benoît XVI, et que le Pape François souhaite aborder en profondeur lors de sa rencontre en octobre prochain avec les 8 cardinaux nommés pour le conseiller.
C’est une information Radio Vatican. En diffusant l’intégralité des propos improvisés par le Pape, à huis clos, devant tous les prêtres de Rome, à Saint Jean-de-Latran, la radio officielle du Saint Siège a donné la couleur du prochain G8 papal, qui se tiendra à Rome du 1er au 3 octobre prochain.
Les familles catholiques inquiètent le Pape
Cette réunion abordera donc la question des familles catholiques, et plus particulièrement les problèmes relatifs au mariage, à l’annulation de ce mariage, et aux divorcés remariés, en délicate situation au sein de l’Eglise. « Notre devoir est de trouver une autre voie, dans la justice » a notamment expliqué le Pape François devant les prêtres du diocèse de Rome, revêtant pour l’occasion son habit d’évêque diocésain.
Benoît XVI, en son temps, s’était déjà penché sur la question. Pour lui, cette question ne pouvait « se réduire seulement à la question de savoir s’il est possible ou non de communier ». Pour le Vatican, le problème est plus profond que cela, et le Pape François entend bien y réfléchir, et si possible « entreprendre quelque chose pour résoudre les problèmes de la nullité des mariages ».
Vers l’abolition de la nullité du mariage ?
Selon la doctrine catholique, les hommes et les femmes qui s’unissent dans le mariage s’engagent pour la vie. S’il y avait rupture de ce lien, le divorce mais aussi le remariage les empêcherait alors de communier, si le précédent mariage n’a pas été annulé. Actuellement, de nombreux divorcés-remariés, pleinement actifs dans l’Eglise, souffrent, de fait, de cette exclusion.
Terrain sensible donc… Tout comme son prédécesseur, François a témoigné la volonté que ces couples se sentent aujourd’hui accueillis dans la communauté chrétienne. Devraient donc être approfondis au cours de ce « G8 » les raisons de la nullité du mariage, avec notamment l’idée de les rendre possibles pour plusieurs raisons : les cas d’immaturité, de manque de foi, et ce, quand le sacrement a été conclu par simple convention sociale.
La société, justement, sera au cœur des discussions. Le pape s’inquiète en effet de la remise en question de la famille traditionnelle, avec l’explosion des divorces, des difficultés des familles recomposées, et des nouvelles formes de famille, comme notamment le mariage des personnes de même sexe qui continuera de faire couler beaucoup d’encre. Toutes ces questions pourraient par la suite être confiées à un synode d’évêque pour examen.
Commentaires
Jésus a condamné la loi juive, qui permettait la répudiation aisée de la femme par l'homme. Il leur a reproché que cette loi avait été édictée à cause de la dureté de leur cœur. Or, les autorités civiles contemporaines ont réintroduit cette ancienne loi juive, en permettant la répudiation aisée aussi bien par la femme que par l'homme.
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Ce sont donc les autorités civiles contemporaines qui ont permis et facilité le divorce, contre l'avis de l'Église, restée fidèle à Jésus. Et ce sont donc ces autorités civiles qui sont responsables des drames terribles liés à ces répudiations des époux l'un par l'autre : drames pour le couple, pour les enfants, pour les deux familles, pour tout le tissu social. Chaque divorce est une destruction non seulement du tissu familial, de la famille, mais aussi de tout le tissu social, de la société.
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Comme le disait Jésus, il faut une terrible dureté de cœur pour vouloir imposer aux gens ces drames du divorce que sont les dépressions, les suicides, les précarités, les échecs scolaires ou professionnels, les consommations de drogue, etc..
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Si l'Église ne tenait pas bon, et se mettait à avaliser ce fléau du divorce, voulu et créé par les autorités civiles, qui se battrait encore pour protéger les gens contre tous ces drames ? Les adversaires de l'Église crieraient alors victoire, ils auraient fait plier l'Église, il lui auraient fait renier Jésus, l'Église aurait répudié son Époux. C'est alors César qui aurait gagné contre Dieu.
Bravo, "Pauvre Job"!
Oui, c'est exactement ça "Pauvre Job". Que de gens sont touchés par ces querelles de "couples". Si ce phénomène s'amplifie encore ce sera intenable pour tous ... Qui sera qui ?
Et la famille dans tout ça ? Quelle attitude avoir avec ces enfants qu'on n'a pas vu grandir et qui sont les enfants de votre nouvelle belle fille ? pour lesquels vous devez être " accueillante, généreuse, aimante, bienveillante" !? Oui !
Vous êtes Mamy pour un enfant, Bérangère pour un autre... la mère d'Alain ... ou je ne sais quoi pour un autre encore
- On veut divorcer, on veux se remarier, on veut communier ...
Pourtant l'Eglise n'a jamais arrêté d'aider à la préparation du mariage pour que tout se passe bien. Ne dit-elle pas que Jésus-Christ doit faire partie intégrante de votre couple. Evangiles, Messes, commandements, Sacrements.
Comme la Ste Trinité, le couple est trinitaire ... !
Le St Père le dit bien: - "attention, c'est l'Esprit mondain qui est à l'oeuvre", alors on travaille pour le surperficiel, le quand dira-t-on, le paraître ...
On n'a plus pris le temps pour chercher Dieu; c'est considéré comme du temps perdu. Pas pour s'installer sur la terre le mieux possible, avec des relations choisies , avec des activités distrayantes et défoulantes ... Il y a comme une surenchère... C'est une société "mondaine" qui n'est pas stable parce qu'elle n'est pas fondée sur le Seigneur "premier servi".
J'ai peur de cette société sans Dieu !
Lapin, je te baptise carpe disait, dans un film de Fernandel, le moine qui ne voulait pas faire abstinence. Etendre, sans le dire, l’annulation du contrat conjugal à des causes inavouées qui relèvent de sa résolution, c’est ce qui se fait déjà, trop souvent je pense, dans les officialités diocésaines et, sans doute aussi, à Rome.
Subreptice ou avouée, aucune vraie réforme de s’est jamais faite dans l’Eglise en abaissant les exigences de la parole évangélique. « Si le sel s’affadit, avec quoi le salera-t-on ? » (Mt. 5, 13).
Il en va de la crise du mariage comme de celle du sacerdoce presbytéral : le problème doit se traiter en amont. Il n’y a pas de droit au mariage religieux (pas plus qu’à l’ordination sacerdotale). Ne devraient y être admis que ceux dont la formation et la maturité offrent de sérieuses garanties. Mais, pour cela, la mentalité séculariste qui prévaut aujourd’hui, dans l’Eglise comme dans la société occidentale, devrait changer.
A cet égard, il me semble que les déclarations du nouveau pape au clergé du diocèse de Rome selon lesquelles "jamais l'Eglise ne s'est portée si bien qu'aujourd'hui " et aux évêques d’Amérique latine, lors des JMJ de Rio, pour regretter que l’Eglise apparaisse « tel¬lement exigeante dans ses ‘standards’ que la ‘mesure’ de la Grande Église apparaît trop haute » mériteraient d’être précisées avec plus de rigueur et pas seulement pour clarifier l’(apparente ?) contradiction dans les termes.
Faire la charité dans la vérité est un art difficile…
Bonjour,
les catholiques accusent les "sectes" de sortir des versets hors de leur contexte; c'est pourtant ce qu'ils font couramment; par exemple, au sujet du divorce, Jésus cite un motif de divorce valable (un seul)(Mat: 19:9) savez-vous lire?; par ailleurs, que signifie "ce que Dieu a uni", un couple non marié (à la mairie; à l'église) a-t-il le droit de se séparer? quand il y a des enfants seulement? le mariage indestructible concerne qui? Il y a des couples qui peuvent se déchirer, se séparer par la distance, cela est-il "un divorce"?"une seule chair", n'est-ce pas aussi, une relation avec une prostituée d'après l'apôtre Paul (qui est bien vu chez vous, je crois)
Pourquoi dénoncer l'Etat qui "autorise" le divorce! ce n'est pas l'Etat, malgré ses défauts, qui invente les dissensions, voire qui les impose? Par tous les sites, vous protestez contre les conséquences financières, psychologiques des "enfants du divorce", soit! Mais, je vous propose sous les yeux, les conséquences désastreuses financièrement, médicalement, d'un couple très catholique, sans gros péchés, mais vivant dans la mésentente; résultat: une catastrophe; alors,dans ce cas-là, vous accusez qui?Quand un couple va mal et parle divorce, que faites-vous? vous venez avec vos chaines clamant "c'est interdit"? et vous résolvez quoi? en attachant les personnes, vous les menez à l'amour?Quand on vous a entendu, on n'a qu'une envie: fuir!
@ bonoeil ... Merci pour vos conseils, mais il est difficile de vous suivre, qu'essayez-vous de démontrer ? Que la destruction massive des familles, de plus en plus favorisée et facilitée par les autorités civiles, est une bonne chose pour les gens et pour la société ? Et vous voudriez donc apparemment que l'Église emboîte le pas de ces autorités civiles ?
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Pour revenir les pieds sur terre, je pense que vous devriez plutôt aller tenir ce discours à tous les conjoints divorcés, à leurs enfants, à leurs familles, à leur relations d'amitié ou de travail. Et surtout vous devriez les écouter. Rien ne vaut de se confronter à la réalité vécue des gens avant d'en parler.
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L'Église y est confrontée tous les jours, et elle souffre avec tous ces gens touchés de plein fouet par le fléau du divorce. Mais elle n'est pas responsable de cette situation dramatique. Pourquoi n'iriez-vous donc pas aussi tenir votre discours auprès des autorités civiles, responsables de cette destruction massive des familles ? Il est plus efficace de s'adresser aux premiers responsables d'un problème.
Si Dieu nous répudiait sur nos manquements, sur nos trahisons, il n'y aurait plus d'espérance. S'il divorçait de nous pour un oui, pour un non, où en serions-nous?
Mais il a révélé ce qu'est l'Amour, inconditionnel, jusqu'à mourir sur une croix. Il a montré ce qu'est le pardon, et qu'il faut pardonner toujours, et que l'Amour est crucifiant, c'est mourir à soi, c'est tout donner.
C'est Jésus le modèle.
Et pas le cliché facile du couple "catho", forcément hypocrite parce que "catho". Je ne dis pas que cela n'existe pas mais c'est un argument biaisé, fallacieux pour justifier le divorce.
J'aime bien l'intervention de Guy. :-)
"Si Dieu nous répudiait sur nos manquements, sur nos trahisons, il n'y aurait plus d'espérance. S'il divorçait de nous pour un oui, pour un non, où en serions-nous?
Mais il a révélé ce qu'est l'Amour, inconditionnel, jusqu'à mourir sur une croix. Il a montré ce qu'est le pardon, et qu'il faut pardonner toujours, et que l'Amour est crucifiant, c'est mourir à soi, c'est tout donner.
C'est Jésus le modèle."
La préoccupation du Pape François est de taille. Pour trouver réponse nous avons vraiment besoin de prier, de beaucoup prier pour être éclairé et guidé vers les solutions. Dieu nous parle dans la conscience au travers de la prière sous forme d’oraison, de l’Adoration, de la lecture de la bible, de l’écoute des belles paroles de Dieu en église (homélies des prêtres), de l’écoute ou lecture des psaumes, et aussi surtout par tous nos actes de charité/amour pour le prochain en commençant par les plus proches ! La famille et l’église où nous allons bien évidemment chaque dimanche, n’est-ce-pas ? (prêtres, fidèles, …), pour continuer par tous ceux qui sont en dehors de l’Eglise.
La divine providence, pour sa plus grande gloire ... finale, utilise tout, le bon et le mauvais, et même le très mauvais, le mal sous toutes ses formes, pour produire à partir de la méchanceté même, un grand bienfait pour l'humanité. Le divorce est une souffrance tolérée de Dieu, mais non voulue, pour nous ouvrir les yeux, nous recentrer sur Lui qui seul peut nous sauver ! Avons-nous déjà pensé au nombre d’athées dans le monde ? En Europe ? La montée de l’Esprit de la Franc-maçonnerie ? L’impact des médias de l’Esprit du monde sur nos pauvres cerveaux anesthésiés ? Etonnez-vous alors de tous nos drames sociétaux ! On peut être aveuglés, mais on ne doit pas être niais ! Il n’est pas trop tard pour réagir.
Il n'y a pas de coupables « humains » au drame du divorce et ses dérives. Ne montrons donc pas du doigt des coupables hommes ou femmes. Le seul « phénomène » à juger, le seul coupable c'est LE DIABLE qui nous fait sans arrêt "tomber" en tentation. Le monde, anesthésié par ce monstre, rit et dit : « Il n’existe pas ! pffff ». Or la plus grande ruse de ce « monstre » est bien de faire croire qu’il n’existe pas. Pendant ce temps, accompagné de tant d'esprits mauvais qui nous surpassent par leur malignité, par la légèreté de leur nature, leur agilité en tout, nullement appesantie par la masse du corps, et dotés d’une longue expérience des choses qui augmentent leurs pouvoirs, ils agissent sur nous inconsciemment, et nous détourne de Dieu créateur ! Excessivement rusé il est arrivé même à faire oublier tous les péchés qui existent. A nous, âmes de baptisés ! L’Eglise (ou le Diable sévit également) parle peu de ce « horriblement laid », et elle ne met pas assez en garde « fuyez-le ». Comment en fuyant les péchés. En suivant les lois de Dieu et pas celles que l’Esprit du mal a glissé à l’oreille des gouvernements ! Seul le Pape François nous remet ce monstre sur le tapis depuis le début de son pontificat. Il le remet sur le tapis et en même temps il place au-dessus de lui Marie ! Il sait que ce dernier a peur de Marie ! Le Pape agit bien.
Comment allons-nous sauver les futures familles du divorce et de toutes ces dérives? Certainement pas en regardant en arrière, mais devant nous!
Pour qui ne croit pas au Diable – responsable de tous les divorces et toutes les dérives et pour qui est baptisé, je voudrais demander :
Connaissez-vous encore votre promesse du baptême (catéchisme de l’Eglise catholique) ?
« Renoncez-vous à Satan ? oui ! Renoncez-vous à toutes les œuvres de Satan ? J’y renonce. Renoncez-vous à toutes ses séductions ? J’y renonce.
Croyez-vous en Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre ? Je crois. Croyez-vous en Jésus-Christ, son Fils unique, notre Seigneur, qui est né de la Vierge Marie, a souffert la passion, a été enseveli, est ressuscité d’entre les morts, est assis à la droite du Père ? Je crois. Croyez-vous en l’Esprit Saint, à la sainte Eglise catholique, à la communion des saints, au pardon des péchés, à la résurrection de la chair et à la vie éternelle ? Je crois. »
Après cela, dites-moi encore : Qui d’entre nous, baptisés, pouvons-nous encore définir et citer les péchés reconnus par l’Eglise, et causes de tous nos fléaux mondiaux ?
Définition : Le péché est une offense faite à Dieu en désobéissant à sa loi !
Péchés devant Dieu :
7 péchés capitaux :
Orgueil – Avarice – Envie – Colère – Impureté – Gourmandise – Paresse ou acédie.
6 péchés contre l’Esprit-Saint
Désespoir du salut – Présomption de se sauver sans mérite – Contestation de la vérité connue – Envie de la grâce d’autrui – obstination dans ses péchés – Impénitence finale.
4 péchés qui crient vengeance devant Dieu
Homicide volontaire – Péché impur contre nature – Oppression des pauvres – Fraude dans le salaire des ouvriers.
Voilà tous les péchés que l’horriblement laid ange des ténèbres veut nous faire oublier, et il y est arrivé ! Ni nous parents, ni professeurs de religion catholique ne savent plus parler à nos jeunes têtes blondes des péchés, et beaucoup d’entre nous serions bien ennuyés de définir ce que c’est. Tant ils ont été remplacés par les nouvelles « lois de l’esprit du monde » tellement plus agréables à suivre. Mais nous ignorons que par ces lois, nous choisissons comme Père ; le Diable et non Dieu. Nous croyons y gagner en paix et liberté. C’est le contraire.
Voulons-nous vraiment un monde meilleur ? Alors remettons d’urgence Dieu au milieu de notre vie, cœur, respiration, de notre couple, de notre famille, de toute la société SANS ROUGIR. Commençons par demander pardons et promettons de faire chaque jour mieux. Personnellement, avant de le demander aux autres.
OSONS ! Dieu ne nous aidera que si on fait preuve de courage, d’audace. Il faut dire NON, NON, NON au Père des ténèbres. OUI, OUI, OUI au Père des Cieux. Qui le veut ? Si nous n’osons pas parce que nous avons peur du « qu’en dira-t-on » (c’est le nom d’un des démons), ou que « nous n’avons rien à dire » (autre nom de démon), « Nous ne pouvons pas faire autrement que les autres ! » (3ème nom de démon). Il y a plein de noms de démons. Etc. Cela signifie que nous n’avons pas confiance en notre Père des Cieux – TOUT PUISSANT, qui nous protègera nous et ceux que nous aimons. Alors il ne nous étonnons pas de continuer à souffrir, pleurer, et nous lamenter, jusqu’à ce que nous ayons compris. Quand Dieu dit qu’il faut le choisir lui avant notre famille, amis, … cela ne veut pas dire que nous devons les nier, ne plus les aimer ! Cela veut dire simplement ; «Si vous osez m’aimer d’abord, et me faites aimer des vôtres, je vous protègerai, et vous recevrez en abondance mes grâces; ainsi que tous ceux que vous aimez ». Dieu ne nous ment jamais.
Que disons-nous dans le Notre Père ; « "... Ne nous laisse pas tomber (ou succomber, …) en tentation..." Qu’est-ce que cette phrase peut bien nous apporter de positif, si nous restons là les bras ballants, continuant à vaquer mollement à nos occupations terrestres.
- Oui, oui… je veux bien t’aider… que tu ne tombes pas… mais tu ne m’écoutes pas ! tu continues tes bêtises (péchés), … donc ça veut dire que tu te crois plus fort que Moi, alors débrouille-toi, jusqu’à ce que tu comprennes qui et l’adulte et qui est l’enfant ! ». Spirituellement il y a aussi l’Adulte (Dieu) et les enfants spirituels (nous).
Dieu, Notre Père, que le monde (influencé par le Malin) le veuille ou non, gouverne l'univers. C’est LUI qui permet que les anges des ténèbres se manifestent à nous, OU PAS !!! Mais il permet aussi aux anges de lumière de se manifester. Nos anges gardiens, les archanges! Les appelons-nous ? Ou bien trouvons-nous cela risible ?