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Le cdH est contre l'allongement du délai de l'avortement à 18 semaines; est-ce suffisant?

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"Le CDH est favorable à la dépénalisation de l’IVG pour la femme et à la diminution du délai de réflexion à 48 heures..." Nous ne trouvons évidemment pas notre compte dans cette position qui fait peu de cas de la vie humaine en gestation. Une fois que la porte est entrouverte, comment empêcher qu'on ne l'ouvre complètement ?

Lu dans La Libre Belgique de ce jour (29 novembre), p. 6 :

“Un fœtus n’est pas qu’une excroissance de l’utérus”

Catherine Fonck se dit “déçue par la manière dont le débat sur l’avortement est mené” en ce moment au Parlement. Déçue à la fois sur le fond et sur la forme. Sur le fond, d’abord, la cheffe du groupe CDH à la Chambre émet deux critiques majeures : sur l’allongement du délai légal de 12 à 18 semaines de grossesse pour la pratique d’un avortement, et sur la dépénalisation totale de l’acte pour le médecin. … “Le CDH est favorable à la dépénalisation de l’IVG pour la femme et à la diminution du délai de réflexion à 48 heures , commence Catherine Fonck. Mais 18 semaines de grossesse, c’est-à-dire 20 semaines d’aménorrhée (depuis les dernières règles), ça va trop loin. On est déjà dans le cinquième mois. L’un des arguments des tenants de la réforme, c’est que c’est un délai qui correspond à ce qui se fait dans une majorité de pays. Mais c’est faux ! La Belgique est l’un des pays qui va le plus loin (12 semaines actuellement). Et en plus, il est très rare que les avortements pour raisons médicales soient autorisés durant toute la grossesse, comme c’est le cas en Belgique.”

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