Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Quand les Néo-Zélandais en ajoutent à la misère du monde

IMPRIMER

Lu sur le site de la RTBF :

Le parlement de Nouvelle-Zélande légalise l'avortement

Le parlement de Nouvelle-Zélande a voté mercredi en faveur de la dépénalisation de l'avortement, permettant aux femmes de décider d'une IVG dans les 20 premières semaines de leur grossesse.

"Pendant plus de 40 ans, l'avortement a été la seule procédure médicale considérée comme un crime en Nouvelle-Zélande", a souligné le ministre de la Justice Andrew Little dans un communiqué. "Mais dorénavant, les avortements seront traités à juste titre comme une question de santé publique."

Le parlement a approuvé la loi en troisième lecture, avec 68 votes pour et 51 contre. Elle doit encore être envoyée au gouverneur général pour être promulguée mais il s'agit d'une formalité.

L'avortement n'était jusqu'ici autorisé en Nouvelle-Zélande que pour sauver la vie de la mère ou pour préserver sa santé physique ou mentale. Il fallait l'approbation de deux médecins ou consultants.

En vertu d'une loi datant de 1961, l'interruption volontaire de grossesse était jusque-là considérée comme un délit passible de 14 ans d'emprisonnement. Ce texte n'a toutefois jamais été appliqué aux femmes subissant un avortement.

"La loi précédente demandait aux femmes voulant avorter de surmonter de nombreux obstacles, ce qui retardait l'accès à la procédure et était moins sûr", a pointé le ministre Little. "Le changement est finalement arrivé et un avortement sûr est désormais légal en Nouvelle-Zélande", a-t-il conclu.

Commentaires

  • Les néo-zélandais courent à leur perte en affrontant Dieu et son autorité, à l'image de ce qui se passe dans la plupart des pays occidentaux. Si le coronavirus n'est pas pris au sérieux , à savoir comme un avertissement divin, il faudra s'attendre à bien pire, hélas !
    L'homme se prend pour un dieu et décrète ce que, selon lui, Dieu doit considérer comme bon ou mal.
    Le droit à l'avortement qu'il concède aux femmes est un droit au meurtre. C'est un droit inhumain qui viole le droit naturel le plus élémentaire: le droit à la vie de tout être vivant quel qu'il soit.
    Les néo-zélandais sont ainsi entrés de plain-pied dans la "civilisation de la mort", au lieu de bâtir une "civilisation de l'amour" comme le demandait le Pape Jean-Paul II.
    C'est lamentable et montre combien notre civilisation est devenue inhumaine ! il faut plaindre ces législateurs car il existe une
    " justice immanente" et, soyons-en persuadés,, elle s'appliquera à tous les états qui ont initié, encouragé ou même imposé pareille barbarie. jusqu'à interdire la liberté de conscience
    Heureux les peuples et les gouvernements qui résistent à cette mode de considérer les embryons et les bébés comme des "choses" sans autre raison d'être que d'être éliminés, rejetés, s'ils dérangent notre soif de jouissance, notre volonté de ne pas être dérangé dans le cours de notre courte vie..
    Heureusement que les U.S.A., la Hongrie, la Pologne, la Russie et quelques autres états réagissent d'une manière exemplaire en faveur de la vie et de la famille ! Contre toute attente, ils témoignent que la vie et l'amour peuvent triompher de la barbarie que tant d'inconscients considèrent comme une vertu !
    Jésus nous a avertis: malheur à celui qui fait du mal à un de ces "petits". Il eut mieux valu qu'il n'eut point existé et qu'on le jeta à la mer avec une meule au cou ! A bon entendeur, salut !
    Prions pour que leur conscience soit éclairée et qu'ils re-découvrent l'horreur de ce massacre. et la beauté de toute nouvelle vie et de la solidarité dont nous devons témoigner envers les mamans en difficulté. C'est cela la vraie charité !...

    Guy ELIAT

Les commentaires sont fermés.