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"Espère" : la première autobiographie d'un pape éditée de son vivant

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La présentation du livre sur le site des éditions Albin Michel :

Une autobiographie n’est pas une affaire privée, mais plutôt un sac de voyage. La mémoire n’est pas seulement ce dont nous nous rappelons, mais ce qui nous entoure. Elle ne parle pas uniquement de ce qui a été, mais aussi de ce qui sera. La mémoire est un présent qui n’en finit jamais de passer, dit un poète mexicain. Cela semble hier, et en réalité c’est demain. »

Récit d’une vie tout entière vouée à la foi, Espère est la première autobiographie jamais publiée par un pape de son vivant. Le pape François avait d’abord souhaité que ce document exceptionnel ne paraisse qu’après sa mort, mais les exigences de notre temps l’ont résolu à rendre public ce précieux héritage.

Dans ce livre inspiré par le désir sincère de transmettre un message d’espoir aux générations futures, le Pape François ne masque rien de sa jeunesse, de ses passions, de ses hésitations et de ses échecs. Il évoque également les enjeux majeurs de son pontificat et les valeurs qui guident son action : la paix, la justice et la fraternité.

Contre la folie de la guerre et de la destruction qui frappent notre siècle, ce « roman d’une vie » constitue un testament moral et spirituel d'une force unique.

De CNEWS (Etiennette de la Ruffie) :

François publie ses mémoires, première autobiographie d'un pape éditée de son vivant

À travers 400 pages, le pape François revient sur sa vie tout entièrement vouée à la foi. 

À travers 400 pages, le Saint-Père livre ses mémoires, dans «Espère». L'ouvrage, qui paraîtra le 15 janvier aux éditions Albin Michel, sera publié simultanément dans plus de quatre-vingts pays, et traduit dans seize langues. 

Une grande première dans l’histoire de l’Église. L’autobiographie du pape François - qui devait initialement être éditée après sa mort - paraîtra le 15 janvier, aux éditions Albin Michel. À l’occasion du jubilé 2025 à Rome placé sous le signe de l’espérance, le Saint-Père l’a intitulé «Espère». Il s’agit de la première autobiographie jamais publiée par un pape de son vivant. 

L’ouvrage est «inspiré par le désir sincère de transmettre un message d’espoir aux générations futures», résume la maison Albin Michel, et le pape François n’y «masque rien de sa jeunesse, de ses passions, de ses hésitations et de ses échecs. 

Il évoque également les enjeux majeurs de son pontificat et les valeurs qui guident son action : la paix, la justice et la fraternité». 

«La vie de ma famille a été marquée par beaucoup de difficultés»

À travers 400 pages, François revient sur sa vie tout entièrement vouée à la foi. Selon les extraits dévoilés ce lundi 12 janvier par la presse italienne, le souverain pontife retrace notamment son enfance à Buenos Aires. 

«La vie de ma famille a été marquée par beaucoup de difficultés, de souffrances, de larmes, mais même dans les moments les plus difficiles, nous avons ressenti qu'un sourire, un rire pouvait puiser avec force l'énergie nécessaire pour se remettre sur les rails», confie-t-il. 

Plaidoyer pour la joie, Espère exhorte le lecteur à garder confiance en Dieu, malgré les «amertumes de la vie». «Il faut éviter à tout prix de se vautrer dans la mélancolie, pour ne pas lui permettre de gangrener le cœur», encourage-t-il. 

En voyage en Irak en 2021, le pape François évoque la «blessure au cœur» qu’a générée la découverte de la ville de Mossoul, qu’il a survolée en hélicoptère. 

«L’une des villes les plus anciennes du monde débordante d’histoire et de traditions, qui avait vu l’alternance de différentes civilisations au fil du temps et avait été un emblème de la coexistence pacifique de différentes cultures dans un même pays - Arabes, Kurdes, Arméniens, Turcomans, Chrétiens, Syriaques -, s’est présentée à mes yeux comme une étendue de décombres, après trois ans d’occupation par Daesh, qui en avait fait son fief». 

Selon lui, Mossoul apparaît comme «la radiographie de la haine, l’un des sentiments les plus efficaces de notre époque». 

Comme le promet le bandeau rouge sur le livre, «Espère» s’apprête à faire événement. Le livre sera publié simultanément dans plus de quatre-vingts pays, et traduit dans seize langues.

Lire des extraits :

Extraits de l'autobiographie du Pape, «Espère»

L'autobiographie du Pape : humilité, humour, enfance et famille migrante

Deux pages qui suscitent le débat sur les réseaux sociaux : page 268 et page 269

Commentaires

  • Je pense que Jean XXIII a aussi publié un récit de sa vie accompagné de réflexion spirituelle de son chemin intérieur : "Journal de l'âme"

  • Première autobiographie ?! Cela fait des années qu'il noircit des pages à se raconter, les forêts d'Amazonie vont y passer.

  • Une petite psychanalyse ne serait pas de trop au vu de vos commentaires ... conseil de medecin

  • Le titre de cette auto-promotion est donc : « espère ».

    Et en effet, comment ne pas espérer, avec les débordements de charité dont cet homme a le secret ! En particulier par rapport à la jeune génération qui aime la tradition de l’Eglise. Jeune génération qui, ne lui en déplaise, lui survivra, survivra à ses oukazes et à ceux de ses obligés, comme les virils Cupich ou Aveline, ou encore Farrell ou McElroy, de Washington.

    Lu ce jour sur Infovaticana, comme mesure de l’ambiance de ce nouvel ode à la charité et à l’inclusion :

    « Cette fascination pour l'incompréhensible, pour le son mystérieux, qui suscite souvent l'intérêt de la jeune génération, est vraiment étrange », dit le pape dans le livre. De plus, il n'hésite pas à affirmer que « cette attitude rigide s'accompagne souvent de vêtements précieux et coûteux, avec des broderies, de la dentelle et des étoles ». François y voit un signe de cléricalisme et non un retour au sacré mais « plutôt une modernité sectaire ».

    Nos frères orthodoxes doivent eux aussi lui paraître bien incompréhensibles… puisqu’ils cultivent le beau et le respect. Si le paupérisme et les aberrations liturgiques ou doctrinaires attiraient les foules, ça se saurait.

  • «La vie de ma famille a été marquée par beaucoup de difficultés, de souffrances, de larmes, mais même dans les moments les plus difficiles, nous avons ressenti qu'un sourire, un rire pouvait puiser avec force l'énergie nécessaire pour se remettre sur les rails».
    --> Apparemment, aucune trace de foi dans sa famille. Un croyant aurait dit "grâce à la foi, la prière, Dieu nous a donné la force de traverser les épreuves".
    Cette horizontalité dominante chez François est restée jusqu'à aujourd’hui, hélas.

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