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Cathobel en remet une couche

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p07_anne_morelli_(600_x_600).jpgPublicité gratuite sur Cathobel, l'agence interdiocésaine d'information religieuse: encore un caucus sur le célibat des prêtres (cliquez ici :  http://www.catho.be/index.php)! C’est dimanche prochain,  27 février, dans l’émission de la RTBF « Et  dieu (avec minuscule évidemment) dans tout cela » de l’animateur Jean-Pol Hecq : avec deux libre-exaministes bon teint : Baudouin Decharneux, directeur du Centre Interdisciplinaire d’Etudes des Religions et de la Laïcité (CIERL) de l’Université Libre de Bruxelles et son adjointe, l’inénarrable Anne Morelli ainsi que l’abbé Eric de Beukelaer, ancien porte-parole du cardinal Danneels, pour jouer le rôle du chrétien de service. En fait, il s’agit d’ une resucée d’un débat organisé par l’ULB au mois de novembre 2010. Sur le même sujet, Cathobel vous invite, en prime, « à ne pas manquer l’édito » du P. Charles Delhez dans l’édition du journal paroissial « Dimanche » qui paraîtra le même jour. Nous avons déjà dit tout le mal que nous en pensions dans ce « post » :Encore le célibat des prêtres et l’ordination sacerdotale des femmes

Commentaires

  • Il ne s'agit pas d'une resucée, mais d'une diffusion d'un débat qui eut lieu à l'ULB. Avant de déclarer ce débat un "caucus" pour le célibat des prêtres, prenez au moins la peine de l'écouter!... Personnellement, je n'étais pas totalement satisfait du déroulement du débat ou de la composition du panel, mais était-ce une raison pour me soustraire au défi et laisser la chaise vide? A l'exemple de notre archevêque, je me suis fixé pour objectif de ne jamais refuser le dialogue et le débat. Méditons la phrase du bienheureux JPII: "N'ayons pas peur!"

  • resucée synonyme de répétition, reprise, réédition

  • Oui, si je lis bien, c'est ce que le "post" voulait dire: le contenu de cette émission n'est pas neuf mais la reprise d'un enregistrement existant depuis novembre 2010.

    Je ne crois pas non plus qu'on vous reproche d'être allé à ce ... "caucus" du CIERL. Ce mot caucus a des sens variables, mais en tout cas celui-ci: réunir des personnes en vue de promouvoir des changements d'organisation.Je ne pense pas que l'ULB l'avait mis sur pied pour conforter la règle du célibat sacerdotal. A preuve: la composition de son panel.

    Par ailleurs je trouve plus étrange le contenu de la démarche éditoriale, récente elle, du journal "Dimanche", parce que c'est un organe d'Eglise distribué aux paroisses et aux fidèles.

    Cordialement.

  • Je trouve qu'Eric de Beukelaer se comporte parfaitement lors des émissions où il est le "chrétien de service"; c'est un rôle difficile et je le trouve toujours "dans le ton", défendant ses positions sans dogmatisme ni agressivité...

  • Vous avez raison et notre propos n'était pas de le critiquer. C'est un rôle ingrat qui résulte de la composition manipulatrice des plateaux de télévision lors de ces émissions qui vont toujours dans le même sens.

  • La réponse de l'abbé de Beukelaer est compréhensible mais est-elle adéquate? Quand un "débat" est piégé, ce n'est pas un débat mais un matraquage, au résultat connu d'avance. C'est le cas ici de façon flagrante. Dans ce type de situation, mieux vaut ne pas venir. S'il est, en effet, bon de parler avec des gens prêts à écouter, il est en revanche stérile de discuter avec des personnage mal intentionnés, qui organisent une discussion dont les résultats sont connus d'avance étant donné le choix du modérateur, des autres invités etc. Si le "pipage des dés" est tel que l'Eglise ne peut qu'en ressortir battue, la chaise vide est souvent la meilleure réponse. N'est-ce pas une question d'honneur de l'Eglise?
    Au final, il ne sert pas à grand chose de courir a tout prix derrière les media.
    (Ceci, encore une fois, sans juger aucunement les intentions de l'abbé de Beukelaer)

  • Il ne s'agit pas de courir derrière les médias. Depuis les six mois que je ne suis plus en fonction comme porte-parole, je pense avoir été plutôt discret, non? Mais je donne encore des conférences. Invité à une conférence à l'ULB, le modérateur qui est journaliste me demande de pouvoir enregistrer pour éventuellement diffuser quelques mois plus tard. Evidemment, j'aurais pu bloquer et dire 'non'. J'ai plutôt tendance à faire confiance en la puissance de la Parole. Histoire de donner courage à tous ces baptisés qui doivent témoigner de leur espérance et se retrouvent parfois bien face au nombre, dans leur milieu professionnel, leur école, leur famille... Et, peu modestement sans doute, même si le débat à l'ULB fut rude, je ne pense pas que l'honneur de l'Evangile en est sorti complètement bafoué. Enfin, c'est mon avis.

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