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Combien de séminaristes diocésains en Belgique ?

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Nous avions déjà mentionné l’information (à confirmer) de « Cathobel » selon laquelle il était prévu  8 entrées au Séminaire pour la Belgique francophone.

 Voici maintenant une information complémentaire émanant de l’agence « Belga » et datée du 20 septembre : Dix-neuf nouveaux candidats-prêtres sont inscrits auprès de séminaires belges pour la rentrée académique, indique l'hebdomadaire chrétien Tertio dans son édition de mercredi. "Au total, il y a désormais 83 candidats-prêtres en Belgique", indique Emmanuel Van Lierde de Tertio .Le séminaire de Namur compte le plus de candidats en Wallonie, avec 32 séminaristes, soit autant que le nombre recensé au sein de l'archevêché de Bruxelles-Malines, selon l'hebdomadaire.

 Des chiffres présentés de façon un peu brouillonne : on aimerait connaître les nombres respectifs d’entrées néerlandophones et francophones. Par ailleurs, il serait étonnant que les 32 séminaristes inscrits au séminaire interdiocésain de Namur relèvent  tous de l’archidiocèse de Mgr Léonard…

De son côté, « Cathobel » précise le 22 septembre :« Quatorze nouveaux séminaristes belges : les séminaires belges ont accueilli cette année treize nouveaux candidats à la prêtrise. Un quatorzième séminariste a choisi le séminaire de Bovendonk, aux Pays-BasParmi ces quatorze nouveaux séminaristes, huit sont francophones: quatre viennent de l’archidiocèse de Malines-Bruxelles, deux de Namur et deux de Tournai. Côté néerlandophone, on compte deux candidats venant de l’archevêché de Malines-Bruxelles, deux du diocèse de Bruges et deux d’Anvers »

 Vous avez dit « communication » ?

 



Commentaires

  • A propos des séminaristes belges (rari nantes in gurgite vasto), je lis cette information publiée par Vini Ganimara sur le blog « Osservatore Vaticano » :
    "Récemment, deux séminaristes ont quitté le séminaire de Tournai – affaire qui a été largement évoquée sur internet. Selon mes sources, il semblerait que l’un soit parti de son plein gré, tandis que l’autre aurait été prié de vider les lieux qui s’accommodaient mal de son dangereux « classicisme ».Cette affaire, tristement ordinaire, me donne l’occasion de faire un point sur la situation des vocations dans ce diocèse de Tournai.
    Voici 3 mois, Mgr Harpigny a conféré le sacerdoce à l’abbé Bruno Vandenbulcke. Mais cette ordination cache mal une situation tragique. Les deux séminaristes partants représentent quasiment une année moyenne du séminaire (la première année en comporte deux, aujourd’hui). Et cela donne logiquement des moyennes d’ordination catastrophiques: à peine une par an!
    En 2009, Mgr Harpigny avait, en tout et pour tout, 5 séminaristes (même pas 1 par année de séminaire), pour un diocèse d’ 1.250.000 habitants!
    Et, comme partout, la campagne en faveur des vocations diaconales est très loin de donner les résultats escomptés: 2 ordinations l’an dernier, 1 cette année-ci. Soit dit en passant, voilà qui montre la mauvaise foi ou l’ignorance de ceux qui prétendent lier la crise des vocations (ou plutôt la crise des réponses à la vocation sacerdotale, car il est fort douteux que Notre-Seigneur appelle moins de prêtres aujourd’hui qu’hier…) à la question du célibat ecclésiastique. L’absence d’obligation du célibat pour le diaconat permanent ne donne pas réellement des ordinations abondantes!"

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