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La liberté d'expression de plus en plus menacée

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Le Friday Fax publie une analyse d'une évolution qui conduirait à censurer le discours religieux, en particulier parce qu'il contrarie les revendications des lobbies holebi. On a pu s'en rendre compte, ces jours derniers, à travers les réactions exprimées par des politiques à l'égard des prises de position de Mgr Léonard ou de Benoît XVI (discours au corps diplomatique).
Analyse : Des conflits de droits concurrents font craindre des entraves à la liberté d’expression

NEW YORK, 13 Janvier (C-FAM) Des tensions sont apparues ces derniers temps entre les partisans de la liberté d’expression et ceux de la répression du « discours haineux », suite aux récentes initiatives prises à l’ONU en collaboration avec l’administration Obama.

Les libertés d’opinion et d’expression sont toutes deux reconnus depuis longtemps comme fondamentales. C’est ce qui a été confirmé par dans de récentes “observations générales” du Comité des droits de l’homme de l’ONU, qualifiant ces libertés jumelles de “pierres angulaires de toute société libre et démocratique”.

Lire la suite : http://www.c-fam.org/fridayfax

Commentaires

  • L'incohérence de ces législations limitant la liberté d'expression est particulièrement frappante dans les tentatives de réprimer ce qu'on appelle l'homophobie d'un côté, et l'islamophobie de l'autre. En effet, la charia musulmane est incompatible avec les comportements homophiles. Un islamophile ne peut donc être que homophobe et un homophile ne peut être que islamophobe.

    Par conséquent, il ne saurait être question d'introduire un délit de 'phobie' contre quoi que ce soit. On ne peut, par une loi, obliger un individu à aimer ce qu'il n'aime pas. Si quelqu'un n'aime pas la charia musulmane ou les comportements homophiles, il ne saurait être question de lui interdire de ne pas les aimer. On ne saurait obliger un individu à boire une soupe qu'il n'aime pas, ou à lui interdire de dire qu'il ne l'aime pas.

    D'ailleurs, en Belgique et ailleurs, personne n'a jamais songé à interdire cette phobie qu'on appelle christianophobie, ou plus précisément cathophobie. Les plus hautes autorités de l'État la pratiquent même ouvertement, au mépris de la neutralité dont devrait faire preuve tout représentant de l'État.

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