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Marche pour la Vie : des questions et des réponses

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Nous ne lâchons pas Antony qui veut encore bien répondre à nos questions; merci à lui!

- N'avez-vous pas l'impression que le tissu social et familial en Belgique est tellement délité qu'il est vain d'en espérer un sursaut en faveur de la protection de l'enfant à naître ?
Si le tissu social et familial Belge était dans un bon état, l'enfant à naître serait sans doute davantage respecté mais c'est aussi parce que 19 000 enfants à naître sont supprimés chaque année que le tissu social et familial se délite... À la fois cause et effet, l'avortement s'inscrit dans un cercle vicieux. Alors, certains diront qu'il faut commencer par resserrer les liens familiaux et ensuite s'occuper du problème de l'avortement mais comment espèrent-ils sérieusement installer la paix dans les familles sans mettre d'abord fin à la guerre menée contre l'enfant à naitre ?
- Comment se présente, actuellement, la mobilisation pour la Marche de cette année ?

Au risque de pécher par optimisme, je vous dirai que nous espérons un cru exceptionnel. 10 000 flyers ont été écoulés en quinze jours ! Des cet automne le grand rabbin Guigui et l'imam Kastit ont annoncé leur participation. Ils seront rejoints par Mgr. Van Looy et peut-etre par Mgr. Harpigny. Comme chaque année des délégations de toute l'Europe sont attendues. En Belgique, des départs en trains et en car s'organisent depuis Ostende, Gand, Liege, Verviers, Namur...

Commentaires

  • La remarque concernant le délitement du tissu social et familial est très exacte. Quand on envisage d'avoir un enfant, on pense que le lien qui nous unit au "partenaire" est tellement fort qu'il durera "éternellement". Ce lien est toutefois soumis à rude épreuve à cause de la permissivité de la société d'aujourd'hui (un fruit amer de "mai 68"). Signalons cependant le cas de "Juliette", 16 ans, qui a choisi, envers et contre tout de garder son enfant. Cet exemple mérite d'être signalé.

  • Espérons donc que beaucoup de catholiques (et autres) trouveront le courage de quitter leur maison, pour marcher une heure en silence pour cette cause. Pour se motiver, ils peuvent sans doute considérer cela comme une démarche de carême, comme un partage avec la détresse de deux de leurs prochains.

    D'abord, bien sûr, la détresse du bébé menacé de mort. Mais aussi la détresse de la mère, poussée à cette extrémité par le père, par la famille, par la société, par le planning familial, par le travail, etc...

    Tous ces gens la poussent à se transformer en coupable d'un infanticide, mais dont ils la laisseront ensuite seule porter la culpabilité. Tous ces bons apôtres ou tartuffes ne seront plus auprès d'elle pour porter toute sa vie la mémoire de cet acte contre nature, contre sa nature de mère, première protectrice de cette vie en elle.

  • Cherche une équipe de jeunes/moins jeunes pour DISTRIBUER de la main à la main flyers sorties des grandes écoles et Mosquée, et Synagogue.

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