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conférences, spectacles, manifestations

  • 29 novembre 2025 (Louvain-la-Neuve) : Colloque sur l'impact des écrans chez les jeunes

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    Colloque sur l'impact des écrans chez les jeunes

    Il reste quelques places pour nous rejoindre pour cet événement unique mettant en lumière les effets des écrans sur la santé, les comportements et le développement des jeunes. Des experts partageront leurs recherches, leurs expériences et des conseils pratiques pour agir.

    Nos enfants et nos jeunes en valent la peine !

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  • "Sacré-Coeur" : 6 séances spéciales en présence du Père Marot et d'Alicia Beauvisage

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    Après un véritable triomphe en France, le film Sacré‑Cœur est enfin arrivé dans les cinémas belges : un docu‑fiction bouleversant qui explore la dévotion au Cœur de Jésus, touchant des publics de tous horizons. Une occasion unique de découvrir « la puissance de l’amour personnel et inconditionnel », dans un cinéma près de chez vous.

    A l'issue de la séance, le père Édouard Marot et Alicia Beauvisage échangeront avec le public lors d’une séance de questions-réponses.

    En partenariat avec RCF, les cinémas Kinepolis, Pathé et Stuart proposent six séances exceptionnelles dans toute la Belgique :

    Jeudi 20/11, 19h30 Kinepolis Liège-Rocourt (infos et billets)
    Dimanche 23/11, 19h30 Ciné Stuart La Louvière (infos et billets suivront prochainement)
    Lundi 24/11, 19h30 Kinepolis Braine (infos et billets)
    Mardi 25/11, 19h30 Kinepolis Bruxelles (infos et billets)
    Mercredi 26/11, 19h30 Pathé Acinapolis Namur (infos et billets)
    Jeudi 27/11, 19h30 Pathé Louvain la Neuve (infos et billets)

  • Janvier 2026 : un consistoire pour quoi faire ?

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    De Christopher R. Altieri sur Crux :

    Le consistoire offrira à Léon XIV l'occasion de faire part de ses projets aux cardinaux.

    L'une des principales nouvelles de la semaine dernière était la tenue prochaine d'un consistoire début 2026. Prévu les 7 et 8 janvier 2026, ce rassemblement n'a pas pour but la création de nouveaux cardinaux, mais de donner aux cardinaux l'occasion de se rencontrer et de discuter ensemble.

    De telles rencontres furent rares et espacées durant le pontificat de François, un fait que de nombreux cardinaux déploraient en privé.

    « Ce sera une excellente occasion pour beaucoup d’entre nous de faire connaissance », a déclaré le cardinal Isao Kikuchi de Tokyo à Crux, « et de partager nos préoccupations du point de vue de la périphérie et d’aider le Saint-Père à discerner ensemble la direction du Saint-Esprit. »

    Ce sera l'occasion pour le pape Léon XIV de poser des questions à ses cardinaux, et ce sera l'occasion pour eux de s'adresser à lui ainsi qu'entre eux.

    L'un des enseignements du pontificat de François est que le pape ne s'isole que lorsqu'il ne dévoile pas ses pensées à ses plus proches collaborateurs.

    Une autre leçon du pontificat de François – souvent apprise à ses dépens – est que le pape succède à Pierre et à tous ses prédécesseurs à la papauté. Ce fait, ancré dans l'histoire et fruit d'une longue et difficile construction de l'identité propre à l'Église, a constitué une force structurante essentielle au sein et pour la papauté à travers les siècles. Il a profondément influencé l'action des papes, leurs intentions et leurs convictions quant à leurs possibilités, ainsi que la manière dont ils l'ont menée.

    François l'a reconnu en théorie, mais les circonstances de son élection au siège de Pierre étaient extraordinaires et exceptionnelles, à l'image de sa personnalité et de son caractère. De l'avis général de ses plus fervents partisans comme de ses critiques les plus implacables, François accordait peu d'importance aux précédents (ni même aux protocoles établis au fil des siècles en fonction des traditions institutionnelles).

    Cela signifie que Léon XIV a une aiguille difficile à enfiler.

    Léon XIV doit prouver aux cardinaux qu'il est un homme indépendant, tout en assurant la continuité avec un prédécesseur anticonformiste et avec tous ses prédécesseurs à la charge qu'il occupe actuellement. C'est un peu comme le vieux précepte commercial : « Grand, Rapide, Bon ». Deux suffisent. Léon a besoin de trois : être lui-même, s'inscrire dans la continuité de François et s'inscrire dans la continuité de l'histoire même de la charge pétrinienne.

    Dimanche dernier – jour de la dédicace de la basilique du Latran, en réalité la cathédrale et archibasilique de Rome – Léon XIV a parlé de l'Église comme d'un « chantier » et a souligné que cette image, également utilisée par son prédécesseur, « évoque l'activité, la créativité et le dévouement, ainsi que le travail acharné et parfois des problèmes complexes à résoudre ».

    « Cela témoigne des efforts concrets et tangibles déployés par nos communautés qui grandissent chaque jour, partageant leurs charismes sous la direction de leurs pasteurs », a déclaré Léon.

    Si l'Église est un chantier, le pape n'en est pas l'architecte mais l'ingénieur en chef, et les cardinaux en sont les contremaîtres.

    Léon XIV a également souligné que la construction de la basilique du Latran « a connu son lot de moments critiques, de retards et de modifications des plans initiaux ».

    Les penchants anticonformistes de François et son goût pour un leadership déroutant – pour reprendre les mots de John L. Allen Jr., rédacteur en chef de Crux – ont souvent libéré une énergie énorme au sein de l'Église, mais en l'absence d'une direction claire, ces énergies se sont également dissipées rapidement.

    Le prochain consistoire est l'occasion pour le nouveau pontife, successeur de François, de marquer le début d'une nouvelle ère léonine, mais seulement s'il fait connaître à ses cardinaux – et leur permet de bien comprendre – quels sont ses projets.

    De manière subtile et réfléchie, Léon a déjà préparé le terrain. Il est d'un classicisme presque irréprochable quant aux attributs de sa charge et au respect du protocole pontifical. Il est remarquable de le voir retrouver une certaine régularité, voire une certaine dignité, dans ses actions, tout en tissant des liens avec les fidèles et en laissant transparaître sa personnalité avec subtilité, parfois à des moments clés.

    Lors de leur visite au pape Léon XIV au Vatican le mois dernier, le roi Abdallah II et la reine Rania de Jordanie ont été interrogés par la reine sur son prochain voyage au Liban – une étape d'un voyage prévu du 27 novembre au 2 décembre qui le mènera d'abord en Turquie pour le 1700e anniversaire du concile de Nicée – lui demandant : « Pensez-vous qu'il soit sûr d'aller au Liban ? »

    « Eh bien, » répondit Léon XIV, un léger sourire se dessinant aux coins de ses lèvres, « nous y allons. »

    L’idée de continuité papale – j’entends par là une continuité papale à travers les siècles, et non pas seulement ou même principalement d’un pape à l’autre – a certainement été éclipsée durant le pontificat de François, mais Léon XIV a déjà commencé à la faire renaître, ou du moins à créer les conditions de sa renaissance.

    Il existe un sens très réel et palpable dans lequel le conclave qui a élu Léon n'était pas tant un référendum sur le programme de son prédécesseur – en effet, il est même difficile de parler de programme pour un homme dont la devise papale officieuse était « Hagan lio ! » (mettons le désordre) – qu'un référendum sur la nécessité d'un retour à une gouvernance stable et ordonnée.

    C’est là une des principales raisons pour lesquelles le pape Léon XIV se doit d’exposer ses propres plans, de donner ses propres dispositions, en un mot : de dire ce qu’il pense de ce qui doit être fait.

    Le pape avait déjà expliqué aux cardinaux pourquoi il avait choisi Leo comme nom de règne.

    « Il y a différentes raisons à cela », a-t-il déclaré aux cardinaux réunis dans la nouvelle salle synodale le 10 mai dernier, « mais principalement parce que le pape Léon XIII, dans son encyclique historique Rerum Novarum, a abordé la question sociale dans le contexte de la première grande révolution industrielle. »

    « De nos jours », a déclaré Léon, « l’Église offre à tous le trésor de son enseignement social en réponse à une nouvelle révolution industrielle et aux développements dans le domaine de l’intelligence artificielle qui posent de nouveaux défis pour la défense de la dignité humaine, de la justice et du travail. »

    Les cardinaux sont ravis de cette occasion de mieux se connaître, et ils sont impatients d'en savoir plus sur les projets de Léon XIV.

    Suivez Chris Altieri sur X :  @craltieri

    *Nirmala Carvalho a contribué à la rédaction de cet article.

  • France : le Congrès Mission a réuni près de 15 000 catholiques à l’Accor Arena de Paris, les 7 et 8 novembre

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    De Clémence Nava sur le site de Famille Chrétienne :

    Congrès Mission : le cœur missionnaire de l’Église battait à Bercy

    Selon les premières estimations de l’équipe d’organisation, entre 13 000 et 15 000 personnes ont pris part à cette grand-messe de la mission à Bercy ainsi qu’en divers points de la capitale tout au long du week-end.

    Le pari est réussi, et haut la main ! Pour fêter son dixième anniversaire, le Congrès Mission avait vu grand, les 7 et 8 novembre, en investissant un lieu d’ordinaire dévolu aux stars du sport et de la chanson : l’Accor Arena de Paris-Bercy. Après des éditions délocalisées en région et à l’international, celle-ci a franchi un cap qui restera dans les mémoires.

    En témoigne la densité du programme, autour du thème « Jésus est le Chemin, la Vérité et la Vie » : veillées spirituelles dans un décor digne d’un show à l’américaine, messe présidée par le cardinal Dieudonné Nzapalainga, spiritain centrafricain archevêque de Bangui, ateliers, tables rondes, village d’exposants, projection de films, temps d’adoration, marches au départ de quatre églises parisiennes… Selon les premières estimations de l’équipe d’organisation, entre 13 000 et 15 000 personnes ont pris part à cette grand-messe de la mission à Bercy ainsi qu’en divers points de la capitale tout au long du week-end.

  • 180 routiers belges des Scouts d'Europe ont participé au 50e pèlerinage à Vézelay

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    De Jean Lannoy sur 1RCF Belgique :

    Vézelay : 180 routiers belges pour le 50ᵉ pèlerinage des Scouts d’Europe

    3 novembre 2025 - Modifié le 6 novembre 2025

    Témoins - RCF Belgique Des jeunes routiers belges au 50e pèlerinage scouts d'Europe de Vezelay

    écouter (53 min)

    Ils étaient 180 routiers belges à rejoindre Vézelay ce week-end pour le 50ᵉ pèlerinage des Scouts d’Europe, au cœur d’un rassemblement qui a réuni 3 600 jeunes venus de toute l’Europe. Pendant quatre jours, ils ont marché sur les chemins bourguignons, alternant silence, prière, fraternité et veillées, avant de rejoindre la basilique Sainte-Marie-Madeleine pour une grande célébration. Un pèlerinage devenu un rendez-vous marquant pour une génération belge en quête de sens, de profondeur et d’espérance.

    Les routiers belges ayant participé à Vezelay 2025 se sont retrouvés à l'issue du rassemblement final pour une photo ensemble. Photo : Koen ThomeerLes routiers belges ayant participé à Vezelay 2025 se sont retrouvés à l'issue du rassemblement final pour une photo ensemble. Photo : Koen Thomeer

    Cela fait une quarantaine d'années que des routiers belges participent à ce rassemblement organisé par l'association sœur française des Guides et Scouts d'Europe, sur les hauteurs de Vézelay. Découvert par un routier belge en service Outre-Quiévrain, une délégation de plus en plus nombreuse rejoint ce pèlerinage de Toussaint. Invités chaleureusement pour la 50e édition de l'évènement, les Belges constituent la plus grande délégation internationale. 

    Pour eux, Vézelay n’est pas seulement un rassemblement : c’est une route, vécue par tronçons, en équipe, avec la marche, le feu, les chants, l’adoration et la messe quotidienne dans les paroisses alentour. Martin de Villeneuve, commissaire national route en France, décrit ce temps si particulier : "À l’heure route, on a une heure par jour où chaque routier est invité à se poser, contempler la nature et se demander quelles sont les questions de sa vie. C’est une heure sans notification… pour un jeune de 17 à 19 ans, ça n’existe plus. On vient apporter un calme qui leur permet de se ressourcer. C’est une aventure intérieure."

    Pierre-Marie, chef à Arlon, revient avec ses chefs avec enthousiasme :"On est toujours très contents de venir. Pour nous c’est vivre vraiment la communauté d’hommes, se ressourcer, avoir de l’énergie pour reprendre notre boulot, notre famille, nos amis en revenant en Belgique." Cette expérience commune franchit aussi la frontière linguistique. David, routier flamand, raconte :"Il n’y a pas vraiment un équivalent en Belgique à la hauteur de Vézelay. On s’inspire beaucoup de la France. Et entendre ces chants, chanter avec eux… ça nous fait chaud au cœur."

    Le pèlerinage de Vézelay n’a pas toujours été accessible aux Belges. En 2019, la Basilique de Vezelay ne peut plus accueillir autant de monde et les belges créent leur route de Toussaint à Avioth, basilique non loin de la frontière. L'expérience est reconduite en 2021, et les belges reviennent à Vézelay suite à la fin progressive des travaux de la basilique en 2022.

  • BXL (Woluwé-Saint-Pierre), 13 novembre : "Sexualité et Culture de Vie" avec Catherine Jongen

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    Du site de Clara Life :

    Bonjour  !

    Nous avons le grand plaisir de vous inviter le jeudi 13 novembre à 20h à notre grande conférence :

     Sexualité et Culture de Vie 
    réconcilier désir, responsabilité et dignité

    Pour explorer ce sujet aussi passionnant que délicat, nous aurons la joie d’accueillir Mme Catherine Jongen, thérapeute de couple, sexothérapeute, fondatrice de l’ASBL CoeuraCCord et élue locale à Wavre.

    Elle tentera d’expliciter pourquoi, aujourd’hui, il est urgent de "réconcilier", "d’accorder à nouveau" :

    • Le désir (le corps) ;
    • La responsabilité (le cerveau) ;
    • La dignité (le cœur).
    Pour une meilleure compréhension de ce qui se vit aujourd’hui, elle commencera par un rapide historique du pourquoi, dans les universités et les milieux intellectuels, beaucoup se réjouissent d’avoir enfin scindé amour (dignité) / sexe (désir) / reproduction (responsabilité).

    Elle continuera en donnant des balises de compréhension de la construction très complexe de la sexualité. Enfin, elle proposera de répondre aux questions (en passant éventuellement par l’écrit pour préserver la pudeur, vu l’intimité du sujet).font
    • 13 novembre 2025 à 20h00
    • Lieu : Rue du Duc 40, 1150 Woluwé-Saint-Pierre ;
    • Participation : gratuite ;

    À l’issue de la conférence, nous vous proposerons de rester boire un verre pour prolonger la discussion dans une ambiance conviviale. 

    Plus d'information et inscription sur notre site

    Je m'inscris

  • Hannut, 1er novembre : Holywins 2025

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    Holywins 2025

    1 novembre 11:30 – 21:00

    Le concept ? Fêter tous les saints dans la joie et la lumière.
    En avant les enfants, en route avec les anges et les saints !

    Vous souhaitez participer ainsi que vos enfants à la 17ème grande fête HolyWins 2025, le samedi 1 novembre? La fête aura lieu dans un super lieu inspirant situé à Hannut, entre Liège, Bruxelles et Namur..

    PROGRAMME :
    11h30 Messe de la Toussaint
    12h30 Holy-buffet partagé, en mode auberge espagnole
    14h00 Holy-jeu de la Toussaint, animé par les ados
    15h30 Spectacle Pipo & Cooky (Un clown ventriloque nous parle de Jésus)

    16h30 Le saint du jour
    17h00 Holy-Goûter (crêpes, gauffres, chocolat chaud, rien que des délices)
    18h00 Holy barbecue

    CONCERT DE LOUANGE « REVIVAL »

    20h00 Concert de louange par le groupe Revival, visite leur page Instagram : https://www.instagram.com/revival_bxl?igsh=ODZub2R3bjV3Mjdk

    UNE EXPERIENCE A VIVRE EN FAMILLE.

    Evènement ouvert à tous, de 0 à 99 ans. Une expérience à vivre en famille, en équipe de caté ou groupe.

    Les enfants sont invités à venir déguisés en saints, saintes ou anges.

    PRIX

    • 20 eur pour la famille ou groupe de maximum 4 adultes et enfants
    • Si vous venez à plus de 4, il faut compter 4 EUR par participant (adulte et enfant).
    • 5 eur par personne pour le concert de Revival à 20h00
    • A verser sur le compte IBAN BE46 0018 6802 9636 , au nom de ASBL MANUB ou en cash sur place

    AU MILIEU DU CAMP ADOS DE LA TOUSSAINT

    L’évènement est au milieu du camp de Toussaint des ados de l’Emmanuel, qui accueillera une centaine d’ados. Ces ados et leurs animateurs prépareront la fête, de super jeux et animation

    Merci de vous inscrire en remplissant le formulaire en haut de la page.

    Cet évènement est proposé par la Communauté de l’Emmanuel, mouvement catholique. Contact : holywins.liege@gmail.com ou info@emmanuelyouth.be

  • Master Class Soignants & Bioéthique : 6 soirées de formation de novembre 2025 à mars 2026

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    img-1758005189-831.pngRenseignements et inscriptions : https://www.ieb-eib.org/fr/conference.html?id=11

  • Lituanie : la Marche pour la vie à Vilnius a réuni des milliers de personnes

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    De  sur le NCR :

    La Marche pour la vie à Vilnius, en Lituanie, attire des milliers de personnes et suscite un soutien à la cause pro-vie.

    Les témoignages personnels ont fait partie des témoignages édifiants du week-end.

    Des jeunes filles portent des affiches qui signifient « Chaque vie est importante et précieuse » lors de la Marche pour la vie à Vilnius, en Lituanie, le 4 octobre 2025.
    Des jeunes filles brandissent des affiches sur lesquelles est écrit « Chaque vie est importante et précieuse » lors de la Marche pour la vie à Vilnius, en Lituanie, le 4 octobre 2025. (Photo : Erlendas Bart)

    Le cœur de la capitale lituanienne s'est animé de musique, de discours et de témoignages personnels poignants alors que des milliers de personnes se sont rassemblées samedi pour la « Žygis už gyvybę » (« Marche pour la vie »), un événement dédié à la célébration du caractère sacré de la vie et à la sensibilisation à la nécessité de sa protection.

    La marche a attiré des participants de toute la Lituanie ainsi que des pays voisins, notamment de Lettonie, d'Estonie et de Pologne.

    Les participants marchent le long de l'avenue Gediminas en direction de la place de la cathédrale de Vilnius lors de la Marche pour la vie à Vilnius, en Lituanie, le 4 octobre 2025. Crédit : Erlendas Bart
    Les participants marchent le long de l'avenue Gediminas en direction de la place de la cathédrale de Vilnius lors de la Marche pour la vie à Vilnius, en Lituanie, le 4 octobre 2025. Crédit : Erlendas Bart

    La manifestation du 4 octobre a débuté en début d'après-midi près de la Bibliothèque nationale Martynas Mažvydas, attirant un public diversifié composé de familles, d'étudiants, de militants, d'artistes et de membres du clergé. Portée par diverses organisations civiles et religieuses, la marche visait à affirmer la valeur de chaque vie humaine.  

    Des personnalités religieuses extérieures à la Lituanie ont exprimé leur soutien à l'initiative, notamment l'archevêque catholique letton de Riga, Mgr Zbigņevs Stankevičs, et l'évêque luthérien letton, Mgr Rinalds Grants, qui ont tous deux exprimé leur solidarité avec les objectifs de la marche. L'évêque auxiliaire de Kaunas, en Lituanie, Mgr Saulius Bužauskas, a participé en personne à la marche.

    Les participants se sont réunis près de la Bibliothèque nationale de Lituanie pour la cérémonie d'ouverture, où les intervenants ont partagé leurs points de vue personnels, médicaux, sociaux et philosophiques. Parmi eux, le Dr Lina Šulcienė a souligné la nécessité morale et spirituelle d'une société plus compatissante.

    « Notre conscience profonde nous appelle à une autre voie que la culture de la mort », a-t-elle déclaré. « Notre humanité profonde appelle à une culture de la vie, marquée par la solidarité, une compassion sincère et une sensibilité à l'égard des êtres humains, respectueuse de leur vie. »

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  • Plus de 3 000 participants à une grande manifestation pro-vie à Vienne

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    De kath.net/news :

    Plus de 3 000 participants à une grande manifestation pro-vie à Vienne

    4 octobre 2025

    Trois évêques catholiques impliqués - Cobra a évacué Karlskirche avant le début de la manifestation - Des extrémistes de gauche tentent de perturber la manifestation - Des politiciens de l'ÖVP et du FPÖ étaient présents au rassemblement

    Vienne (kath.net/KAP) Environ 3 000 personnes ont manifesté samedi lors de la « Marche pour la vie » de Vienne pour une meilleure protection de la vie et un soutien accru aux femmes enceintes. Aux chants « Aimez-les tous les deux » – en référence aux mères et aux enfants – et « Vienne est pro-vie », elles ont défilé après un programme scénique devant l'église Saint-Charles, traversé la Ringstrasse de Vienne, fermée à la circulation, jusqu'à la Heldenplatz, puis de là, jusqu'à la Karlsplatz. L'objectif commun, selon l'association interconfessionnelle organisatrice, est de rendre l'avortement inutile en Autriche. La manifestation, organisée chaque année depuis 2006, était rythmée par des ballons roses, une musique joyeuse et une participation majoritairement composée de jeunes et de familles, comme l'a résumé Felicitas Trachter, présidente de la « Marche pour la vie ». Grâce à une importante présence policière, aucun incident n'a été à déplorer.

    Il n'y a pas eu de confrontation directe avec les contre-manifestants qui avaient appelé sur les réseaux sociaux pour perturber la marche. Trois évêques catholiques, Klaus Küng, Franz Scharl et Stephan Turnovszky, ont également participé au plus grand rassemblement pro-vie d'Autriche. Au cours du programme, Ruben Avram, pasteur de l'Église pentecôtiste roumaine de Brunn am Gebirge et membre de la direction de la communauté chrétienne Elim, a évoqué la nécessité de donner la parole aux personnes sans voix dans la société, en particulier aux femmes confrontées à des conflits liés à la grossesse et aux enfants à naître. L'Autriche doit proposer des alternatives à l'avortement. « Les enfants sont une bénédiction, pas un échec ni un frein à la carrière », a insisté le prêtre.

    Le slogan « Mon choix – mon corps » pourrait être accepté à condition qu'il ne concerne que la femme, mais un enfant à naître « a son propre corps et a également droit à la vie ». Dialogue pour la vie : Petra Plonner, de l'initiative citoyenne fairaendern.at, a souligné que les femmes choisissent souvent l'avortement non pas de leur propre initiative, mais sous la pression et dans des situations de désespoir. Une pétition qu'elle a lancée auprès du gouvernement du Land de Salzbourg plaide actuellement pour un meilleur soutien aux femmes enceintes.

    Maria Czernin, de Pro Life Europe, a souligné que les conversations informelles, par exemple entre étudiants, sont souvent déterminantes pour la survie d'un enfant. Descendre dans la rue une fois par an ne suffit pas à instaurer un changement culturel favorable à la vie : il est également nécessaire de ne pas hésiter à dialoguer et d'exprimer ses propres opinions. Czernin a également critiqué le fait que les étudiants autrichiens soient contraints de cofinancer des avortements grâce à leurs cotisations à l'ÖH.

    Deux hommes politiques, Caroline Hungerländer (vice-présidente de Vienne) et Hubert Keil (Parti de la Liberté de Basse-Autriche), ont également pris la parole. Hungerländer a rapporté que l'engagement en faveur de la protection de la vie avait rencontré un rejet considérable en politique, contrastant clairement avec la joie de vivre ressentie lors de la marche. Keil a remercié les participants pour leur « geste courageux » et a souligné que la liberté « commence là où l'on est le plus vulnérable ». Le droit fondamental à la vie doit être défendu avec véhémence, car il est fondamental pour tous les autres droits fondamentaux ; pourtant, il est souvent tabou.

    Leo Stolberg, président de l'association « Jeunesse pour la vie », reconnue par la Conférence épiscopale autrichienne, a présenté la campagne internationale de prière « 40 jours pour la vie », qui se déroule à Vienne depuis deux semaines, en face d'une clinique d'avortement sur Mariahilfer Gürtel. Les premiers problèmes avec les autorités ont été résolus et, depuis jeudi, la campagne bénéficie également d'une autorisation officielle, a indiqué M. Stolberg. Menée par des bénévoles et se poursuivant jusqu'au 2 novembre, cette campagne attire l'attention sur la protection de la vie par la prière silencieuse et vise à offrir un soutien spirituel aux femmes. Il n'existe pas d'approche directe.

    Mgr Küng : Chaque être humain est une créature

    La veille de la marche, un office religieux présidé par Mgr Küng a eu lieu en l'église Saint-Charles de Vienne. L'évêque retraité de St. Pölten a appelé les personnes présentes à défendre courageusement la dignité de chaque être humain, de sa conception à sa mort. « Chaque être humain est une référence à son Créateur », a déclaré Mgr Küng. Il est également important d'apporter soutien et attention aux personnes en situation de crise ou d'urgence, et de leur faire comprendre qu'elles ne sont pas seules et qu'elles peuvent recevoir de l'aide. C'est particulièrement vrai pendant la grossesse. « La voix de celles qui ont déjà vécu cette expérience est particulièrement importante ici », a déclaré Mgr Küng. Le sermon a établi des liens entre la vision de la création de saint François d'Assise, célébrée samedi dans l'Église catholique, et la protection de la vie.

    Manfred M. Müller, de l'association « Prêtres pour la Vie », a décrit l'avortement comme une atteinte à la confiance fondamentale en la bonté de la création divine. Selon les estimations publiques – les statistiques ne sont pas disponibles –, entre 30 000 et 60 000 enfants sont avortés chaque année en Autriche. « Cela représente quatre à huit classes par jour dont l'existence même est niée », a déclaré le prêtre. Parallèlement, une cérémonie de prière a eu lieu au Campus Hub de Vienne, près de la gare centrale, avant la « Marche de la Vie ». Déploiement Cobra à l'église Saint-Charles. Immédiatement après la cérémonie, l'église Saint-Charles a dû être évacuée par l'unité spéciale Cobra après que les fidèles présents dans l'église ont d'abord entendu le tic-tac d'un sac placé près de la boîte à aumônes, puis, peu après, la découverte d'un sac clignotant derrière un pilier. Les deux se sont avérés être des faux. Apparemment, l'intention était de provoquer une panique générale pendant la cérémonie et de perturber la marche qui suivrait, selon le recteur de l'église Saint-Charles, Marek Pucalik, et Johannes Pasquali, de l'Association de la Joie de l'église Saint-Charles, cités dans le journal « Krone ». Ils ont qualifié l'attaque de violente et l'ont condamnée.

  • Grand événement européen pour la vie (15 octobre, Bruxelles)

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  • Le 28 septembre à Paris : une manifestation inédite pour dénoncer la persécution des chrétiens en France et dans le monde

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    D'Anna Ashkova sur Aleteia.org :

    Une première manifestation à Paris pour faire entendre la voix des chrétiens persécutés

    1.500 personnes ont manifesté à Paris contre Christianophobie en France

    La place de la Nation, à Paris, a accueilli dimanche 28 septembre une manifestation contre la christianophobie.

    29/09/25

    À la suite du meurtre d’Ashur Sarnaya, chrétien d’Orient réfugié à Lyon, un groupe de jeunes créateurs de contenus chrétiens a décidé d'organiser le 28 septembre une manifestation inédite à Paris pour dénoncer la persécution des chrétiens en France et dans le monde. Quelques 1.500 personnes se sont ainsi retrouvés place de la Nation, estiment les organisateurs.

    La place de la Nation, dans le XIIe arrondissement de Paris, a accueilli dimanche 28 septembre un rassemblement inédit : une manifestation pour interpeller l’opinion publique sur la christianophobie en France et dans le monde. Un événement pacifique, organisée par un collectif de jeunes chrétiens catholiques, protestants et orthodoxes, qui faisait suite à l’assassinat dramatique d’Ashur Sarnaya, un chrétien Irakien, handicapé, poignardé en plein direct à Lyon le 10 septembre dernier. Porté par une cinquantaine de bénévoles et soutenu par le Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ), la manifestation a tenu à rester apolitique et inclusif, invitant toute personne de bonne volonté, sans distinction de convictions, à se joindre à une démarche pour défendre le respect de la liberté de croyance et d’expression.