Ce genre de lois est une certaine mesure du taux d'athéisme ou de paganisme d'un pays. La Belgique n'a donc vraiment pas à être fière de se trouver en tête du peloton des pays qui votent ces lois.
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Il faut noter que les médecins en général n'aiment pas la mort et la souffrance incurable. Cela touche leur orgueil. Ils considèrent cela comme un échec de leur art de guérir ou de soulager, et donc comme un échec personnel. Ils aiment venir prendre des nouvelles et discuter avec leurs patients, lorsqu'ils ont encore des chances de les guérir ou de soulager leurs souffrances. Mais lorsqu'ils sont impuissants, ils aiment autant laisser le patient entre d'autres mains.
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Pour un médecin athée ou païen, c'est encore plus net. Car pour eux, la vie elle-même n'a aucun sens, et la mort encore moins. De quoi voulez-vous qu'ils parlent avec leurs patients pour lesquels ils ne peuvent plus rien ? L'euthanasie s'est présentée alors comme une échappatoire, non pas d'abord pour le patient, mais surtout pour le médecin. Celui-ci aurait trouvé le dernier geste 'médical' par lequel il pourrait encore 'traiter' son patient une toute dernière fois. Son honneur et son orgueil de médecin seraient saufs. En se donnant le droit de tuer, la médecine aurait retrouvé sa toute puissance sur le sort des patients.

Point 1.
Le terme "euthanasie" est une une duperie car ce n'est pas "bien mourir" ni "mourir dans la dignité" que de se faire assassiner par des médecins ou du personnel paramédical peu scrupuleux.

En ce qui concerne les "balises", elles ne servent à rien car cette loi est mauvaise.
La preuve en est dans les cas décrits de personnes, réputées saines d'esprit, ayant signé leur condamnation à mort, qui, après être passée par une phase de coma accidentelle, prises d'une peur salutaire, devenues saine d'esprit, ont déchiré ce document crapuleusement concocté par le "législateur" !

La pratique du suicide médicalement assisté n'est pas plus contrôlée que celle de l'avortement !
Une piqûre, une pilule, un curetage et c'est fait. Pas vu (mais on n'est pas regardant), pas pris !

Quant à la "loi" elle est aussi peu respectée que celle réglementant le respect des "balises" feux oranges et feux rouges !

Point 2.
Il ne s'agit pas d'un "effet de pente glissante en Belgique". Il est plus exact de dire que la Belgique a sombré sous la face cachée de l'iceberg de la franc-maçonnerie.

Point 3.
Intégrer le suicide médicalement assisté à la notion de soins palliatifs est une escroquerie.

Les soins palliatifs sont destinés, comme le nom l'indique, à pallier à l'incapacité de la médecine à guérir certaines maladies et c'est une énormité que de vouloir légiférer afin de permettre aux médecins d'achever leurs patients pour "pallier" à leurs insufficances !

Les soins palliatifs doivent avoir pour but de soulager la douleur et d'accompagner le patient dans les moments difficiles d'une fin de vie, en particulier, puisque nous sommes sur un site catholique, de tout faire pour sauver les âmes qui vont se présenter devant Dieu et qui sont l'objet d'une attention toute particulière de Satan !

Point 4.
Comment faire confiance à un médecin dont on sait qu'en cas d'impuissance de son art, son premier réflexe sera d'assassiner son patient même sans son accord, car on en est là, au mépris de la "loi" mauvaise des hommes et au mépris bien plus grave de la Loi divine.

Comment confier sa vie à un médecin qui n'a que faire du "Tu ne tueras point" ?

Un exemple : un médecin, professeur de neurochirurgie à l'ULB (franc-maçonne), le sénateur Brotchi, propose un nouveau texte de "loi" pour élargir encore le contexte de l'euthanasie !

Qui oserait se faire opérer par ce dangereux personnage ?