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Pilule gratuite, de l'électoralisme ?

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L'histoire populiste de la "pilule gratuite" au Parti Socialiste ?

10/09/2013 - Début de vie - IEB

Ces mots sont ceux du Dr Marc Moens, vice-président de l'Absym (Association Belge des Syndicats Médicaux) et Secrétaire général du Groupement des Unions Professionnelles Belges de Médecins Spécialistes (GBS) 
Dans le rapport annuel 2012 du GBS, intitulé " Une pilule mutualiste empoisonnée" le Dr Moens se questionne quant à l’opportunité de distribuer gratuitement la pilule aux jeunes de « moins de 21 ans, avec un coût de 9,313 millions d'euros pour l'INAMI, alors que, cinq ans après le lancement, aucun effet n'a (encore) pu être enregistré sur le nombre d'interruptions volontaires de grossesse dans cette tranche d'âge ». Cela aurait-il  « amené ce groupe ou leurs mères à voter pour le PS au niveau local ? »
De plus Marc Moens affirme, dans le Journal du Médecin du 19 juillet 2013, que "la suppression pure et simple de la pilule gratuite représenterait une part non négligeable des 50 millions d'euros d'économies supplémentaires demandées au budget des soins de santé".

Commentaires

  • Je ne sais pas comment les Belges peuvent accepter ce scandale social, moral et financier, sans broncher. Voilà des millions d'Euros, récoltés pour les soins des malades et des handicapés, que l'État belge distribue gracieusement à des gamines, à des adolescentes et à des jeunes femmes sans problèmes de santé. L'État ponctionne donc tous les Belges (sans qu'ils puissent dire s'ils sont d'accord ou non) pour en faire cadeau à des personnes en parfaite santé, et au-delà pour en faire bénéficier bien sûr l'industrie chimique et pharmaceutique.
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    Le but est sans doute aussi électoraliste et clientéliste, mais il est surtout malhonnête et hypocrite. Car l'État belge ferme les yeux sur les abus sexuels multiples commis sur des mineures d'âge. Ce qui fait que l'on avorte ou accouche couramment dans ce pays, dès l'âge de douze ans. Or, il n'y a jamais de recherche de celui qui a abusé sexuellement ces gamines. Il y a impunité totale, et donc poursuite généralisée des abus. Les abuseurs sexuels sont couverts par l'État belge. En distribuant la pilule gratuitement, l'État belge cherche en fait à diminuer la visibilité de ces abus sexuels, par la diminution espérée des cas d'avortements et d'accouchements de mineures d'âge. Car ces avortements ou accouchements ne sont bien sûr que la pointe visible de l'iceberg des abus sexuels sur mineures en Belgique.
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    Et ce scandale social, moral et financier de la pilule gratuite, est encore aggravé par celui des avortements eux-mêmes. Car l'État belge utilise sans vergogne et sans notre accord, notre argent qui était destiné aux malades et aux handicapés, pour le distribuer à des femmes en parfaite santé et pour assassiner des bébés qui ont été conçus mais qui sont « non désirés ». Ce sont des « indésirables » qu'on peut froidement éliminer, sans autre forme de procès. Tomber enceinte n'est pas tomber malade, c'est au contraire un signe de bonne santé. Pourquoi donc utiliser l'argent de l'INAMI, par millions d'Euros, pour le distribuer à des gamines, des adolescentes, des jeunes filles ou des femmes en parfaite santé, et en outre pour financer ces assassinats, qui sont un choix personnel et purement de confort ?
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    Comment tous les agents de l'État et tout le personnel de santé, qui collaborent à ces scandales sociaux, moraux et financiers, et à ces assassinats, peuvent-ils encore dormir paisiblement ?
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    La société belge est complètement pervertie par ceux qui la dirigent. Elle est devenue une société désespérée et désespérante, qui n'aime plus la vie, qui refuse la vie et qui refuse donc de la transmettre, par ces refus de conception et par ces éliminations des bébés qui auraient été conçus sans être « désirés ». Comment s'étonner qu'une telle société se retrouve aussi dans le top des dépressions et suicides ?

  • Il y a ici une collusion manifeste entre le monde politique et le très puissant lobby pharmaceutique. Pas étonnant qu'une certaine pression sociale s'exerce sur les jeunes filles pour les inciter à "passer à l'acte" de plus en plus jeunes, "puisqu'elles peuvent (doivent ?) se prémunir d'une grossesse indésirée". On leur vole ainsi une partie de leur enfance en les forçant en quelque sorte à devenir adulte bien avant l'âge. C'est bien triste pour elles.

  • Malheureusement, ce n'est pas la seule pilule que le parti socialiste administre à nos concitoyens! Ces derniers semblent apprécier car ils continuent à plébisciter cette formation politique. Allez donc comprendre...

  • Récemment,la RTBF à censuré son propre JT (le même reportage caviardé entre 13h et 20h)au sujet de la dépollution des eaux fluviales,une spécialiste énumérait tous les produits nocifs que l'on pouvait y trouver.Elle a parler de produit à effets hormonaux comme les contraceptifs oraux,et le soir ce passage avait disparu!Je considère cela comme de la non assistance à personnes en danger,rien moins!

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