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France : les défenseurs de la vie sont en alerte

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Du site "paroles de catholiques" :

Vers une interdiction pure et simple de manifester, voire d’exister… ?

Le 19 janvier sera-t-il la date de la dernière manifestation autorisée ? Jamais un gouvernement n'aura été aussi loin dans la traque des défenseurs de la vie. Aujourd'hui, vouloir proposer d'aider une femme enceinte en difficulté autrement qu'en informant sur l'IVG va devenir interdit.

Communiqué du collectif "En Marche pour la Vie"

Alerte : le délit d’entrave à l’IVG élargi

Jamais un gouvernement n’aura été aussi loin dans la « traque » des défenseurs de la Vie…

Après un premier rapport du HCCefh (Haut Conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes), demandé par le ministre Najat Belkacem, qui préconisait 4 recommandations dont la création d’un site institutionnel pro-IVG (site que le gouvernement s’est empressé de créer pour contrer les antennes d’écoute aux femmes enceintes en difficulté !), un second rapport du 7 novembre dernier publiait, cette fois, pas moins de 34 recommandations pour un meilleur accès à l’IVG dont :

la suppression de la condition de détresse dans la disposition légale actuelle, la suppression du délai de réflexion de 7 jours de la clause de conscience, une obligation à tous les établissements publics de pratiquer l’IVG…

C’est à présent une véritable atteinte à la liberté d’expression qui nous est imposée par le projet de loi sur l’égalité entre les femmes et les hommes, n°717 déposé le 3 juillet 2013, adopté par le Sénat en première lecture le 17 septembre dernier (TA N n°214) et examiné cette semaine en commission.

Au sein de ce texte, un amendement a déjà été adopté avec le soutien du gouvernement prévoyant l’extension du délit d’entrave à l’avortement.

Après l’article 5 ter, est en effet inséré un article additionnel pour modifier l’article L 2223-2 du code de la santé publique, article relatif à ce délit. Avec cet amendement, il s’agira de sanctionner toute personne qui ne délivrera pas d’information sur l’avortement. Ce délit sera donc constitué en "perturbant de quelque manière que ce soit la possibilité de s’informer sur les actes d’IVG ou en exerçant des pressions morales et psychologiques à l’ encontre des femmes venues s’informer sur l’IVG"

Cet article ainsi voté permettra d’interdire toutes les informations, les sites qui n’encourageraient pas à l’avortement et avertiraient des dangers de cette pratique. Choisir la Vie, consciente que ce projet de loi, s’il est voté modifiera profondément la liberté d’expression et d’action des associations défendant le respect de la Vie, alerte ses sympathisants sur le danger extrêmement grave que constitue cet amendement qui sera, sans nul doute, le premier pas vers une interdiction pure et simple de manifester, voire d’exister…

La dictature commence aujourd’hui ! Choisir la Vie appelle à se mobiliser massivement et fermement contre ce projet de loi, qui sera débattu en séance à l’Assemblée nationale à partir du 20 janvier prochain… Cette mobilisation verra son apogée le 19 janvier lors de la Grande Marche pour la Vie.

Commentaires

  • Ce qui est surtout dictatorial, c'est d'obliger tous les citoyens à payer pour ces IVG. Comment est-il possible de faire payer par la Sécurité sociale, la décision personnelle d'une femme qui n'est pas du tout malade ? Tomber enceinte n'est pas tomber malade, c'est au contrainte un signe de parfaite santé. Il n'est pas acceptable que les politiciens utilisent ainsi l'argent public, destiné à soigner des gens vraiment malades, pour financer un acte volontaire d'élimination d'un bébé.

  • Voilà comment se dévoile une dictature.....!

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