Du mardi 21 juin au mercredi 29 juin
GRANDE NEUVAINE AU COEUR IMMACULÉ DE MARIE DANS LES PAROISSES DE SAINTE CATHERINE À BRUXELLES ET SAINT JOSEPH À UCCLE
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GRANDE NEUVAINE AU COEUR IMMACULÉ DE MARIE DANS LES PAROISSES DE SAINTE CATHERINE À BRUXELLES ET SAINT JOSEPH À UCCLE
Du site de l'Homme Nouveau (Geneviève Esquier) :
Une Alliance pour les prêtres
Lancée en Espagne puis présente en France et en Belgique, l’Alliance Saint-Jean-Marie-Vianney regroupe en majorité des laïcs de tous âges, tous volontaires, qui en se relayant assurent un jeûne permanent pour les prêtres. Sa secrétaire pour la France présente cette œuvre de miséricorde peu commune.
L’Alliance Saint-Jean-Marie-Vianney existe depuis moins de cinq ans mais déjà, elle réunit de nombreux laïcs volontaires de tous âges dans un jeûne permanent pour le sacerdoce. D’où est venue cette initiative ?
Viviane : Tout a commencé en septembre 2012, à Villanueva de la Cañada, en Espagne. Un prêtre a sollicité une de ses filles spirituelles, en lui proposant de prier pour un jeune prêtre sur le point de quitter son sacerdoce. La réponse à sa demande a très vite permis la création d’une chaîne de dix personnes qui à tour de rôle acceptaient de jeûner au pain et à l’eau pour porter ce prêtre ! Pendant trois années, nous avons jeûné de manière privée mais en formant une chaîne permanente.
À partir de ce moment-là, d’une façon ou d’une autre les intentions de prière pour des prêtres en difficulté ont commencé à nous arriver nombreuses ! Nous nous sommes alors organisés en une « Alliance » et avons choisi le saint Curé d’Ars comme patron de notre action, d’où notre nom : l’« Alliance Saint-Jean-Marie-Vianney » (ASJMV).
Cela se passait en Espagne, mais au bout de trois années, l’un des membres de cette chaîne a dû venir s’installer en France pour raisons professionnelles. Après avoir pris conseil auprès d’un prêtre, cette personne organisa alors la première chaîne française pour l’ASJMV, il y a presque deux ans. Tout de suite les priants volontaires sollicités pour cette première chaîne française ont largement répondu : aujourd’hui nous sommes déjà 75 Français se relayant à tour de rôle en un jeûne permanent. Quant aux intentions de prière pour les prêtres en difficulté, elles affluent nombreuses, hélas !
Le pape a rouvert la discussion à propos du diaconat féminin, mais il a fait comprendre que l’on n’en fera rien. Et, pour le moment, il rejette l’idée de permettre aux femmes de prêcher pendant la messe. Mais il crée une nouvelle commission sur le sujet. Lu sur le blog « chiesa », sous la signature de Sandro Magister :
ROME, le 21 juin 2016 – Au cours d’une conférence de presse qui a eu lieu au Vatican, il y a quelques jours, le cardinal Gerhard L. Müller, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, a confirmé que l’équipe de spécialistes qui reprendra l’étude de la question du diaconat féminin est en cours de constitution. C’est le pape François qui l’avait annoncé, le 13 mai dernier, lors d’une audience accordée aux supérieures générales des congrégations religieuses féminines.
Toutefois Müller a également souligné qu’une vaste étude de la question du diaconat avait déjà été réalisée, il y a plusieurs années de cela, par la commission théologique internationale qui assiste la congrégation pour la doctrine de la foi, cette dernière étant, à l’époque, présidée par Joseph Ratzinger.
Cette étude avait été menée, en deux temps, par deux sous-commissions successives dont faisaient partie trois futurs cardinaux de premier plan : Müller lui-même, Christoph Schönborn, alors évêque auxiliaire de Vienne, et le Philippin Luis Antonio G. Tagle, que beaucoup de gens considèrent aujourd’hui comme le successeur "in pectore" de François sur la chaire de Pierre.
Le résultat de cette étude a été le long et savant document que voici, qui a été publié en 2002 :
> Le diaconat: évolution et perspectives
Il ne semble pas que Jorge Mario Bergoglio ait jamais lu ce document, bien qu’il s’intéresse beaucoup à la question, si l’on en croit ce qu’il a déclaré, le 13 mai, aux supérieures générales :