
CitizenGO vous invite à participer à la soixante et unième session de la Commission de la condition de la femme aux Nations Unies.
193 Etats membres seront à l'ONU, à New York, du 13 au 24 mars.
Des États membres, des organisations des Nations-Unies et des ONG accréditées (comme CitizenGO) participeront aux négociations sur la manière dont sont dépensés les milliards d’Euros de l'aide au développement. Notamment en ce qui concerne les femmes et les jeunes filles.
Nous devons trouver des solutions pour éradiquer la pauvreté et la faim, pour améliorer la santé et l'éducation, et pour produire de l'eau potable. Voilà les besoins les plus vitaux des femmes et des jeunes filles qui vivent dans les pays les moins fortunés.
Cependant, une coalition de nations, dirigée par l'Union européenne, le Brésil, Cuba, le Canada et beaucoup d'autres, utilise cette importante conférence pour mettre en avant un autre ordre du jour. Ces pays insistent sur le fait que la priorité financière (autrement dit l’argent des contribuables occidentaux) doit être l'avortement, le libre accès au contrôle des naissances, l'éducation sexuelle complète des enfants dès l'âge de 4 ans. Ces pays souhaitent également définir l'orientation sexuelle et l'identité de genre comme un droit fondamental.
2017 sera l'année où ces nations demanderont aux Nations-Unies d'accroître leur rôle dans le financement de programmes radicaux destinés à corrompre les enfants, à perturber la famille naturelle et à tuer des millions de bébés à naître.
Puis-je compter sur vous pour nous aider à faire entendre notre voix lors de cette soixante et unième session de la Commission pour la condition de la femme ?
Vous pouvez y participer en signant notre pétition. Celle-ci sera remise à la délégation de votre pays, à l'ONU. Nous demandons que soit supprimée toute référence à l'agenda sexuel (style LGBT), à l'avortement, au contrôle des naissances, à l'orientation sexuelle, à l'identité de genre, et à l'éducation sexuelle des enfants à partir de 4 ans…
A la place, nous allons exiger que l’on parle des femmes et des jeunes filles dont les véritables besoins concernent la nutrition, l'eau potable, les soins de santé et l'éducation.