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Le Pape regrette que ceux qui luttent pour la vie soient si peu nombreux

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De Cyprien Viet sur le site Vatican News :

Le Pape François invite à s’investir dans la défense de la vie

En évoquant la Journée pour la Vie organisée ce dimanche en Italie, François s’est attristé du manque de personnes mobilisées sur ces enjeux.

Outre sa catéchèse et son annonce de la convocation d’une journée de prière pour la paix, au terme de l’Angélus, François s’est également associé à la Journée pour la Vie organisée ce dimanche en Italie. S’associant au message des évêques italiens, il a adressé ses encouragements aux «différentes réalités ecclésiales qui de nombreuses façons promeuvent et soutiennent la vie», notamment le Mouvement pour la vie.

Sortant de son texte, le Pape a toutefois dit regretter que ceux qui luttent pour la vie soient si peu nombreux. «Ceci me préoccupe», s’est attristé François, «dans un monde où chaque jour on construit plus d’armes, chaque jour on fait plus de lois contre la vie, chaque jour on avance avec cette culture du déchet, d’écarter ce qui ne sert pas, ce qui gêne. S’il vous plait, prions pour que notre peuple soit plus conscient de la défense de la vie dans ce moment de destruction et d’exclusion de l’humanité», a lancé François dans un appel improvisé et vibrant.

Commentaires

  • ... oui, St Père et pourtant de jeunes femmes réfléchissent sur leur vécu et l'une d'entre elles, Marianne Durano, normalienne et agrégée en philo nous partage son constat, sa réflexion, dans un essai : "Mon corps ne vous appartient pas ".
    Elle distingue la domination qui implique la connaissance de notre ennemi et en revanche, l'aliénation qui est un processus peut-être plus impersonnel.
    " On peut être aliéné, écrit-elle, par une personne autant que par un système et dont nous ne sommes pas conscients.
    Nous vivons dans un système qui est aliénant, où chacun est à la fois coupable et aliéné.
    Le médecin l'est aussi car le système lui impose de prendre en charge de plus en plus de demandes sociétales ...
    Dans le rapport au médecin, la femme se sent étrangère à elle-même, au corps qui la constitue mais qu'elle regarde comme un objet. ... "

    Voilà. Une meilleure politique familiale arrangerait bien des choses ainsi qu'une meilleure connaissance plus subtile de nos corps crées si merveilleusement par Dieu,
    C'est à Lui qu'ils appartiennent. "Temples de l'Esprit Saint" nous disent les écritures.
    Nous allons peut-être nous raviser tous ensemble, cette fois-ci, pour que l'enfant soit particulièrement bienvenu, aimé, instruit, éduqué, trouvant sa juste place, prioritaire parce que c'est le plus dépendant de nos faits et gestes et aussi pensées et convictions

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