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Un article surprenant du Père Delhez s.J.

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Commentaires

  • Le P. Delhez fait apparemment dans le politiquement correct. Mais alors qu'il fasse aussi dans le scientifiquement correct.

    Depuis au moins vingt ans, Onusida a identifié cette population, ayant des pratiques sexuelles homophiles masculines, comme la principale source de propagation du sida. Pour des raisons bien établies. Notamment le fait que ce sont des relations contre nature, utilisant des parties du corps non prévues pour cela. Et aussi le fait que cette population se caractérise d'une part par une activité sexuelle au-dessus de la normale, et d'autre part par une multiplication des partenaires sexuels.

    Or, ce n'est évidemment pas un article bienpensant dans Dimanche qui va changer quoi que ce soit à cette situation. Le P. Delhez est bien naïf de croire que cette population le lise fidèlement et régulièrement, et tienne compte de ce qu'il suggère.

    À noter que les autres principales populations propagatrices du sida, épinglées ensuite par Onusida, à savoir les populations d'Afrique subsaharienne et les prostituées, se caractérisent également par cette activité sexuelle intense et ce multi-partenariat. Il ne faut pas avoir fait de grandes études de médecine pour savoir que ce genre de comportement est catastrophique et suicidaire pour la propagation d'une maladie à virus sexuellement transmissible.

    On pourrait aussi préciser pour le P. Delhez que la récente enquête parlementaire sur les abus sexuels sur mineurs a mis en évidence la corrélation forte, chez un même individu, entre les tendances aux pratiques homophiles et les tendances aux pratiques pédophiles. Cela n'a pas été relaté par la Presse, qui s'est par ailleurs répandue sur une prétendue relation possible entre la pédophilie et le célibat, ce qui n'a jamais été établi. Dans ce pays, on peut donc montrer du doigt l'ensemble des célibataires, mais il serait politiquement interdit de le faire pour ceux qui ont des pratiques homophiles.

  • Tout simplement hallucinant!

  • Comment ses lecteurs pourront-ils encore faire confiance au P. Delhez si, sur ce point de doctrine de l'Église envers la sexualité humaine, il prend des positions ouvertement à contre-courant, favorables à celles des adversaires de l'Église qui promeuvent ouvertement des comportements sexuels déviants, au nom de la liberté individuelle et d'une notion individualiste et relativiste du bien : « est bien ce que je trouve bien pour moi » ? Bref, si l'on va dans ce sens-là, pourquoi l'Église s'efforcerait-elle encore d'établir et conserver une doctrine et une morale qui se réfèrent à un Bien absolu, qui soient bonnes pour tous les hommes, car se référant à l'enseignement du Christ ? Les notions mêmes de bien et de mal sont-elles donc si simples que pour les laisser sans plus à l'appréciation individuelle ? Faut-il faire table rase des expériences et réflexions de nos ancêtres dans ce domaine, et brûler tous leurs écrits ?

    Or, nos ancêtres, même très lointains, me semblaient plus réalistes et plus intelligents que nous dans ce domaine de la sexualité. Les maladies sexuellement transmissibles ne datent pas d'aujourd'hui, l'être humain y a été confronté de tout temps. Et il a constaté assez vite que les populations qui pratiquaient des comportements homophiles étaient particulièrement frappées par ces maladies. Même sans en avoir l'explication, ils en ont donc déduit fort logiquement qu'il fallait interdire ces comportements, pour le bien des gens et de la société. Pourquoi sommes-nous devenus plus bêtes que nos ancêtres dans ce domaine ? Nous croirions-nous devenus plus intelligents qu'eux ?

  • Cela fait déjà belle lurette que ce religieux, jésuite, se permet sans aucune honte, ni crainte de Dieu, de dévoiler des pensées personnelles qui répondent plus aux souhaits d'un monde qui descend de plus en plus bas, et qui n'ont strictement rien à voir avec ce que l'Eglise catholique, le Vatican, le Pape transmettent, et même confirmés par les Pères de l'Eglise, comme paroles de Dieu.

  • Ce n'est certes pas lapremière fois que le P. Delhez émet un avis "surprenant" même si par rapport à certains de ses confrères particulièrement féroces vis-à-vis du Vatican il ferait presque figure de modéré.

    Cet article n'a pas de quoi surprendre quand on pense que dans l'une des maisons jésuites, "La Pairelle" (Wépion), on a cru bon lors d'un colloque sur la question homosexuelle de convoquer les caméras de la RTBF pour filmer un participant montrant une icône du Christ en disant "celui-là benoit est prêt à l'excommunier" en présence du jésuite organisateur qui avait l'air d'approuver. Où est passé le fameux "discernement" des membres de la Compagnie ?

  • Ce prêtre est possédé! ce n'est pas possible!
    Avez-vous lu ce qu'il écrit?

    "La question homosexuelle est relativement nouvelle dans notre société et dans l'Eglise. Considérée encore naguère comme une maladie dont on pourrait guérir, elle est aujourd'hui accueillie comme le vécu de certaines personnes, avec respect."

    Actuellement encore, au grand dam de beaucoup, je puis affirmer que l'homosexualité est encore et toujours une maladie! Une maladie de L'AME. Voilà pourquoi "le monde" des médecins ne peut l'accepter. Qu'est-ce que le monde connaît à l'Esprit, à l'âme ?
    Tout un temps les dépressions étaient considérées comme du "n'importe quoi". Actuellement c'est reconnu comme maladie de l'esprit! En fait c'est surtout une maladie de l'âme! mais aller dire ça aux psychologues "du monde"!!!!
    Evidemment qu'ils vont guérir à coup de médicaments qui vous transforment en légumes, au lieu de vous inviter à la prière, à se retourner vers Dieu!
    Je puis aussi assurer qu'on peut guérir de cette maladie, mais qui ose donner le remède encore? même parmis les religieux?

    Moi je vous le dis: LA PRIERE, la récitation du Chapelet, du rosaire en demandant à Marie la guérison. La grâce de la guérison.
    Des pèlerinages! des jeûnes, des sacrifices. Et ils seront guéris.

    L'homosexualité est accueilie comme vécu avec respect, depuis peu, dit Ch. Delhez, comme si cela n'était pas déjà demandé depuis des siècles par l'Eglise! (catéchisme). Oui! le catéchisme le dit déjà depuis une éternité:

    "L'Eglise accueille sans réserve ceux qui présentent des tendances homosexuelles. Il ne doivent pas subir de discrimination à cause de cela. Mais en même temps l'Eglise affirme qu'aucune rencontre sexuelle entre personnes d'un même sexe ne correspond à l'ordre de la Création."

    Mais qu'est-ce que ce Jésuite s'imagine et invente? Relisez sa phrase! Il transforme!
    L'Eglise n'accueille pas l'homosexualité qui est un poison! MAIS BIEN L'HOMOSEXUEL qui est enfant de Dieu. Dieu l'aime. Il s'agit d'un être humain comme n'importe quel autre être humain. Dieu aime toute sa création.


    Il poursuit:
    "L'Eglise a eu longtemps un discours dur!"
    Mais c'est faux! Le catéchise nous le dit clairement, repris ci-dessus. C'est vraiment de l'intox!
    L'Eglise n'est pas dur, elle est vérité! Son devoir est de dire la vérité de l'Evangile.

    "Ces textes de l'ancien et nouveau testament sont remis en question?" Nous dit Ch. Delhez! (faudra aller voir l'ophtalmo.)

    MAIS; C'est FAUX!!!! Ils disent toujours bien ce qui EST.
    Jésus est toujours bel et bien le chemin, la vie et la vérité. Il ne va pas dire un jour ceci et l'autre jour ça.

    "Si les documents officiels de l'Eglise sont encore timides, on perçoit la lettre des évêques, ..." poursuit notre Jésuite!

    Mais on s'en fout! Qu'est-ce qui compte! des documents falsifiés ou ce que dit le Vatican et le Pape?

    "Ils sont toujours nos enfants... et gnangnangnan...". Mais quel paternalisme! Le catéchisme ne dit pas le contraire! Qu'est-ce que signifie sinon "accueillir sans réserve" comme le dit le catéchisme ?

    Accueillir les déviances sexuelles ne signifient pas qu'on les cautionnnent.

    La seule et unique voie de guérison pour nos frères et soeurs atteints de déviances sexuelles est LA PRIERE.

    "Faut-il proposer aux homosexuels la chasteté et la sublimation? De plus en plus de gens dans l'Eglise répondent non. "

    Qu'ils reconnaissent leur maladie et qu'ils prient le seigneur de les en guérir, eux et leurs familles. Ils seront guéris. Mais au départ qu'ils acceptent le fait qu'ils ne marchent pas droit! POur l'amour du ciel. Sinon ils ne guériront jamais. Et l'homosexualité est une soeur très proche de la pédophilie! Lisez le dico. C'est mentionné!

    Il faut proposer en effet la chasteté. Mais surtout la prière pour se resaisir.

    Quant à les accueiliir tel qu'ils sont, là encore le catéchisme a tout dit à ce sujet. Et c'est OUI! évidemment.

    Mais que l'on gère cette déviance dans la discrètion et non dans le tintamarre burlesque, comme cela se fait de plus en plus dans le monde! (gay pride, et Cie!). C'est loin d'être le truc pour se faire respecter.

  • @ mizuki ... Je suis d'accord avec vous. Il dit des choses aberrantes. Il n'y a qu'une seule sexualité dans l'espèce humaine, comme dans toutes les espèces vivantes sexuées. Le mot même de sexualité (séparation) le dit d'ailleurs, il faut deux sexes différents pour transmettre la vie. Et l'acte sexuel entre un homme et une femme, ou entre un mâle et une femelle, a été rendu agréable et désirable, pour que cette transmission de la vie s'effectue normalement et suffisamment.

    Toutes les autres pratiques (homophilie, pédophilie, zoophilie, ...) ne sont qu'une utilisation déviante de ce côté agréable et désirable de l'acte sexuel, mais cette utilisation est complètement déconnectée de la raison d'être naturelle de la sexualité, à savoir la transmission de la vie et donc la perpétuation de l'espèce. On ne transmet pas la vie avec une personne du même sexe, avec un enfant, avec un animal ou avec n'importe quoi.

    Ce sont toutes les élucubrations de mai 68 qui ont tenté de présenter ces pratiques homophiles (mais aussi pédophiles et autres) comme des 'sexualités' de même nature que la sexualité naturelle et normale, homme-femme. Or, c'est une aberration, biologique et sémantique, de parler de 'homosexualité'. Il ne faudrait parler que d'homophilie et de pratiques homophiles, l'utilisation d'une personne du même sexe pour se procurer le plaisir du côté agréable et désirable de l'acte sexuel.

    En effet, est-ce que l'on oserait parler aussi de pédosexualité ? Et pourtant, c'est la même chose, c'est aussi l'utilisation d'un enfant dans le même but. Et d'ailleurs, il y a des lobbys issus de mai 68 qui plaident encore aujourd'hui pour que les pratiques pédophiles soient considérées comme une forme normale de sexualité. Et pourquoi se gêneraient-ils ? D'autres ont bien réussi à faire passer cette idée pour les pratiques homophiles, à tel point que tout le monde considère normal aujourd'hui de parler de 'homosexualité', comme si c'était une notion biologique scientifiquement approuvée. Alors que c'est de la pure idéologie.

    Je me demande d'ailleurs si tous ces refus de transmission de la vie, par la sexualité naturelle, ne sont pas liés d'une certaine façon à ce qu'on appelle la culture de la mort, c'est-à-dire, de non respect ou non valorisation de la vie. Un des dogmes athéistes consiste en effet à professer que ce monde est absurde, n'a pas de sens ni de finalité par lui-même, et que donc, puisque nous faisons partie de ce monde, notre vie aussi est absurde, n'a pas de sens ni de finalité par elle-même. Qu'est-ce qui peut bien inciter ces gens à transmettre la vie, une chose dont ils professent l'absurdité ?

    Pour se donner le droit à l'avortement, à la destruction d'une vie qu'ils auraient transmise 'par erreur', ils parlent d'ailleurs bien de vie 'non désirée'. Ils s'arrogent le droit de vie et de mort, selon leur bon plaisir, sur un être vivant. Ils refusent donc la vie, ces gens disent 'non' à la vie, comme si c'était une chose mauvaise. Seul compte leur propre plaisir qu'il retire de l'acte sexuel complètement déconnecté de sa raison d'être.

  • Mon avis en tout cas est qu'il est urgent que les gens réagissent ouvertement et activement à ce genre d'écrits dans Dimanche Express.
    Il faudrait une rubrique "courrier des lecteurs" plus largement remplie et qu'une page entière soit réservée pour les commentaires.

    Alors amis lecteurs dans BELGICATHO, à vos plumes! ou à vos claviers. Vos commentaires peuvent être déposés dans l'adresse suivante: courrier@catho.be, et adressées au Père Charles Delhez, Chaussée de Bruxelles, 67/2 - 1300 WAVRE;

    Pour ma part j'ai envoyé un commentaire, espérant qu'il sera bien entendu publié prochainement. Très respectueusement j'ai dit ce que mon coeur me dictait de dire, sans macher mes mots cependant.

    Celui qui ne dit rien, qui ne réagit à rien, c'est comme s'il était d'accord avec les inepties de Charles Delhez ou même d'autres, quelques journaux, revues, ... dont il est question.

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